Bienfaits De La Civilisation

un désir d’expansion territoriale et d’obtention de ressources naturelles, qui semblent abondantes dans les territoires inexplorés de l’Afrique par exemple. Cependant, cette idée se voit transformée, au cours de son application réelle sur des civilisations indigènes. Plusieurs conséquences irréversibles et d’actes inhumains vont en découler, comme le dénonce plusieurs fois l’auteur dans son œuvre : « Discours sur le colonialisme » (1950). Cet ouvrage, rédigé par l’écrivain Aimé Césaire, dénonce une

Philosophie – Dissertation sur le sujet de la nature de la civilisation. Dans un des passages du Discours de la méthode de Descartes, rédigé en 1637, le philosophe dit qu’avec une connaissance parfaite de la nature nous pourrions nous rendre « comme maîtres et possesseurs de la nature ». Avec une telle déclaration, la science devient une amélioration de la condition humaine, celle de la recherche du confort humain et de la santé. Cela permettrait de répondre aux défis lancés par la puissance

l’homme « blanc » et de la civisilisation européenne. Les peuples de couleur sont jugés inférieurs et barbares. Les européens ont donc le devoir d’apporter les bienfaits de la civilisation européenne aux indigènes (population implantée dans un pays avant la colonisation). La mission civilisatrice de l’Europe vise à apporter les bienfaits nés de l’industrialisation : la médecine, l’électricité, le chemin de fer…mais il faut aussi inculquer des valeurs morale par l’instruction et la christianisation

de survivre, de voir d'autres personnes … De nos jours, le développement des nouvelles technologies comme internet ou encore la télévision (où sont transmis des émissions et reportages sur ce qui nous entoure, c'est à dire connaître d'autres civilisations, ce qui permet de découvrir comment vit autrui à l'échelle mondiale) ou encore des moyens de communication comme le téléphone, permettent de faire voyager virtuellement. Mais le virtuel remplace-t-il le réel ? Pour répondre à cette question, je

Introduction : La nature recèle de véritables merveilles susceptibles de soigner de nombreux maux. L’aloés surnommé le lys du désert ou la plante miraculeuse est appréciée depuis des millénaires par toutes les civilisations du monde pour ses bienfaits. Elle semble aujourd’hui retrouver sa place prestigieuse. En effet, nous assistons à une progression stupéfiante de sa culture et à une reconnaissance de ces propriétés thérapeutiques en matière de médecine, de dermatologie, de cosmétologie sans savoir

convention à laquelle se rapporte bien à point ce qu’on dict : homo homini ou deus ou lupus » Essais II, V.    Spinoza s’y réfère dans le scolie de la proposition 35 de la 4e partie de l’Ethique.    Freud cite Plaute dans son texte : Malaise dans la civilisation  et Bergson écrit dans : les Deux sources de la morale et de la religion : «  Les deux maximes opposées homo homini deus et homo homini lupus se concilient aisément. Quand on formule la première on pense à quelque compatriote. L’autre concerne

Les colonies étaient des régions conquises par les métropoles, dominées, occupées, administrées par force et leur exploitation fût féroce et barbare. L’idée du sauvage à qui on apportait la civilisation est pernicieuse par ce qu’elle tente de masquer l’objectif réel du colonisateur. Ce n’était pas la civilisation qu’on apportait mais l’aliénation. Un travail de fond était fait pour convaincre les indigènes qu’ils n’avaient pas de culture ou quand il en avait une elle était mauvaise et il fallait l’abandonner

luxe * C’est au XVIIIe siècle, celui de la révolution industrielle, que le luxe aurait fait son apparition. Deux figurent emblématiques des Lumières s’opposent à son sujet : Voltaire et Rousseau. * Pour Voltaire, le luxe est toujours un bienfait comme le démontre son œuvre Le Mondain (1736) dans laquelle il fait l’éloge du luxe. Ce dernier est incontestablement associé à la notion de progrès technique, ce qui représente une avancée sociale pour la société. D’une part, Voltaire, par le biais

La culture est l’ensemble des connaissances, des savoirfaire, des traditions, des coutumes, propres à un groupe humain, à une civilisation. Elle se transmet socialement, de génération en génération et non pas l’héritage génétique, et conditionne en grande partie les comportements individuels. La question : La pluralité des cultures est-elle un obstacle à la compréhension de l’homme ? Nous invite à définir le terme de compréhension de l’homme. Le premier serait celui de la compréhension entre les

LE CORBUSIER, L'homme, la technique et la Nature, 1928 Espoir de la civilisation machiniste : le logis L'unité selon le trésor de la langue française est « le caractère de ce qui n'est ou ne fait qu'un ; caractère de ce qui forme un tout substantiel et cohérent. Caractère de ce qui forme un seul être une seule entité. » C'est également un « élément d'un ensemble, entité (chose ou être) considéré(e) comme formant un tout indivisible. » L'unité peut donc être individuelle dans un ensemble