Béribéri

B1 Le raffinage des aliments (farine, riz, sucre) les prive de la vitamine. Etant donné qu’elle est indispensable pour l’assimilation des glucides. Sa carence entraine donc un épuisement des réserves des glucides raffinés mais aussi la maladie de béribéri ou si la carence est moins importante, une certaine apathie voir un état dépressif. On la trouve dans la levure sèche, germe de blé, foi, rognon, viande de porc, céréales brutes et légumineuse. Les enfants, adolescents et femmes enceintes en ont

Coenzyme importante dans le métabolisme des glucides; requise pour la transformation de l’acide pyruvique en acétyl–CoA, pour la synthèse des pentoses de l’acétylcholine; nécessaire pour l’oxydation de l’alcool Aucun problème connu Béribéri; perte d’appétit; trouble gastro- intestinaux; trouble du système nerveux périphérique, qui se manifeste par une faiblesse des jambes, des crampes musculaires du mollet, un engourdissement des pieds; hypertrophie, tachycardie  B2 (riboflavine)

certaine valeur, sinon les troubles éclatent. Autrement dit, un excès de substances sucrées dans la ration alimentaire doit être compensé par une augmentation de vitamine B1. Le défaut de vitamine B1 se traduit précisément chez l’homme par le redoutable béribéri, maladie naguère encore très fréquente en Extrême-Orient ainsi qu’au Brésil et aux Antilles où l’on désignait l’affection sous le nom de « maladie des sucreries ». Il se présentait généralement soit sous une forme paralytique ou atrophique, à évolution

|ou Kambata, Kambattas, Kanbata, Kemata, Kembat, Kembatta, Kenbata, Kombatta | |Kanuris | |kanuri |Cameroun, Niger, Nigeria, Tchad |ou Aga, Baribari, Beriberi, Beri Beri, Borno, Bornu, Boro, Dagara, Kanouri, Kanouris, Kanoury, | | | | | |Kanuri, Kanuris

novembre 1520. On ne connaît pas exactement la circonférence de la Terre à cette époque. Il le pensait plus grand mais ne le pensait pas vides : que 2 îles nommées les îles du désappointement (car pas de vivre possible). Maladie tel le scorbut et le béribéris (carence vitamine B → insuffisance cardiaque et maux de têtes), rationnement avec des sortes de biscuit (pain cuit deux fois). Mais pendant une traversée de 3 mois, seulement 9 mois car peut être pris des sorte de cannes à sucre qui évita les carences

nerveux et les muscles du cœur, notamment). Le catabolisme ne se déclenche que si les sources d'énergie entrant dans le corps sont épuisées. Les carences en vitamines sont aussi une conséquence de la sous-nutrition, ce qui peut entrainer l'anémie, le béribéri, la pellagre et le scorbut. Ces maladies peuvent elles-mêmes causer des diarrhées, des exanthèmes, des œdèmes et des insuffisances cardiaques. Les individus sous-alimentés deviennent irritables, fatigués et souffrent de léthargie, ce qui peut mener

santé dit optimal. L’évolution de la santé. On peut faire un peu l’historique de l’évolution de la santé dans nos sociétés industrielles et occidentales : Les causes des décès au 17,18 et 19ème siècle sont de types infectieux et nutritionnels. Le Béribéri est par exemple un cas courant de malnutrition (carence en vitamines B1) qui entraîne l’anémie les paralysies. Les maladies infectieuses sont liées à la présence de microorganismes (bactéries, virus) dans le corps. Ces dernières sont encore la cause

(Cf. notes d’orientation 2-3). q Les niveaux de malnutrition modérée et grave se maintiennent à un seuil acceptable ou diminuent jusqu’à ce qu’ils atteignent un tel seuil (Cf. note d’orientation 4). q Il n’y a pas de cas de scorbut, de pellagre, de béribéri ou de carence en riboflavine (Cf. note d’orientation 5). q Les taux de xérophtalmie et de troubles liés à la carence en iode ne sont pas assez élevés pour revêtir une importance sur le plan de la santé publique (Cf. note d’orientation 6). Notes

nerveux et les muscles du cœur, notamment). La catabolisme ne se déclenche que si les sources d'énergie entrant dans le corps sont épuisées. Les carences en vitamines sont aussi une conséquence habituelle de la sous-nutrition, entraînant l'anémie, le béribéri, la pellagre et le scorbut. Ces maladies peuvent elles-mêmes causer des diarrhées, des exanthèmes, des œdèmes et des insuffisances cardiaques. Les individus sous-alimentés deviennent irritables, dépressifs, fatigués et souffrent de léthargie, ce

55 – Extrait de Apports nutritionnels conseillés pour la population française, 3e éd., A. Martin, coordonnateur, © Technique & Documentation, 2001. Le paradoxe de la situation Si les carences importantes, sources de maladies telles que le béribéri, le scorbut ont pratiquement disparu en Occident, on rencontre néanmoins des déficits d’apport polyvitaminiques chez certaines personnes âgées, les sujets alcooliques chroniques ou dans le cadre de pathologies liées à des malabsorptions et dans des