Biafra

qui n'est guère étonnant étant donné que la décolonisation s'est faite dans le respect de frontières coloniales, fixées sans leur consentement (exemple des problèmes du Nigeria avec le problème des Hibos, qui instaurèrent une éphémère République du Biafra en 1968). Vigoureusement réprimées, ces tentatives expliquent l'effet dévastateur du principe pour les Etats et leur tendance à le contrer par le droit international, par l'intangibilité des frontières et le principe de continuité de l'Etat. 1

groupe de Brazzaville constitué en Décembre 1960 (presque tous les Etats francophones), qui deviendra par la suite l’Union africaine et malgache (UAM), puis l’Organisation commune africaine et malgache (OCAM). L’OCAM sera divisé par le conflit de Biafra. Le groupe de Brazzaville est notamment favorable à la coopération avec la France. - le groupe de Casablanca qui se constitue en Janvier 1961 (Maroc, Ghana, Guinée, Mali et République arabe unie). Ce groupe est particulièrement hostile au

soutiennent qu'ils ont été victimes d'un génocide. Ils ont obtenu le droit de vote en 1967, bien après les autres citoyens australiens. • Interdiction d'accès à la prêtrise dans le Mormonisme (1844-1978) • Les épurations ethniques modernes (Nigeria, Biafra, Kosovo, Rwanda) • Guerre civile au Darfour, au Soudan. • Indépendamment de toute comparaison de la valeur de ces races, le racisme a également désigné le droit pour un groupe de pratiquer un eugénisme visant à se « protéger » contre les conséquences

internationale avec OTAN, ONU, politique européenne de défense. Plus de la moitié des missions de l'armée ont un caractère humanitaire, sa valeur nouvelle, le développement de l'humanitaire. L'humanitaire moderne existe depuis 1967, au Nigeria la région du biafra fait cecession ce qui va entrainé une famine très mortelle avec une mobilisation privée par des mouvement religieux, le retentissement internationale va se faire avec la télé( la misère va émouvoir), c'est la première fois ou on parle d'ingérence

encore immature confrontée à une violence qui la dépasse, a été abordée de façon magistrale par l’écrivain nigérian Ken Saro-Wiwa, dans Sozaboy : A Novel in Rotten English (1995). Le roman, qui a pour héros un jeune garçon pris en pleine guerre du Biafra, utilise une langue volontairement irrespectueuse des normes, qu’il revendique comme du « petit nègre ». Est proposée dans cet article une analyse de deux romans d’Ahmadou Kourouma, Allah n’est pas obligé et Quand on refuse on dit non. Ce dernier

parties dans une affaire qui met en cause la présence massive d’au moins huit Etats membres de la CEDEAO, les proconsuls expriment leur solidarité vis-à-vis d’un futur pair souhaité. Ils jouent avec du feu dans une région ensanglantée de la guerre du Biafra (1967-1970) à la guerre en Côte-d’Ivoire, toutes les deux guerres par procuration. La mémoire très courte, les hommes en place au Nigéria, qui exécutent les ordres de mise en place d’un houphouétistes, oublient vite le tort causé par l’houphouétisme

chaque coin et cette proposition, cette recherche : « Que veut dire être humain envers des enfants aussi fous que des enfants peuvent l'être ? S'agit-il de les rallier purement et simplement au statut qui est le nôtre et qui nous vaut le Vietnam, le Biafra, le Pakistan, en attendant la suite ? Ou bien s'agit-il d'amorcer la recherche d'autre chose que ce qui mène irrémédiablement à ces impasses de cruauté absurde ? Une telle recherche fait mirage. Et puis ces enfants délivrés d'être parqués dans les

d'Amilcar Cabral, le héros de cette résistance à qui Alexandre Kum'a Ndumbe III rend hommage dans sa pièce Amilcar Cabral ou la tempête en Guinée-Bissau (1976). Le même auteur dans Kafra-Biatanga (1973) évoque les événements sanglants survenus au Biafra (Nigeria) et au Katanga (Congo, aujourd'hui Zaïre) après les indépendances et montre les difficultés et les pièges de la construction nationale. La lutte pour la libération du continent africain demeure un sujet à l'ordre du jour et, comme tout Africain

par exemple en Inde où des massacres entre hindous et musulmans font plusieurs centaines de milliers de morts en 1947 et 1948. Ou encore au Nigeria où une guerre civile entre les ethnies du Nord et du Sud du pays provoque une épouvantable famine au Biafra en 1967, la première dans l’histoire de l’Afrique postcoloniale. Aux guerres civiles et aux massacres ethniques et religieux, s’ajoutent également des guerres interétatiques : Maroc contre Mauritanie, Tchad contre Libye, Inde contre Pakistan, etc

la Guinée intérieure, la Haute-Volta, le Niger, le Nigeria du nord ” Cette opinion est partagée par l'historien J.E. Inikori qui écrit : “ Quand aux territoires d’origine des effectifs considérables exportés par le golfe du Bénin, le golfe du Biafra et le Congo-Angola, ils ont nécessairement subi un grave dépeuplement ” L’Afrique occupe la plus grande place dans le Vodou haïtien. Un pays de l’Afrique, en l’occurrence la Guinée est le centre géographique repérable de l’univers mystique. On connaît