Biomécanique

d’environ 20% par an depuis dix ans. Les TMS affectent principalement les muscles, les tendons et les nerfs. Les zones touchées sont l’épaule, le coude, le poignet, la main, les doigts, le genou, la cheville et le pied. Ils résultent de contraintes biomécaniques (répétitivité des gestes, niveaux de forces élevées…). Les symptômes sont une douleur associée à une gêne fonctionnelle, à des fourmillements. Le T.M.S le plus fréquent est le syndrome du canal carpien. Il apparaît dans les métiers de la restauration

Connaissances techniques et pédagogiques de l'option sportive Planification de l'entrainement Déterminants cardio-respiratoires de la performance Déterminants perceptivo-moteurs du geste sportif Théorie de la préparation physique Déterminants biomécaniques et musculaires de la performance Connaissances techniques et pédagogiques de l'option sportive Stratégie marketing Analyse financière Le management des organisations MARDI 4 JANVIER 2011 MERCREDI 5 JANVIER 2011 RECTIFICATIF MARDI 4 JANVIER 2011

capacités physiques et le temps dont il dispose. Pour cela, un entraînement « sur mesure » est possible par une meilleure adéquation entre le profil énergétique du coureur (dont nous allons préciser les déterminants) et la spécificité physiologique et biomécanique de la course de fond. En effet, un entraînement scientifique requiert l’étalonnage des réponses physiologiques (fréquence cardiaque, consommation d’oxygène, lactatémie, débit ventilatoire) sur un éventail de vitesses proches de la vitesse de celle

| |4 : Expert |en fin de tir | | |Niveaux |Ressources informationnelles |Ressources biomécaniques |Ressources affectives | |1 |Se concentre uniquement sur le ballon |Coude collé au corps |Peur de rater le cadre du but | |2 |Ne prend pas en compte

structure de l’entraînement et de la compétition Dans cette étape, l’entraîneur étudie, analyse et décortique les caractéristiques spécifiques de la compétition (route, piste, cyclo-cross…) et celles inhérentes à l’athlète (profil physiologique, biomécanique et mental) pour donner une cohérence à l’élaboration du processus d’entraînement. L’entraîneur peut collaborer avec un scientifique de l’activité afin de rassembler leurs connaissances (ingénieur du sport ?). Ils mettent en avant les principaux

faire des élèves novice en sport collectif, des élèves débrouillés alors qu’ils sont en plein changement morphologique, qu’ils ne maitrisent pas correctement leurs capacités, leurs potentiel, dans une activité qui demande autant de ressources biomécaniques, bioinformationnelles, et cognitive ? Nous pouvons essayer d’y répondre déjà en réduisant les prise d’information des élèves tout en restant dans la logique interne de l’activité, comme par exemple réduire les démentions du terrain, réduire le

fonctionne les compétions internationales: différente compete de diff valeur, certain nombre de point, + les 3 cas de figure Enjeux de la formation ( enseignant etc): déplacement particulier, espace arrière, espace aérien (saut), rotaiton, biomécanique qu'un enfant doit développer entre 4 et 8ans. Developper une inteligence tactique, et maitrise d'une affectivité liée à l'opposition. Gerer ses émotions, stress (positif) Interet pédagogique: question trasnversale. Pas de bagage technique très

>0 ou a 0) Mouvement rectiligne uniformément accéléré (a>0) 2011-2012 L1 – Support aux TD de Pé-Requis Scientifiques (UEL1 FP3.1) Université Paris-Sud 11 – UFR STAPS Isabelle SIEGLER U r − V U r r = VECTEURS Utilisations nombreuses en biomécanique, pour représenter les variables de position, déplacement, vitesse, accélération et forces. 1. Définition Un vecteur est un objet mathématique qui se définit par : - une orientation/direction, ex : droite D - une amplitude ou norme U r (toujours

déterminants entreprise , avec les effets sur l’opérateur et l'entreprise Hypothèses et validation : [pic] Les douleurs de dos ou TMS d'ou viennent ils ? La sur-sollicitation des articulations et du dos (on parle aussi de facteurs biomécaniques). Elle apparaît très vite, dans des situations de travail variées : gestes répétitifs, mouvements de grande amplitude articulaire, efforts importants, postures prolongées…   Elle est liée à la conception des postes de travail, aux choix dans

d’environ 20% par an depuis dix ans. Les TMS affectent principalement les muscles, les tendons et les nerfs. Les zones touchées sont l’épaule, le coude, le poignet, la main, les doigts, le genou, la cheville et le pied. Ils résultent de contraintes biomécaniques (répétitivité des gestes, niveaux de forces élevées…). Les symptômes sont une douleur associée à une gêne fonctionnelle, à des fourmillements. Le T.M.S le plus fréquent est le syndrome du canal carpien. Il apparaît dans les métiers de la restauration