Beta Sectoriel

permet le déploiement de la stratégie commerciale d’une entreprise, il permet également d’envisager des prévisions de chiffre d’affaires. D-3) Les panels spécialisés Mise à part des deux derniers panels, il existe des panels spécialisés qui sont sectoriels, ils ont la même fonction que les autres panels mais ils sont adaptés aux spécificités des secteurs, tel que le secteur de la pharmacie de l’agroalimentaire, l’électroménager, l’automobile…. Soit en créant des panels internes propre à l’entreprise

théorie du marché de la prise de contrôle. 18 Cf. Schweickart, Nikolaus : Der getriebene Chef, Shareholder-value überall – das US-Modell setzt sich durch, 10/05/2001, Die Zeit, p. 26. 19 Cf. Derhy, Armand : Fusions – acquisitions : la logique sectorielle, Janvier – Février 1997, Revue Française de Gestion, p. 45. 20 Cf. Husson, Bruno : La prise de contrôle d’entreprises – Motivations, conséquences et freins, 1987, Presses Universitaires de France, Paris, p. 18. © Cécile QUENTIN Fusions-Acquisitions

exemple un instrument de certification de la maîtrise de la langue française1. Anthony Edo est doctorant à l’École d’économie de Paris. Nicolas Jacquemet est professeur à l’université de Lorraine, membre du Bureau d’économie théorique et appliquée (BETA), professeur associé à l’École d’économie de Paris et membre junior de l’Institut universitaire de France. 1 1. Nous tenons à remercier les membres du comité éditorial, Phillipe Askénazy, Luc Behaghel, Daniel Cohen et Claudia Sénik, pour leurs nombreux

concurrence de plus en plus forte, la flexibilité, la capacité à s'adapter à des processes changeants, est souvent plus importante que la conformité aux usages anciens du métier. Lorsqu'un ERP libre n'a pas déjà nativement la verticalisation sectorielle recherchée, on peut en général la ré-implémenter avec un coût d'autant plus réduit que l'ERP est de conception souple et sa communauté active. Il n'en demeure pas moins que les plus avancés des ERP présentés ici arrivent à un stade de maturité tel

d’audit adéquat par rapport au risque opérationnel. 2- Approche standard : Elle consiste à organiser la banque en huit lignes d’activités standard ayant pour indicateur commun le profit brut. Cet indicateur est multiplié par un facteur de pourcentage (beta), et la charge totale de capital pour les risques opérationnels est donc basée sur la somme des charges des différentes lignes d’activités. Tableau 6 Ligne métier Pondérations Financement d’entreprise9 18% Activité de marché10 18% Banque de détail11

européen face à son état - ex dans le cas de non transposition dans le droits national qui crée un préjudice individuel), toutes les politiques de communication et de la culture, les politiques de protections des consommateurs. °Les politiques sectorielles, qui concernent des champs spécifiques et/ou qui ne concernent pas tous les états. Industrie, entreprise, énergie, transports, Politique agricole commune, pêche. °Politiques extérieures, la politique commerciale et les négociations communes avec

Classe C : Sociétés émergentes Classe B : Sociétés en développement Classe A : Sociétés matures Niveau de maturité © Groupe Eyrolles Pour chacune de ces classes, un niveau de risque a été défini et quantifié sous la forme d’un coefficient ß (bêta*) (le ß mesure la volatilité relative du titre par rapport aux fluctuations du marché). Ce ß impacte les méthodes de choix d’investissements, de type ROI*, payback, cash-flow* actualisé. En général, le taux de rendement interne (TRI*) attendu d’un

risque Niveau de risque Classe C : Sociétés émergentes Classe B : Sociétés en développement Classe A : Sociétés matures Pour chacune de ces classes, un niveau de risque a été défini et quantifié sous la forme d’un coefficient ß (bêta*) (le ß mesure la volatilité relative du titre par rapport aux fluctuations du marché). Ce ß impacte les méthodes de choix d’investissements, de type ROI*, payback, cash-flow* actualisé. En général, le taux de rendement interne (TRI*) attendu d’un

se base sur le revenu brut annuel dégagé par l'institution. Elle le détaille cependant par lignes d'activité, et non plus pour l'ensemble de l'établissement. Le capital réglementaire est ici fonction d'un pourcentage du produit brut, appelé facteur bêta, établi à 12%,15% et 18%, selon le niveau de risque opérationnel estimé de chaque activité. Cela se traduit par la règle suivante : K= ∑ KLi =∑ ßLi . RB Li i=1 i=1 Où Kli représente le capital réglementaire associé à la ligne i, RB Li est le revenu

devises jusqu’au printemps 2006. 1.1- Le PIB L’'évolution du PIB au liban est passe du plusieurs période. Entre 1964 et 1974, le PIB libanais a progressé rapidement selon un rythme moyen annuel de 9,9 %, ou de 7 % à prix constant. Au niveau sectoriel, les services représentaient l'essentiel de la richesse du pays (69 % du PIB), devant l'industrie (22 % contre 20 % en 1964) et l'agriculture (9 % contre 12 % en 1964). En 1974, la contribution du secteur public au PIB était de 6,8 % contre 8,4 %