Bergson Quadrige

Dans ce texte, le philosophe Henri Bergson tente de nous faire réfléchir à propos de l'art. Sous une apparente simplicité, la question du rôle de l'Art se dévoile comme étant difficile, pour ne pas dire redoutable. Est-ce finalement, une forme d'expression de l'indicible ou seulement la représentation d'une réalité individuelle ? L'art, souvent agressé par des clichés : mis en place par les rêveurs et apprécié par l'élite. Mystérieux, il nous livre souvent des mondes décalés réalisés parfois à partir

1 La conscience Les 5 points incontournables 1 La conscience comme connaissance que l’esprit a de lui-même Selon Descartes, « je pense donc je suis », c’est-à-dire que je sais naturellement que j’existe, et que c’est de moi que viennent les sensations, idées, jugements, plaisirs et douleurs que j’éprouve. Ainsi, je peux douter de tout, mais pas du fait que c’est moi qui doute. q Cours 1 a ; 2 a La conscience de soi s’acquiert La conscience de soi n’est pas immédiate, elle s’acquiert dans un double

est le processus par lequel une action extérieure se transforme en fait psychique. Elle correspond à la production de la conscience de faits, de situations, de liens sociaux, du monde extérieur… Mais «Qu'est-ce que la conscience ?» demandait Bergson. Et il répondait: «Vous pensez bien que je ne vais pas vous définir une chose aussi concrète, aussi constamment présente à l'expérience de chacun de nous» (l'Énergie spirituelle). La conscience semble en effet à ce point une donnée immédiate qu'il

permettre de tirer une conclusion sur l’utilité du rire dans notre société. Le rire, comme on peut l’imaginer de nos jours, est une chose qui se veut bonne. Dans un premier document qui n’est autre qu’un Essai de Bergson (1899) sur la signification du comique, et donc le rire. Bergson parle du rire dans le sens qu’on châtie les gens. On se rappelle tous cette expression de « Qui aime bien, châtie bien ». C’est ainsi qu’il le montre au travers de cette phrase qui n’est on ne peut plus compréhensible : « on

secondes, qu'une heure est faite de soixante minutes et ainsi de suite... Et le temps humain subjectif qui peut être caractérisée de "durée". Nous avons tous fait l'expérience de l'élasticité du temps qui passe plus ou moins vite selon nos états d'âme. Bergson, dira que : Le temps est une experience vécue intérieure qui allie mémoire, conscience et durée. L'homme existe dans le temps et la durée désigne le temps intime de cette existence. Cela étant dit, si le temps occupe une place si primordiale dans

ClémentTS3 | D.M de philosophie, Bergson, la conscience et la vie | L’idée de conscience n’est pas intelligible à définir, de nombreux philosophes dont Henri Bergson s’y sont intéressés… Au premier sens la conscience serait un trait psychologique apparu au XVIIIème siècle et faisant de l’homme un sujet entre lui et le monde. Ainsi, dans le texte proposé à notre étude, Bergson se pose le problème suivant : la conscience peut elle varier d’amplitude ? A travers une pensée réfléchie, il aborde

ANALYSE GLOBALE DU TEXTE DE BERGSON   Sur quoi la réflexion de Bergson porte-t-elle ? Le terme clé du texte est le mot conscience, terme désignant la propriété qu'a l'individu de posséder une représentation du monde et de soi. La réflexion de Bergson porte ici sur les variations d'intensité de la conscience et a trait à leur origine.   Quel problème traite-t-il ? Bergson met en question le caractère uniforme de la conscience. Si celle-ci présente des degrés différents d'intensité, qu'est-ce

exposant comme objet d’art un « urinoir » qu’il avait simplement pris le soin de retourner et de signer d’un pseudonyme. Une fois dans un musée, nous sommes obligés de voir cet urinoir sous un autre angle, puisqu’il ne nous sert plus. C’est pourquoi Bergson dit de l’artiste, dans Le rire, qu’il est celui qui « voit mieux que les autres », parce qu’il dépasse la vision utilitaire de ce qu’il l’entoure. Une citation utile : « L’art ne reproduit pas le visible, il rend visible », Paul Klee. Ce qu’il fallait

Orléans, au 76e régiment d'infanterie. Rendu à la vie civile, il suit à l’École libre des sciences politiques les cours d’Albert Sorel (qui le juge « pas intelligent » lors de son oral de sortie) et d'Anatole Leroy-Beaulieu ; à la Sorbonne ceux d'Henri Bergson, son cousin par alliance, au mariage duquel il sera garçon d'honneur et dont l’influence sur son œuvre a été parfois jugée importante, ce dont Proust s'est toujours défendu. L'influence de son homosexualité sur son œuvre est pour sa part importante

« La pensée et le mouvant » de Bergson, nous constatons que ce dernier n’a pas du tout la même philosophie que Descartes en ce qui concerne l’interaction entre Esprit et Matière. Effectivement, la question de la matière et de l’esprit est une question philosophique essentielle mais assez complexe car les avis sont partagés d’autant plus qu’il faut se garder d’induire qu’elle est posée dès que la pensée et l’intellect sont objets de réflexion. Dans ce passage, Bergson cherche à trouver une solution