Bettelheim

Suite à cela, les travailleurs sociaux vont tâcher de légitimer leur action par des psychiatres et des psychanalystes, diffusant leur conception de l'éducation plutot marquée par le soin et orientée vers une lecture psychologique : Dolto, Mannoni, Bettelheim... De problème social, la violence devient un problème pathologique du sujet. Laposture éducative devient une expertise. Ainsi, la théorie est abandonnée à d'autres spécialistes. Lagrange prone une éthique dela responsabilité Selosse présente

récurrents » (Von Franz, 1987, p. 17). Dans les années 1970, « l’idée d’une interprétation psychologique des contes se répandit rapidement » 16 (Von Franz, 1987, p. 24), avec la sortie notamment de l’ouvrage Psychanalyse des contes de fées de Bettelheim en 1976. I.3 - La transformation du conte, de la tradition orale à la tradition littéraire Issus de la tradition orale, les contes populaires ont « pour Auteurs un nombre infinis de Pères, de Mères, de Grand'Mères, de Gouvernantes

• Bix Beiderbecke – jazzman • Bérénice Béjo – actrice • Bruno Bellone – sportif • Bob Berg – saxophoniste • Busby Berkeley – réalisateur • Bertrand Berthelot – expert • Bernardo Bertolucci – cinéaste • Bruno Bettelheim – psychanalyste • Barney Bigard – jazzman • Buffalo Bill (William Frederik Cody) – bisonicide • Benjamin Biolay – chanteur • Bernard Blier – acteur • Bertrand Blier – cinéaste • Bernie (Bernard) Bonvoisin – cinéaste

première étant la sensibilité comme le révèle le dernier paragraphe. Enfin, le conteur invente des personnages et des situations extrêmement condensés pour permettre à l’enfant de s’identifier aisément à cet univers. Comme le dit le psychiatre Bruno Bettelheim : « Les personnages des contes de fées ne sont pas ambivalents ; ils ne sont pas à la fois bons et méchants, comme nous le sommes tous dans la réalité » (http://expositions.bnf.fr/ contes/cles/index.htm). Dans notre extrait, la Belle et la Bête

Cette métamorphose est à mettre en relation avec le passage à l’âge adulte, la « puberté » (l.6), qui a donné naissance, chez Jacques, à ses pulsions meurtrières. De nombreux textes ont mis en parallèle la figure du loup-garou et la puberté (voir Bettelheim, Psychanalyse des contes de fées). B - Un conflit intérieur 1 – Jacques et « les autres » o Se pose ici la question de l’individu, de sa normalité, comparé au reste du monde. Qu’est-ce qui fait un individu ? la question, est explicitement

s’adressant à différents niveaux de lecture au plus grand nombre, petits et grands, élite intellectuelle et lectorat populaire. Les fables de La Fontaine sont par exemple volontiers lues aux enfants afin qu’ils soient éduqués, comme l’écrit Bruno Bettelheim dans Psychanalyse des contes de fées , « non par l’intermédiaire de préceptes éthiques abstraits mais par le spectacles des aspects tangibles du bien et du mal », mais sont destinées aussi, comme le voulait le genre à son origine, au-delà de leur

s'était donné Neill qu'il élabora ainsi son école. Renoncer à toute discipline, toute direction, toute suggestion, toute morale pré-conçue, toute construction religieuse quelle qu'elle soit. Dans l'ouvrage collectif : Pour ou contre Summerhill, Bruno Bettelheim explique la différence, déjà formulée par Neill, entre la liberté et la licence, différence que bien des parents n'arrivent pas à saisir, c'est-à-dire en fait le respect des autres : « Le fond de la philosophie de Neill est naïvement rousseauiste

de sa théorie psychanalytique. ) ont ajouté un argument psychanalytique : notre premier devoir de soignants de ces jeunes c’est de leur faire intégrer la « loi ». En pratique, c’est toujours celle du plus fort, c’est l’obéissance à l’autorité. Bettelheim, dans son institution non punitive, s’était arrogé le droit de gifler et de bousculer les gamins. Il l’argumentait très finement : « Si je ne punis pas, il aura mauvaise conscience, il aura des remords, il deviendra névrosé ; si je le gifle, il

l'Anglais. Nos résistances à l'éducation ne sont-elles pas, en chacun de nous, la part irréductible, la part sauvage ? La polémique autour des enfants sauvages n'est pas close. cf. Levi-Strauss : Les Structures Elémentaires de la parenté, p. 4/5 Bettelheim : La Forteresse Vide, 3 Les enfants -loups, p.429/469 Le réalisateur : Ses débuts dans la vie sont ceux d'un futur réalisateur maudit : enfance malheureuse, service militaire interrompu par la désertion. Rien ne laisse prévoir que Truffaut deviendra

inimaginables -les modèles dynamiques: K. Abraham puis M. Klein: positions schizo-paranoïde et dépressive D. Meltzer(1975):3 concepts: le démantèlement du Moi, la bidimensionnalité de la relation d objet, l identification adhésive. le conflit esthétique B. Bettelheim: angoisse de néantisation, de morcellement Lebovici, Diatkine Mises , Lang, F. Tustin, D. Houzel, D. Widlocher, G. Haag - le modèle structural: J. Lacan :forclusion, Aulagnier, M. Mannoni , Laurent Les psychoses précoces(CFTMEA): des troubles