Bienséance Et Représentation

08/01/2014 Les règles du théâtre classique Paul Ferret 2nde A center42481500 center0Une représentation théâtrale du Malade Imaginaire de Molière à Versailles en 1664. Peinture du XVIIe siècle. 00Une représentation théâtrale du Malade Imaginaire de Molière à Versailles en 1664. Peinture du XVIIe siècle. Sommaire La règle des trois unités Page 2 La règle de la bienséance Page 3 Les deux types de pièces classiques : la comédie et la tragédie Page 4 Les principaux auteurs du théâtre classique

conventions se modifient mais elles continuent d’exister.  Exemple : le théâtre classique français et la règle des trois unités (lieu, temps, action) + règle de bienséance (ne pas choquer les spectateurs) et de vraisemblance. 2) Ces conventions sont liées à la nature même du théâtre dont la finalité est la représentation Argument : La représentation dans un espace clos rend inévitable l’existence de conventions.  Exemple : dans les théâtres occidentaux -> bâtiments fermés -> on est confronté au problème

l’aristocratie (dont le prince de Conti, ancien libertin protecteur de Molière mais brutalement converti), de la bourgeoisie et du clergé qui se donnent pour mission de lutter contre les hérétiques, les libertins et les réformés tout en menant des actions de bienséance. Pour régenter les mœurs, les membres de la Compagnie du Saint Sacrement n’hésitent pas à s’immiscer dans la sphère privée et familiale, exerçant une influence occulte qui inquiète le pouvoir monarchique. Les dévots vrais ou faux mènent également

Fiche 19 : les genres du théatre p.482 1. La comédie La comédie classique (17e ) -incarnée par Molière -propose une représentation de la société de son temps. -Centrée autour d’un personnage qui présente un défaut ou une manie Satire morale -recours au : comique de langage, de geste, de situation ou de caractère. La comédie sociale(18e) -naissance de la thématique amoureuse -Dans la première moitié du siècle, Marivaux explore les jeux de feintes, ceci entraine le retardement

un duel entre les deux femmes. Lecture On nous demande comment s’opère le duel entre les deux protagonistes . Pour cela nous allons étudier trois axes majeurs : un duel sous le masque de la bienséance une arme : l’ironie il s’agit d’un duel entre une coquette et un Tartuffe en jupon Partie 1 : Bienséance : C’est ce qui ne choque pas le bon goût de l’époque. C’est un ensemble de barrières à ne pas franchir, or cette scène est une scène d’Agôn ou d’Agone (une scène de combat dans le théâtre Grec

unité de temps (24heures maximum): « Qu’en un lieu en un jour un seul fait accompli/ Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli ». 3. La règle de bienséance : Le souci de plaire est au cœur de l’esthétique classique : l’auteur se veut donc en harmonie avec la morale et les goûts de son public. Il y la bienséance « interne » (celle des personnages) et la bienséance « externe » qui vise à ne pas choquer la sensibilité ni les principes moraux du spectateur. 4. La règle de vraisemblance : La tragédie se veut

déroulement d’une histoire réelle). c. La règle de bienséance     Le souci de plaire est au cœur de l’esthétique classique : l’auteur se veut donc en harmonie avec la morale et les goûts de son public de manière à rencontrer son adhésion. La personne royale est, bien entendu, l’arbitre suprême du bon goût. S’instaure dès lors une règle tacite : celle des bienséances (= conduites en accord avec les usages). Il en existe de deux sortes. • La bienséance dite « interne » : elle prescrit que le comportement

déroulement d’une histoire réelle). c. La règle de bienséance     Le souci de plaire est au cœur de l’esthétique classique : l’auteur se veut donc en harmonie avec la morale et les goûts de son public de manière à rencontrer son adhésion. La personne royale est, bien entendu, l’arbitre suprême du bon goût. S’instaure dès lors une règle tacite : celle des bienséances (= conduites en accord avec les usages). Il en existe de deux sortes. • La bienséance dite « interne » : elle prescrit que le comportement

Durant le XVIIe siècle, le théâtre français atteint un véritable apogée, grâce à un concours de circonstances particulièrement heureux qui conjugue la qualité des auteurs dramatiques, la considération de Louis XIV et le développement de lieux de représentation stables. Le genre théâtral est en pleine mutation. Si la farce connaît un regain de succès au début du XVIIe siècle, elle s'éclipse presque complètement avec la disparition des principaux acteurs qui assuraient sa réussite et avec l'évolution

déroulement d’une histoire réelle). c. La règle de bienséance Le souci de plaire est au cœur de l’esthétique classique : l’auteur se veut donc en harmonie avec la morale et les goûts de son public de manière à rencontrer son adhésion. La personne royale est, bien entendu, l’arbitre suprême du bon goût. S’instaure dès lors une règle tacite : celle des bienséances (= conduites en accord avec les usages). Il en existe de deux sortes. • La bienséance dite « interne » : elle prescrit que le comportement