Biocapacité

Manuel Hachette – doc 1 p.158 B. Biocapacité et empreinte écologique par région, en 2005 -  Manuel Hachette – doc 2 p.158 Question : complétez le texte ci-dessous (les chiffres sont à calculer, n’oubliez pas de lire l’encadré « définition » de l’empreinte écologique qui contient des données dont vous aurez besoin ; les mots sont tous lisibles dans les 2 documents du livre) Pour satisfaire les besoins d’un Américain du Nord, il faudrait une biocapacité équivalente à ……. planètes (…… / 1,8)

nouvelles activités et l’élimination des objets techniques périmés.Empreinte écologiqueMesurés en hectares.Surface nécessaire à une population pour renouveler les ressources naturelles qu’elle consomme et absorber ces déchets (CO2).Hectare Globaux Biocapacité**capacité d’un écosystème reconstituer ses réserves et à absorber les déchetsInstitutions Manières de faire ou de penser au sein d’un groupe humain.ProductionMesurée par la valeur ajoutée PIB : somme des valeurs ajoutée Valeur ajoutée = valeur

une pop pour son alimentation, ses déplacements …, ainsi que pour absorber les déchets rejetés. La surface est mesurée en hectares. Qd l’empreinte écolo (today 2.5 hectares/pers en moyenne) dépasse la biocapacité (today 1.8 hectares/pers) la Terre est en situation de « dépassement écolo » Biocapacité : surface dispo pour satisfaire nos besoins (une planète Terre). L’empreinte écolo a + que doublé en 47 ans. Depuis 1970 la Terre est en situation de dépassement écolo. Cette situation est majoritairement

serait nécessaire de disposer de plusieurs planètes comme la terre pour satisfaire les besoins de tous. En termes d'empreinte écologique, selon les chiffres du WWF, l'empreinte moyenne d'un Américain du Nord en 2008 est de 9,4 hectares, pour une biocapacité par habitant de 2,14. Pour résoudre cette contradiction, il est nécessaire de revoir le mode de vie occidental vers une diminution de l'empreinte écologique. Les catégories utilisées lorsqu'il est question de pays en développement font référence

économique, social et environnemental, l’épuisement des ressources du fait de la croissance économique ne répond donc pas à cela. De plus les externalités liées à la croissance économique, la pollution des nappes phréatiques par exemple diminue la biocapacité de la planète, à cela vient s’ajouter la forte croissance démographique qui implique des besoins en eau croissant et le problème devient réellement important. On peu encore ajouter d’autres problèmes de nature écologique occasionnés par l’activité

nécessaire à une population pour répondre à sa consommation de ressources : nourritures, chauffage, habitat.. Elle reflète le degré d’utilisation de la nature par l’homme à des fins de production et de consommations. Les valeurs de l'empreinte et de la biocapacité sont calculées annuellement par le Global Footprint Network. Pour protéger l’environnement et mesurer la qualité de vie de ses pays membres, l’OCDE a imaginé un indicateur de bien-être et de progrès, le bonheur intérieur brut, basé sur 11 critères

auxquelles on soustrait les exportations. Cette surface est exprimée en hectare globaux (hag), c'est à-dire en hectares ayant une productivité égale à la productivité moyenne. Elle varie suivant les niveaux de consommation des populations. La biocapacité de la Terre est de 1,68 hag, l’empreinte moyenne mondiale est de 2,84, celle des français est de environ 5, celle des américains (USA) est de 8,4, celle du Maroc entre 1.7 et 2 gha, celle des habitants du Burundi, 0,6. - Résilience d’une espèce

6°C. -Depuis 1860, 11 des 13 années les plus chaudes depuis 1990. -Consensus sur le fait que l’homme en partie responsable. -XXIème siècle, prévisions : +1.4 +5.8°C. Changement de grande ampleur. -Empreinte écologique, indicateur de Rees : *Biocapacité : 1.8/ha *Auj. : 2.9ha monde Inde : 0.6, UE : 4.5, EU : 12.5. → Mode de vie non soutenable. -Collision entre civilisation et biosphère. II – Prise de conscience brutale 2-1 La crise de conscience écologique (1960-1970) -Fin XIXème : écologues

ont reposé sur des ressources naturelles peu chères). Pour mesurer l'impact de la croissance sur l'envt on utilise la notion d'empreinte écologique (hectare de superficie de la terre-conso de K naturel) (certains pays ont une e.e + imp. Que leur biocapacité) 3. Vers la notion de dvlpt durable ? a. La notion de dvlpt durable : une construction progressive 1ères prises de conscience des effets néfastes de la cr sur l'envt datent de la fin des 60's/début 70's avec le rapport Meadows (1972 : « the

fortement décliné. L'empreinte écologique mondiale( évalue la surface de terre et le volume d'eau nécessaire pour produire les ressources qu'un pays consomme et pour absorber les déchets qu'il génère.) depuis le mileu des années 1960 éxcédait de 50% la biocapacité de la planète. En 2007, elle a ainsi utilisé l'équivalent d'une planète et demi. Cette évolution est en grande partie dûe au développement des pays tropiquaux qui commencent à polluer Une des autres conséquences sur l'environnement c'est l'augmentation