Bétés

Un jour hélas les deux vaches, mal attachées, se sauvèrent ensemble ; le prévôt[1] les trouva qui vagabondaient toutes seules en dehors du communal[2] et il les emmena purement et simplement. La vieille l’apprend, elle veut récupérer ses bêtes. Mais le prévôt ne veut rien savoir, alors même que la vieille accepte de payer l’amende : il n’a pas la preuve que les vaches sont bien à elle, dit-il ! Pauvre vieille ! Elle s’en retourne toute triste. Elle explique à sa voisine ce qui lui

chose, Jeanne ?—car j'obéis à ces charmants amours, Je les guette, et je cherche à comprendre toujours Tout ce qui peut passer par ces divines têtes. Jeanne m'a répondu:—Je voudrais voir des bêtes. Alors je lui montrai dans l'herbe une fourmi. —Vois! Mais Jeanne ne fut contente qu'à demi. —Non, les bêtes, c'est gros, me dit-elle. Leur rêve, C'est le grand. L'Océan les attire à sa grève, Les berçant de son chant rauque, et les captivant Par l'ombre, et par la fuite effrayante du vent; Ils

paraissaient bien tristes face aux tuniques jaunes, rouges ou vert vif des Indiens, à leur peau cuivrée, à leurs cheveux noir bleuté. Les transactions se faisaient en silence, chacun posant sa marchandise devant lui. D’un côté, de superbes peaux de bêtes, de l’autre, des petits objets en métal, des colliers dorés, quelques armes à feu, des ustensiles de cuisine, le tout d’une bien faible valeur. Correction: http://cenicienta.eklablog.com Des commerçants étaient montés jusqu’aux frontières. Leurs

d’inutilité. Au vers 6, il y a le terme « amie ». Quelqu’un le réconforte. Au vers 6 et 7 son cœur est un « lieu saccagé par la griffe et la dent féroce de la femme » à une femme l’a fait souffrir. Au vers 8, le poète dit que les bêtes ont mangé son cœur. Métaphore des « bêtes » pour parler des femmes. Le rythme est irrégulier. Les césures ne sont pas régulières : Vers 5 à 6/6 Vers 6 à 4/2/6 Vers 7 à pas de césure Vers 8 à 6/6 Enjambement entre les vers 6 et 7. Au vers 6, les allitérations en ‘f’ et

Grand Troupeau écrit par Jean Giono et parut en 1931. Cet extrait nous fait découvrir deux personnages qui sont La Poule et Chabrand sur le champ de bataille à Verdun contre les Allemands en 1916. Ils sont dans un pré et entourés par des bêtes venant des fermes éventrées par la guerre. Ce texte montre aussi les ravages

rauque, mais quand vous aurez saisi l’air, vous vous y retrouverez mieux que moi. Le titre, c’est Bêtes d’Angleterre. » Sage l’Ancien se racla la gorge et se mit à chanter. Sa voix était rauque, ainsi qu’il avait dit, mais il se tira bien d’affaire. L’air tenait d’ Amour toujours et de La Cucaracha, et on en peut dire qu’il était plein de feu et d’entrain. Voici les paroles de la chanson : Bêtes d’Angleterre et d’Irlande, Animaux de tous les pays, Prêtez l’oreille à l’espérance Un âge d’or

Ce sont les paysans qui abattent leurs bétails. b: Les paysans abattent tout leur bétail car après, leurs bêtes seront emmenées au kolkhoze (une sorte de ferme collective). Ils ne veulent pas partager avec l'état, et le fait d'abattre montrent leur désaccord avec le kolkhoze. c: Le terme « enterrement » n'a pas été choisi au hasard ; en effet les paysans abattant toutes leurs bêtes, plutôt que de les enterrer, ils préfèrent les manger, d'où l'expression «festins d'enterrement». Les manger

l’en -persuader Démontrer Exemple : « Il me paraît démontré que les bêtes ne peuvent être de simples machines; voici ma preuve. Dieu leur a fait précisément les mêmes organes de sentiment que les nôtres; donc, s’ils ne sentent point, Dieu a fait un ouvrage inutile; or Dieu, de votre aveu même, ne fait rien en vain; donc il n’a point fabriqué tant d’organes de sentiment pour qu’il n’y eût point de sentiment; donc les bêtes ne sont point de pures machines. » (Voltaire, Lettres philosophiques 1734)

ils parlent est marquante, l'auteur fait en sorte d'attrister le lecteur par exemple avec Histoire des Voyages de Scarmentado :" Vous nous achetez aux foires de la côte de Guinée, comme des bêtes de somme..". En utilisant un lexique animal Voltaire tente de toucher le lecteur en comparant des Hommes à '' des bêtes de somme". Quand au troisième extrait, Candide, le nègre dans le dialogue entre lui même et Candide à deux discours, l'un pathétique pour essayer de sensibiliser d'autant plus le lecteur avec

Commentaire composé sur Le chat et le chien, tiré des Dialogues de bêtes de Colette. Extrait: - Didascalies : "ronrons faibles", "vois mourante", "assis, les yeux pâles de sommeil et de soleil", "amer", "rectifiant", "vexé" ; et verbes au présent. : Il s'agit d'un récit sous forme de dialogue théâtral. - "si c'est pour me dire ça que tu es réveillé". : Les animaux parlent, ils sont personnifiés (...) Plan du commentaire: Introduction I) L'apologue II) Différences de nature