Bientraitance

modifications et améliorations en « mode  Développement ». Contexte de reprise : Formation en SI (Programme PASS) Le logiciel QPR permet : Côté soignants : * D’améliorer leurs relations avec les usagers, par des «pratiques » de bientraitance. Côté usagers : * De trouver un interlocuteur en cas de litige. * De dire sa satisfaction quand la prestation a répondu aux attentes. Côté gestionnaires : * D’améliorer l’image de l’établissement par l’amélioration de la relation

pencher sur le concept de care, concept qui rejoint la plupart des éléments de définition de la bientraitance. En effet, le terme de care signifie avant tout donner de la valeur à quelqu’un, respecter ce qu’il est, ses qualités et ses besoins. Ce n’est pas le care en tant que tel qui nous intéresse, mais l’éthique du care, qui définit un ensemble de comportements relevant, à nos yeux, de la bientraitance : « la caractéristique la plus importante de l’éthique du care est peut-être que les situations

promotion de la Bientraitance.-Développer des modes de communication entre services techniques et services éducatifs et les différents sites.-Optimiser la gestion des emplois et des compétences.- Favoriser la formation continue.- Améliorer le bâti, les condition d’accueil, garantir l’accessibilité et la sécurité en rénovant régulièrement les bàtiments et en faisant participer les usagers à l’amélioration de leur cadre de vie.Et pour finir , je détaillerais les fondamentaux de la Bientraitance .La bientraitance

axes : 1) faire vivre les droits des patients : c’est-à-dire rendre plus visibles et lisibles les droits des patients avec une attention accrue portée aux personnes les plus vulnérables. 2) La bientraitance à l’hôpital : il convient d’identifier les facteurs clés de la bientraitance ( accueil, accompagnement des patients et des proches…). 3) Les nouvelles attentes du citoyen, acteur de santé : le rôle et le positionnement du patient, comme ceux de ses proches ont profondément évolué

(Tacnet-Auzzino). « Un libre-arbitre menacé » (Tacnet-Auzzino). 8 Le consentement à l’admission en EHPAD DONNÉES STATISTIQUES : Enquête ORS-DRASS Aquitaine, 2006. SELON LES RÉSIDENTS (ORS-Drass Aquitaine) : Anesm, Questionnaire Bientraitance, 2009. Près de 60 % des résidants ont été partie prenante dans la décision d’entrer en établissement. Un quart a déclaré l’avoir prise seul et un tiers avec le concours de l’entourage. Les autres (40 %) disent ne pas avoir participé à la

maltraitance même si dans la situation de cette dame, le geste était pour améliorer son état de santé. Dans l’ouvrage « de la maltraitance à la bientraitance » de Françoise Boissières-Dubourg «Tout comportement de maltraitance ferait subir à l’autre une violence en la rabaissant à la condition de chose, d’objet » Finalement les limites sont minces entre la bientraitance et la maltraitance. En sortant de la chambre, j’étais tellement en colère que j’ai dit ce que j’en pensais à l’infirmière. Elle a convenu

âgées même dépendantes et vulnérables se pose les principes: * → de la bientraitance * → du respect de la charte des personnes âgées dépendantes * → du questionnement éthique en soin et de l'accompagnement au quotidien. La bientraitance, comme la bienfaisance, peut être centré uniquement la responsabilité du soignant et de l'aidant. Il faut faire attention à de ne pas en rester à un aspect formel de la bientraitance, c'est-à-dire à en rester à une simple application d'une charte où d'une

notamment dans les soins techniques ou encore dans la médication. Mais est-ce une excuse pour déconsidérer ou encore dépersonnaliser les patients, et de manière générale, de « banaliser l’humain dans le système de soins » ? I] Banalisation et Bientraitance 1) Prise de conscience et réflexions Walter Hesbeen témoigne d’une histoire qu’il l’a profondément marquée. Durant ses débuts en tant qu’étudiant, « une dame âgée était allongée sur un brancard […] elle était seule […] et attendait qu’on vienne

des alternatives, sans jamais répondre en miroir, juger ou culpabiliser le patient. •Relations soignants/patients : bientraitance confrontée à la violence : Le manque de moyens, de temps, de formation marquent une augmentation des situations de crise et de violence envers les soignants. Il s’agit d’éviter de répondre sur le même mode, et de rester dans le cadre de la bientraitance. Trois témoignages nous éclairent : ils montrent comment les soignants, face à des comportements qu’ils ne parviennent

droits, qu’ils ne connaissaient pas toujours. Au sein de l'établissement, le moniteur éducateur, comme tous les autres professionnels de l’établissement, est aussi présent pour s’assurer de la bientraitance des personnes accueillies. Selon l’Agence Régionale de Santé : “Le développement de la bientraitance et la lutte contre la maltraitance constituent une priorité nationale dans le secteur social et médico-social comme dans le secteur sanitaire. Les circulaires des 23 juillet 2010 et 20 février