Blé

là(forêts) ( exemple: Asie des moussons) 2/les facteurs historiques et économiques Les foyers principaux de la population Europe/Asie existaient déjà au moment de l’antiquité, ils sont restés des foyers de population car on a développé la culture du blé( Europe ) et du riz (Asie) on a pu avoir de plus en plus de population car on a pu nourrir cette population. En ce qui concerne l’économie au XIX nièmes siècles au moment de ka révolution industriel des européens sont partis s’installés aux Etats-Unis

végétatif, les plantes annuelles prélèvent dans le sol des quantités d’éléments nutritifs très variables. Pour l’azote et le potassium, les besoins peuvent dépasser plusieurs centaines de kilos à l’hectare : par exemple, pour K 2O, 250 à 300 kg pour un blé, 500 kg pour une luzerne ou un ray-grass Pour le phosphore, ils se situent en moyenne à 60-90 kg par hectare, exprimés en P2O5. Pour les éléments secondaires (S, Mg, Ca), les besoins totaux des plantes sont en général de 50 à 100 kg par hectare, exprimés

indice présente deux pics en 2008 et 2011 qui correspondent aux deux périodes de crise récentes. Une tendance à la hausse générale du niveau des prix s’observe donc à partir du milieu des années 2000 et a été particulièrement marquée pour le riz, le blé et le maïs (respectivement 11 %, 8 % et 8 % de croissance moyenne annuelle entre 2000 et 2011, contre – 1 %, 0 % et – 2 % entre 1990 et 2000). Si les marchés des matières premières sont toujours très volatils, ces deux événements d’une ampleur exceptionnelle

exemple les graisses ou l’ADN, de l'oxydation et jouent un rôle protecteur contre la cancérogenèse et contre le développement des maladies cardiovasculaires. Il est bon de savoir que le maïs possède plus d'antioxydants que d'autres céréales tels que le blé, l'avoine ou le riz. Le maïs renferme de la lutéine et de la zéaxanthine, deux antioxydants qui vont permettre de faire baisser le risque de dégénérescence maculaire et de cataracte, deux maladies faisant perdre la vue progressivement. Ils aident

Appuyer avec des indices espace céréalier ex : Le moulin de sevestreville Les Quarantes Mines Le Muid de l'oie mesures céréalières une mine = 100 kg un setier = 250kg un muid = 1 tonne la photo aérienne (en générale prise au mois d'août ) blé moisson vers le mois d'août ensuite l'orge jaune puis le maïs verte foncé le maïs plante d'origine tropicale demande de la chaleur et de l'eau (cercle – irrigation par asperssion que l'on retrouve essentiellement pour la culture du maïs) En

irrigation (notamment en Chine du Nord a partir de 1970) et à l’utilisation de semences améliorées, d’engrais et de pesticides qui ont permis une forte croissance de la production, et donc des rendements. La Chine a donc bénéficiée de variétés naines de blé et de riz, ainsi que de variétés hybrides. La région agricole la plus développée en Chine est le nord est, puisque depuis 1960, 25 millions d’hectares ont été mis en culture (soit 20% de la superficie cultivée du pays). On se rend compte de même que

moderne. Plusieurs affirment que nous sommes encore dans l’époque de la révolution verte. Afin de vous donner un impact de l’ampleur de cette révolution sur l’agriculture, il a fallu mille ans pour réussir à passer d’un rendement de 0.5 à 2 tonnes de blé par hectare de culture en Angleterre; de 1960 à 2000, le rendement est passé de 2 tonnes/hectare à 6 tonnes par hectare. La révolution verte ne s’est pas limitée qu’aux pays développés; elle a d’ailleurs commencé dans les pays d’Amérique du Sud et de

qualifie alors de « sucre rapide ». C’est pour cette raison, d’ailleurs, qu’on l’utilise dans les perfusions avec de l’eau minérale pour compenser le manque alimentaire des malades. □ L’amidon, lui est présent dans la farine, les céréales (riz, blé, maïs), les pommes de terre et légumineuses (lentilles, pois …). 3- QUELLE TRANSFORMATION SUBIT L’AMIDON DANS NOTRE ORGANISME? L’amidon , grosse molécule , est présent dans de nombreux aliments mais n’est pas utilisé directement par notre

conseillées aux personnes intolérantes à ce sucre, que l'on trouve dans le lait de vache et dont la consommation peut entraîner des troubles digestifs. L’huile de soja, à utiliser en assaisonnement, compte parmi les rares huiles (colza, noix, germe de blé), dont 1 à 2 cuillères à soupe quotidiennes suffisent à satisfaire nos besoins en acides gras essentiels, c'est-à-dire en matières grasses que notre organisme ne sait pas fabriquer seul. Le soja serait susceptible d'abaisser un taux de cholestérol trop

pour subsister. B. L’amélioration des techniques Mais le VIIè siècle voit apparaître un essor démographique, en partie dû à l’amélioration du climat. Le principal progrès réside dans l’apparition des moulins à eaux, qui permettent de moudre le blé avec une force mécanique. Le rendement est toujours très faible pour 1 grain semé, 1,6 à 1,8 grains récoltés. Cela à pour conséquence d’accroître la superficie des terres exploités, c’est l’essartage (défrichement). L’apparition de la charrue permet