Blâme D Un Personnage

texte B = châle qui s’échappe (plus poétique). - Récurrence des mêmes détails - Expressions ou mots proches On pouvait évidemment montrer en quoi la réécriture était plus riche : structure améliorée (expl : les paroles qui matérialisent le personnage sont reléguées à la fin) Pistes pour répondre (comparaison C / D) : - Réécriture qui procède par citations (italiques) - 2 critiques (nuancées) de la femme mûre - 2 scènes d’adieu - Intrigue quasi identique - Détails proches - Lexique

Première question: Dans le texte A, Victor Hugo, Les châtiments « À l’obéissance passive ». Nous allons observer que, dans un premier lieu, cette poésie est un éloge des « soldats de l’an deux ». Nous verrons ensuite en quoi cet éloge est aussi un blâme : Premièrement, nous allons voir les procédés littéraires qui servent à l’objectif de l’éloge des soldats de l’an deux : Ce poème est épique. Effectivement, nous trouvons dans ce poème des procédés littéraires qui nous permettent de le dire épique

révélée son identité ? Pourquoi ? /2 Les personnages /9 8) Où apparaissent la plupart des personnages du roman ? Qu’est ce que cela met en évidence ? /1 9) Quels sont les deux personnages principaux ? /1 10) Etablissez une présentation pour chacun des deux /4 10) Qui est Rambert ? /1 11) Que représente Cottard ? /1 12) Pourquoi peut-on dire que le Père Paneloux est-un personnage ambigu ? /1 La Peste / 5 13) Comment

Son argumentation visant jusque là à la repousser, il semble tenir cependant à lui montrer son amour. S’il la repousse, ce n’est pas de son plein gré. 2) La chute et l’auto-blâme La tragédie est lancée, le héros tragique subi la fatalité, cela dans une chute sans fin. Afin d’éloigner son aimée il s’auto-blâme. * La chute La chute est non seulement socialement, mais également une chute du monde aux enfers. Le vide social crée sa déchéance sociale  « Je n’ai plus un ami qui de moi se

essentiels du roman qui définissent la thématique principale : l'opposition intérieure entre vertu et passion chez le personnage éponyme. Les reproches adressés et la formulation de l'implicite. Mme de Chartres reproche donc à la duchesse de Valentinois d'être infidèle, intéressée et d'abuser de son pouvoir sur le roi à des fins malhonnêtes. Mais c'est aussi le roi qui est blâmé (voir ligne 13 : « il n'est pas excusable »). la longue subordonnée conditionnel qui commence à la ligne 13 permet

l'existence d'une classe moyenne, un menon entre les riches et les pauvres : Euronomia. • La poésie iambique est basée sur un pied. Brève puis longue accentuée. C'est une poésie très vive et très crue. Elle est la poésie de l'éloge ou du blâme de tel ou tel personnage. Elle peut en ce sens être ironique. Le poète le plus ancien de cette poésie, Archiloque, a été recensé grâce à des fragments d'une œuvre datant de -600 avant J.-C. relatant une éclipse solaire. Archiloque est l'auteur de Les Plaisirs

Enfin nous ferons une description et une interprétation des moyens utilisés Guernica est un tableau monumental Il mesure vingt-sept mètres carrés. Ce tableau est monumental, dans tous les sens du terme. Tous les personnages sont d'une taille plus grande que nature. Son format, le choix des couleurs ainsi que le travail des formes impressionnent le spectateur. CONTEXTE HISTORIQUE: Quel évènement Picasso représente –t-il ? Pourquoi ? En 1936, l’Espagne adorée de

culture pop, les films de dessins animés et de fantaisie, la télésérie Game of Thrones, la musique de variété, etc. Dans son premier ouvrage « Harry Potter à l’école de philosophie » Marianne Chaillan nous présente le monde magique de Harry et ses personnages sous une différente lumière. En un peu moins de 200 pages, elle décortique les liens qui existent entre l'œuvre de J. K. Rowling et les grands courants de la philosophie. La théorie sartrienne, la pensée d’Épictète et de stoïcisme, la vision nietzschéenne

la souffrance, la vieillesse, la mort, la séparation, la douleur, la maladie, l’exclusion, la solitude La présentation de tableaux édifiants et passionnés : la générosité du pauvre, le sacrifice d’une mère, le dévouement d’un ami… Le choix des personnages présentés comme des victimes : l’orphelin mal traité, le vieillard solitaire, le pauvre méprisé… Les procédés L’effet produit Vocabulaire affectif Champ lexical de la souffrance et de la mort Evocation du malheur Descriptions détaillées

Par ailleurs, le blâme est ( comme l'éloge d'ailleurs) un thème dominant. En effet, La Bruyère dénonce l'attitude des courtisans qui consiste à blâmer autrui, non parce qu'il a agit contre la morale mais uniquement parce qu'il n'a pas servi ses intérêt ou parce qu'il ne peut plus être utile dés lors qu'il n'est plus en faveur : c'est le cas de Timante ( De la cour, 56) ou celui du courtisan décrit dans la remarque 32 ( De la cour) : " Vient-on de placer quelqu'un dans un nouveau poste, c'est un