Bientraitance

formation ont été abordés. Nouvelles mesures de formation : - Optimiser le temps de formation : formation de base passée de 10 à 3 jours - Nouvelles formations sur l'autisme et la manutention et ergonomie - Poursuite de la formation sur la bientraitance et maltraitance. - Formation pour les responsables de secteur Annexe 6: Tableau de bord

différentes directions que j'ai déclinées ici en trois thèmes. • Relations et communication avec les personnes atteintes de démence. • Manque de formation spécifique pour les aidants aux prises avec la démence. • Isolement, enfermement et non bientraitance des personnes atteintes de démence. J’ai donc fait un choix et je me suis posé la question suivante : Comment l'aide-soignante peut-elle établir une relation de confiance et entrer en communication avec un patient atteint de démence afin d'améliorer

et souffrance des soignants à l’hôpital [en ligne]. Adresse :http://books.google.fr/brooks?hl=fr&id=VOJB_TUrkWEC&oi=Frd&pg =PA1&dq=sociologie+du+soignant&ots=AQb4-q980T&sig=XGyoW_1W5a_zwnE • FOUDRAIN C., CRESTIN BILLET C., LE REUN N. La bientraitance, pour une qualité de vie meilleure (dossier). Soins Gérontologie, 2002, n° 38, pp. 1529 122 • • GREBOT E. Stress et burnout au travail. Identifier, prévenir, guérir. Editions d’organisation. Marsat : Eyrolles, février 2008.234 p. Groupe

l’Education Populaire. Depuis 2009. Travaux communs sur l’évolution de la profession, partenariat P.A.S. S. (printemps de l’animation sociale). ALMA : ALlô MAltraitance des personnes âgées et maltraitées. HABEO : H pour handicap, A pour âge, B pour bientraitance, E pour écoute, O pour orientation. Depuis 2009. Participation aux travaux et aux instances. HABEO gère le numéro national ''maltraitance'' 39 77. PAS-à-PAS (Communication-Edition) Depuis 2010. Travaux sur des projets de développement, de communication

l’expérience par la rencontre avec les familles, les échanges mutuels et à la capacité d’écoute de chacun. D’autre part, la chef de service observe que les formations, les lectures , les conférences ainsi que les échanges inter-CADA sont garants de la bientraitance. Enfin, afin de privilégier la qualité d’échanges et le lien de confiance avec les usagers les professionnels s’appuient sur les spécificités culturelles des résidents lors de fête de fin d’année et fête d’été (préparation culinaire, jeux traditionnels

créer. Elle est singulière comme l’est la situation de vie dans laquelle un soignant est amené à prendre soin d’une personne » 23 Je ne saurais définir le prendre soin d'une manière aussi complète que Mr Hesbeen. Pour, moi le prendre soin est une bientraitance, c'est apporter un certain bien être. C'est comme l'a dit l'auteur, un ensemble de « petites choses » que nous pouvons faire au quotidien afin d’améliorer la qualité de vie des résidents. Certains n'ont pas besoin de soins a proprement dits mais

formation des aidants familiaux 6.1. La problématique générale des aidants familiaux et la question de leur formation 6.2. La formation des aidants dans le domaine du handicap psychique 6.3. Les pistes ouvertes par le Plan Alzheimer et le Plan Bientraitance 7. Les formations transversales 7.1. L’idée d’un « socle commun » de formation à l’accompagnement : l’exemple de l’association I = MC² 7.2. L’offre de formation des universités 8. Perspectives et préconisations 8.1. Rappel des préconisations du

sur l’autre, (inscrivent) le projet d’accompagnement de la personne dans une véritable individualisation de la prestation. La prise en compte de cette variabilité et l’adaptation de l’intervention à ces fluctuations est un facteur majeur de bientraitance” (plus de satisfaction de l’usager donc plus de garantie de “travail bien fait” pour le salarié Des temps d’intervention minimums “Tant en termes de conditions de travail que de qualité de l’intervention, on ne peut envisager un temps d’intervention

accompagnements médico-sociaux et elles procèdent à des contrôles à cette fin ; elles contribuent, avec les services de l’État compétents et les collectivités territoriales concernées, à la lutte contre la maltraitance et au développement de la bientraitance dans les établissements et services de santé et médico-sociaux, – elles veillent à assurer l’accès aux soins de santé et aux services psychosociaux des personnes en situation de précarité ou d’exclusion, – elles définissent et mettent en œuvre

(Jobert, 2002, p. 253). Il est difficile de supporter cette insuffisance de l’action, cette impossibilité d’atteindre jamais l’idéal visé, et pourtant cette acceptation fait probablement partie d’une attitude véritablement professionnelle : « La bientraitance pure n’existe pas – elle ne pourrait d’ailleurs être que totalitaire – et toute éducation génère des moments de crise, de conflits, de souffrance » (Caffari, 2003, p. 56). Eduquer demande ainsi une attitude d’humilité et de renoncement à toute