Bettelheim

cultuelles qu'il singe mécaniquement est oublié ou encore ne correspond plus à l'époque. Incapable de renseigner sur la signification des liturgies dépassées il se dépêche de dévorer sa victime. Sur le point de vue psychanalitique, on citera Bruno Bettelheim, auteur de la Psychanalyse des contes de fées. D’apres celui ci, le Petit Chaperon rouge symboliserait le personnage de la petite fille aux portes de la puberté, le choix de la couleur rouge du chaperon renvoyant au cycle menstruel. Le village

d’âne’’, il est formulé de façon explicite et est nettement le fait du père. Il cherche à coucher avec sa fille, le texte de Perrault ne célant rien de sa concupiscence. Peau d’Âne doit cacher son identité et se rabaisser pour y échapper. Selon Bruno Bettelheim (dans ‘’Psychanalyse des contes de fées’’), l’enfant pressent cette réalité taboue. Mais il faut remarquer que les contes en vers de Perrault n’étaient encore destinés aux enfants. Le conte fut précédé d’une dédicace ‘’À Madame la marquise de L***’’

exploration du désir charnel et ce que cela implique. Bibliographie Halfaouine, L’enfant des terrasses, Férid Boughédir avec R. Ben Abdallah, F. Ben Saïdane, H. Catzaras, I. Harrath et F. Heddaoui, Tunisie, 1990, comédie dramatique, 98 min. BETTELHEIM, Psychanalyse des contes de fées, Livre de poche, 1976. p. 324-325. DRIEK VAN DER, Sterren, Oedipe: une étude psychanalytique d’après les tragédies de Sophocle, Presses universitaires de France, Paris, 1976. 169p. MOUNY LEVY, Berrah, CLUNY

compte des dimensions affective et émotionnelle Intelligence et pensée, émotions, motivation et confiance en soi Difficultés et troubles d’apprentissage 3) Quelques applications concrètes en éducation Approche psychanalytique et éducation : Bettelheim Approche comportementale et éducation : TEACCH, ABA, PECS et l’analyse fonctionnelle et les plans de soutien (comportements-défis) 4) Le handicap Historique Classifications du handicap (CIF et PPH) La déficience intellectuelle (AAMR, Comportements

absolument pas s'appliquer à de simples mortels, comme vous et moi. » (Bruno Bettelheim, Psychanalyse des contes de fées, Robert Laffont, 1976) Texte extrait de http://www.contemania.com/comprendre/definitions.htm 3. (…) La conclusion, dans les mythes, est presque toujours tragique alors qu'elle est presque toujours heureuse dans les contes merveilleux (sauf notamment dans le Petit Chaperon Rouge de Perrault que Bettelheim ne considère pas comme un conte de fées mais comme un conte de mise en garde

élément final qui porte au lecteur un enseignement et qui explore donc le lien de complicité tissé entre eux. Une morale riche car elle peut généralement être lue selon deux niveaux comme le prouve par exemple La psychanalise des contes de fées de Bettelheim qui révèle, entre autre que Le petit chaperon rouge, derrière le récit d'une fillette dupée par un loup, cache une image évocatrice, chez Perrault, du loup paternel et d'un rapport incestueux. Les contes comme les fables, lus à des enfants, ne leur

type of encounter, the narrator believes that there is a link between mental distress and her haemorrhaging as a physical display of this suffering. Lucille Cairns hypothesises, along with the support of Bettelheim, “it does appear that she alone caused her daughter’s abnormal bleeding.” Bettelheim also infers the widespread extent of “maternal influence”, with or without intention, towards her daughter, thus causing the irregularity of bleeding. When the narrator bleeds, it is the blood that her

leur transmet. Enfin les récits touchent un large public en s’adressant à différents niveaux de lecture au plus grand nombre. Les Fables de La Fontaine sont par exemple volontiers lues aux enfants afin qu’ils soient éduqués, comme l’écrit Bruno Bettelheim dans Psychanalyse des contes de fées, « non par l’intermédiaire de préceptes éthiques abstraits mais par le spectacles des aspect tangibles du bien et du mal », mais sont destinées aussi, comme le voulait le genre à son origine, au-delà de leur

années d’école », éd. Guy St Jean 11. H. Benony « Le développement de l'enfant et ses psychopathologies », Armand Colin 12. M. Berger « L'échec de la protection de l'enfance » 13. K. Bernfeld « Déjouer les troubles alimentaires » 14. B. Bettelheim « Psychanalyse des contes de fées », Pocket 15. R. Blind, M. Pool « Les dangers de l’écran » 16. C. Boukobza « L’écueil de la relation précoce relation précoce mère-enfant » 17. P. Brunelles « Comment vivre avec une personne atteinte de

II- Les syndromes autistiques Les parents se sentent coupables, à cause des propos de Bettelheim et de d’autres psys. Plusieurs facteurs s’assemblent. La cause est plurifactorielle. Les parents se culpabilisent beaucoup, il faut les écouter. I- Syndromes autistiques à 2 ans – 2 ans ½ 1) Signes cliniques (Léo Kraner) a- 4 signes ( Retrait autistique Perte massive de contact avec la réalité, comme si l’enfant était insensible aux stimulations du monde ext. Regard évitant