Bienséance

qui veut que l’action se déroule en 24 heures et l’unité d'action qui demande à ce qu’il n’y ait qu’une seuleintrigue. Le drame romantique quant à lui est tout à fait libre dans la durée et le lieu choisi. La tragédie doit aussi suivre la règle de bienséance, c’est-à-dire qu’on ne peut pas montrer sur scènedes choses choquantes comme des scènes de violence ou la mort afin de ne pas heurter le public, contrairement au drame romantique qui lui n’en tient pas compte. La tragédie classique respecte aussi

physique ou par son discours. -Fait preuve de retenue -Ouvert et curieux -Savant et aimable -Raffiné Il faut viser la perfection : -La vraisemblance: On ne joue que ce que l’on peut croire et on ne fait pas n’importe quoi sur scène. -La bienséance : elle consiste à respecter des normes de conduites. Ex : pas de scènes vulgaires et où il y a du sang, pas de duels, pas de morts. Les écrivains de ce mouvement privilégie la description qui valorise les caractéristiques de l’Être humain.Ils doivent

lettres (rayonnement au service de la puissance royale)Soutien à l’académie française,Système de pensions pour récompenser les artistes et les écrivainsLe classicisme se veut un art de raison et de bienséance (pas d’excès, expression modérée, juste et précise.1630 théorisation des règles : bienséance, vraisemblance, trois unités (temps action lieu)Ne pas choquer, pas de combat, de mort, de corps, de sexualité sur la scèneExistence d'une censureLa querelle des anciens et des modernes :· Polémique

Lecture linéaire n°13 : Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves, 1678.Introduction :A peine mariée avec le prince de Clèves, l’héroïne rencontre le duc de Nemours et les deux jeunes gens se découvrent une passion réciproque. Partagée entre son devoir et ses sentiments, craignant de succomber à son inclination, la princesse de Clèves finit par avouer à son mari que son cœur bat pour un autre. Soupçonnant son épouse d’infidélité, le prince ne survivra pas à son chagrin : la princesse et le duc porteront

de régir la vie en société ? Bienséance, morale, religion... droit et bienséance (au sens large) ces règles peuvent être fortes mais pas juridiques. Elles ont un caractère abstrait, elles imposent une conduite, elles sont obligatoires et si on ne les respecte pas on a une sanction mais elles n'ont pas la même force qu'une règle de droit. La violation d'une règle de droit peut nous envoyer devant les juges ce qui n'est pas le cas pour une règle de bienséance. Il n'y a pas de tiers ni de juge

la mort des personnages au théâtre. Quels sont les différents choix des auteurs pour présenter la mort des personnages au théâtre ? Comment s’expliquent-ils ? Ces textes présentent la mort de manière original. Chez Molière, la règle de bienséance n’est pas respectée. En effet, la mort est présentée sur scène tandis que Giraudoux et Ionesco optent pour une mort relatée par un autre personnage. De pus, chez Molière, la mort est représentée de façon fantastique : c’est un spectre en femme voilée

l'Antiquité (violence et poésie épique) et la chrétienté (mélange des genres). Victor Hugo fonde l'esthétique romantique sur six points capitaux : reproduction de la vie réelle (mélange des genres), rejet du carcan classique (règle des trois unités, bienséances, vraisemblance), recherche d'une grande liberté créatrice, maintien de la versification et peinture d'une « couleur locale ». Les représentations des pièces du théâtre romantique ont donné lieu à des confrontations entre les « modernes » et les

désirs excessifs des personnages, il ressort guérit de ses désirs grâce à l'identification qui se produit entre lui et le personnage. Les règles : - être écrit en cinq actes - la règle des 3 unités - progression dramatique Les 3 unités et la bienséance : d'action : Acte I > Exposition. L'amour de Phèdre pour Hippolyte et celui d'Hippolyte pour Aricie, incompatibles, sont rendus impossibles par Thésée, père d'Hippolyte et époux de Phèdre. Le désordre s'installe. Acte II > Thésée étant donné

------} Bartholo se caractérise par la recherche d’un plaisir de domination, immoral par l’indifférence qu’il témoigne au bien être d’autrui. 2)Le plaisir en contradiction avec la bienséance. *Dans cette pièce, le comte et Rosine montrent parfois trop d’inclinations au plaisir, ce qui contredit la bienséance. = Tout d’abord, le comte courtise Rosine alors qu’il la croit mariée. Il apprend la vraie situation de la jeune fille à la scène 4 de l’acte I : « j’étais résolu de tout oser

un arbre, fait le récit de la bataille de Rodrigue contre les Mores  burlesque Le mariage avec Chimène a lieu aussitôt après la victoire de Rodrigue  Corneille adapte sa source au goût et aux exigences (cf. surtout les règles d’unité et de bienséances) de son époque. Le genre : entre tragi-comédie et tragédie Le Cid a été présenté comme une tragi-comédie lors de sa première publication (1637) Il est devenu tragédie dans la première édition collective des Œuvres de Corneille (1648)  à