Blâme

Sujet : Le recueil des châtiments est d’abord une œuvre satirique. La poésie est-elle sacrifiée à cet objectif ? I) Le recueil des châtiments est effectivement une œuvre satirique. 1) L’auteur établit le blâme de Napoléon III. Exemple : - « Fable ou histoire » : Ici l’auteur critique Napoléon III d’être un malheureux singe qui se vente d’être une personne supérieur aux autres. - « Souvenir de la nuit du 4 » : Ici l’auteur accuse Napoléon

« La loi est faite par les faibles et par le plus grand nombre. C'est donc par rapport à eux-mêmes et en vue de leur intérêtpersonnel qu'ils font la loi et qu'ils décident de l'éloge et du blâme. Pour effrayer les plus forts, les plus capables de l'emporter sur eux, et pour les empêcher de l'emporter en effet, ils racontentque toute supériorité est laide et injuste, et que l'injustice consiste essentiellement à vouloir s'élever au-dessus des autres : quant à eux, il leur suffit, j'imagine, d'être

mélioratif des dévots avec des mots tels que "meilleur" et "merveilleux". Nous observons que dans le troisième extrait, celui de Molière « Tartuffe », il y a un ton emphatique ainsi qu’un discours qui se présente sous forme de blâme. Cléante dresse le portrait et blâme les faux dévots en prononçant un réquisitoire enflammé. Nous avons aussi une force expressive du discours où l’on insiste sur les idées de la conviction et de l’énergie, afin d’emporter l’adhésion de l’interlocuteur, Cléante veut

encourues par les agents publics sont établies dans un ordre croissant de gravité et reparties en degrés. Ainsi, pour les fonctionnaires de l’Etat ou de l’Assemblée nationale, les deux degrés de sanctions sont : * premier degré : l’avertissement, le blâme et l’exclusion temporaire des fonctions de quinze (15) jours au maximum ; * deuxième degré : l’exclusion temporaire des fonctions de seize (16) jours au minimum et de trente jours (30) au maximum, l’abaissement d’échelon, la mise à la retraite

à un refus de suivre une consigne de l'employeur, aux erreurs professionnelles, à un manquement aux règles de discipline intérieure et du secret professionnel. La sanction à appliquer sera alors équivalente à la faute et sera matérialisée par un blâme, une mise à pied, une rétrogradation, une mutation ou un licenciement (sans préavis pour ce dernier). L'employé devra s'entretenir préalablement avec le salarié, afin de lui préciser le motif de l'éventuel licenciement et de lui permettre de s'expliquer

de la rupture consommée. Provocation encore que l'insistance à trois reprises sur la proximité des corps « appuyés l'un sur l'autre », « enlacés », « dans les bras ». 2. Un blâme en forme d'éloge, à lire en filigrane Les mots aussi ont deux destinataires. L'éloge de Rosette doit être lu en filigrane : c'est en réalité un blâme de Camille. Perdican présente les qualités de Rosette à la forme négative, rendant ainsi plus transparents les défauts et erreurs de Camille (il suffit d'enlever la négation) :

vassal, tenu d’attendre votre loisir ? », « Oh ! puissé-je, soumis à un signe de vous, supporter la prison d’absence que me fait votre liberté ! » mais en même temps il semble résigné « je suis fait pour attendre » et totalement compréhensif « et je ne blâme pas votre plaisir, innocent ou coupable ». Le poète joue sur les mots, associe les contraires « serf »/« vassal », « innocent »/« coupable », « prison »/« liberté » et les procédés stylistiques comme les interjections « Oh! puissé-je », « Ô let me

une poésie identitaire ». Notions littéraires : les genres de l'ode, de l'élégie, de la tragédie, de la lettre : caractéristiques principales de chacun ; les registres littéraires suivants : épique, tragique, élégiaque ; l'éloge et le blâme ; le verset : définition, intérêt (se reporter au document sur l'évolution de la poésie du Moyen Âge à nos jours), rythmique (décompte des syllabes, accents toniques) ; figures de style fréquentes dans la poésie senghorienne : répétition, anaphore

Sganarelle est l’amuseur, celui qui détend l’atmosphère, mais aussi l'intercesseur du public. Malgré leurs relations amicales, Sganarelle demeure un inférieur Dans la première scène, Sganarelle dresse un portrait très péjoratif de son maître, un blâme, à Gusman, valet d’Elvire. Il le critique vivement en le qualifiant de « pourceau d’Epicure », « vrai Sardanapale », « hérétique »… Il présente son maître comme un libertin sans aucune morale : « rien n’est trop chaud ni trop froid pour lui ». Il a

imposé par la société, l’ordre peut être ressenti comme une situation anormale. Cette morale peut-être étouffante et néfaste lorsqu’il n’est pas compris. Ces lois sont aussi une source de tension entre les individus. Exercice 4 : Rousseau fait le blâme de la civilisation. Ce dernier est convaincu que celle-ci a perverti les hommes. Ce philosophe des lumières fait l’éloge du « bon sauvage » en condamnant les injustices sociales. A ses yeux, elles sont nées de la propriété. Lui reproche ainsi de trahir