Bienséance Le Cid

-confrontation de l'indiviu avec les contraintes sociales, politiques et morales -l'idéal d’équilibre et d’honnêteté | Théâtre, fable portrait | -maximes et formules générales -litote (permet le respect de la bienséance) -effets de parallélisme et de symétrie | -Corneille, Le Cid (1637) -Racine, Andromaque (1667) -Molière, L'Avare (1668) -La Fontaine, Fables (1668-1693) -Malherbe, Boileau, Mme de La Fayette, La Bruyère | XVIIIè | Les Lumières | Les lumières réfléchissent par

principes : * La clarté : « ce qui se conçoit bien s’énonce clairement » Nicolas Boileau « L’Art poétique » * La vraisemblance : refus des incohérances * La bienséance : on ne doit ni choquer ni aller à l’encontre des conceptions politiques et religieuses. Se met en place la règle des trois unités au théâtre. Pierre Corneille «  Le Cid », Molière «  Tartuffe » , Racine « Andromaque » au théâtre. La Fontaine renouvelle le genre antique de la fable. La Rochefoucauld « Les Maximes », De La Bruyère

social mais il est sublime pour ce qu’il est à l’intérieur. D’ailleurs quand on fait l’onomastique de son nom, on se rend compte que c’est une synthèse de la noblesse et du peuple : Ruy pareil à Rodrigue est un prénom noble (personnage présent dans le Cid de Corneille) et Blas qui est une contraction du nom populaire Blaise. b) Ruy Blas, un être sensible : Il apparait comme un être sensible, on le voit à la grande tirade lyrique (expression exacerbée des sentiments). Il fait part de ce qu’il a

métaphores et des allégories, -création de mots nouveaux -l’antithèse, les effets de contraste et l’hyperbole -le théâtre dans le théâtre & la complexification de l’intrigue romanesque - utilisation de maximes, -litotes (pour respecter la Bienséance) - parallélisme & symétrie - dialogue argumentatif -ironie, implication du lecteur - éloquence Ecrivains & œuvres T. More (L’Utopie,1516), Erasme (Eloge de la folie,1509), Rabelais (Pantagruel, 1532 et Gargantua,1534) ; Montaigne

Andromaque de Jean Racine) La tragédie-comédie : coup de théâtre , la pièce commence avec un drame et se finit par un dénouement heureux. ( Le Cid de Corneille) A cette période on devait respecter la règle des 3 unités : Le lieu :Un seul lieu Le temps : un jour , 24h L’action : qu’une seule action . Il y en avait également d’autres comme ; le ton , la bienséance externe-interne et la vraisemblance. La Comédie Française a été construite en 1680 : Le XVIIIème siècle : Les deux grands dramaturges

point venue, Car les fils sont debout, et le duel continue. » Ainsi, cette soif de vengeance ne fait qu’attiser le duel qu’ils entretiennent déjà quant à l’amour qu’ils portent tous deux à Dona Sol. Cette intrigue n’est pas sans rappeler celle du Cid de Corneille, l’un des pièces préférées d’Hugo, qui met également en scène la soif d’un fils de venger son père. Nous pouvons établir cette vengeance comme l’un des intrigues principales de l’œuvre car elle est présente tout au long de l’œuvre

Le théâtre est un genre littéraire comprenant des œuvres écrites pour être jouées devant un public par des acteurs. De plus, le théâtre classique est le plus souvent caractéristique d’un ensemble de règles telles que la règle des 3 unité, ou de bienséance. C’est un art qui existe depuis l’antiquité. Roger Planchon écrit en 1958 à propos de la pièce Georges Dandin de Molière datant du XVIIème siècle « Nous aimons cette pièce car elle a été écrite le mois dernier , c’est pour nous la définition d’un

de l’acte V, le public était témoin du déclin de cette reine qui s’empoisonnent, avoue ses fautes à son époux et meurt. Or, J. Racine vit à l’époque où le Classicisme règne. Ainsi en écrivant cette pièce, il s’affranchit en partie de la règle de Bienséance. Certes, la reine boit une potion, il y a donc absence de toute effusion de sang. Cependant le spectateur la voit mourante et dépérir durant de longues minutes jusqu’à s’éteindre sur scène ; il voit donc une femme face à la mort et à ses fautes

pour le mensonge. Jean de la Fontaine Grand dramaturge du registre comique au XVIIe siècle, Pierre Corneille eût une carrière bien remplie voire même agitée. Connu pour plusieurs de ses œuvres dont notamment Le Cid qui a, rappelons-le, suscité une querelle pour des causes de bienséance, il a aussi écrit l'ouvrage dont nous allons étudier quelque aspect: Le Menteur, en 1643. Le héros, Dorante, a pris la fâcheuse habitude de mentir afin de séduire ses interlocuteurs et de les impressionner. La citation

propose ou plutôt impose une fin du théâtre classique malgré les conservateurs. En effet, il rompt avec les règles classiques, tout d’abord avec celles des trois unités, sauf l’unité d’action, car elles étouffent le véritable génie. Puis les règles de bienséance car elles empêchent la vraisemblance. Non pas celle que défendent les Classiques mais celle qui leur permet de dépeindre la réalité, sans les fioritures employées pour rendre un texte plus coquet. Ce courant refuse, également, de distinguer