Betterave

LA VODKA DÉFINITION La Vodka est une eau de vie de grains (blé, orge, maïs, seigle, voir riz…) ou plus rarement de racines (pommes de terre, betteraves). Après fermentation des céréales, elle subie une triple distillation et un filtrage sur charbon de pommiers ou de bouleau. Degré alcoolique : 40° en France, beaucoup plus dans les régions d’origines. HISTORIQUE ET RÉGIONS DE PRODUCTION La Vodka est originaire de Pologne, son nom signifie « petite eau ». Elle fut élaborée au 16è siècle dans un monastère

pate feuilleté 1 packet de knaki x10 moutarde dérouler la pate feuilleté, badigeonner la pate de moutarde et disposer ensuite les knaki puis enrouler et découper des bouts puis enfourner au four. _chips de légumes(patate douce,banane,pomme,betterave) 1patate douce 1banane 1pomme 1betterave friteuse faire prechauffer l'huile a 180C. au robot, découper les fruits et légumes en fine lamelle. les disposer dans la friteuse sans qu'elle se touche. laisser frire une minute environ et les sortir

nettes. La nourriture polonaise est abondante et substantielle : soupes épaisses, sauces, pommes de terre, boulettes de viande, et peu de légumes ! Les plats nationaux les plus connus sont le bigos (choucroute et viande) et le barszcz (soupe de betteraves). On arrose les repas de vodka (ne manquez pas la vodka à l'herbe de bison), mais le vin et la bière lui font de plus en plus concurrence aujourd'hui. Religion La Pologne est un pays profondément religieux : les Polonais sont catholiques à

arboriculture :  Culture des arbres, notamment fruitiers maraîchage : culture de primeurs, de légume 3/ céréale : Nord élevage : littoraux, centre, nord polyculture : essentiellement sud, viticulture : proche des eaux arboriculture : idemm betterave : nord 4/ Les plantations les plus gourmandes en eaux sont situé à proximité de cette denrée. Les élevage se situe proche des lieux d'exportation et des grands espaces pour les lieux de pâturage ou d'agriculture intensive. Les cultures ayant besoin

résidents promeuvent les méthodes nouvelles mais ils ne sont pas suivis par les non résidents. Mie de Juillet: phase d'amélioration marquée des prix agricoles, progression des cultures de base (Blé et l'avoine, essor des récoltes industrielles (betteraves) B)Une industrialisation progressive 1840: importance de la proto-industrie mais débuts de la grande industrie . Progrès des techniques Mise en place d'un système technique associant 3 éléments indissociables:

Hectares de grandes cultures. Il y cultive des cultures d’hiver comme le blé, l’escourgeon ou le colza. Mais également des cultures d’hiver comme les betteraves ou l’orge de printemps. Sa production est vendue à la coopérative la plus proche afin de bénéficier de prix avantageux lors de la vente des récoltes issus de ses cultures. Les betteraves sont quant à elle vendus à la sucrerie a 15 kilomètres de l’exploitation, cette culture est destinée à la fabrication de sucre. Les types de sol de l’exploitation

CULTIVER L’OIGNON DE PLEIN CHAMP EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE Fertilisation Une grande diversité d’engrais organiques peuvent être utilisés : fientes de volailles, fumier de bovins, compost de déchets verts, farine de plumes, vinasses de betteraves, engrais normalisés… Ils peuvent être apportés soit en fumure d’automne avec de préférence implantation d’interculture CIPAN, soit en fumure de printemps. Un apport complémentaire d’engrais azoté sous forme rapidement assimilable (guano, farine

des épices, aujourd’hui des photos, et demain encore autre chose. Il nous offre l’image d’une société occidentale cherchant à tout niveler par le bas dans une sorte de « monoculture ; elle s’apprête à produire la civilisation en masse, comme la betterave » l.19. De plus, les images de pollution, de maladie (prolifération cancéreuse) évoquent le prix de la prodigieuse progression technologique de l’Occident, c'est-à-dire la destruction, l’invasion et la mise en place d’une corruption généralisée.

Incipit de Germinal Dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles, d'une obscurité et d'une épaisseur d'encre, un homme suivait seul la grande route de Marchiennes à Montsou, dix kilomètres de pavé coupant tout droit, à travers les champs de betteraves. Devant lui, il ne voyait même pas le sol noir, et il n'avait la sensation de l'immense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges comme sur une mer, glacées d'avoir balayé des lieues de marais et de terres nues. Aucune

intérieur qui brûlait depuis un an, avec une fumée épaisse, en laissant à la surface, au milieu du gris blafard des schistes et des grès, de longues traînées de rouille sanglante. Puis, les champs se déroulaient, des champs sans fin de blé et de betteraves, nus à cette époque de l'année, des marais aux végétations dures, coupés de quelques saules rabougris, des prairies lointaines, que séparaient des files maigres de peupliers. Très loin, de petites taches blanches indiquaient des villes, Marchiennes