Blâme D Un Personnage

orale destinée à persuader un auditoire. Repérez la situation d'énonciation • Qui faire parler ? Le sujet vous propose une situation fictive s'appuyant sur un ou plusieurs textes du corpus. Le discours à produire peut être celui d'un personnage, d'un auteur fictif, etc. Les marques de personne, de temps et de lieu du discours doivent donc se rapporter à cet émetteur imaginaire ou réel. • À qui s'adresse le discours ? Le sujet peut préciser à quel auditoire s'adresse le discours

de questions rhétoriques. On retrouve aussi le champ lexical de l’indignité, "indignes", "mauvais", "infâmes". Il blâme directement son fils et insiste sur la durée de ce comportement "continuelles", "à toutes heures" et sur le nombre d'actions comises. A partir de la l. 180, on assiste à une véritable leçon de moral. Dom Louis rappelle à Dom Juan son statut de gentilhomme. Son blâme devient plus virulent : il assimile Dom Juan à un "monstre". C'est une métapore très dévalorisante. Dom Juan s'exclut

car lui il n'a rien fait. C'est la loi du plus fort qui est mise en avant dans cette fable c'est pourquoi le loup est vainqueur. Le titre représente les deux personnages : Le loup est en premier car c'est la plus fort. Un début idyllique= l'agneau+le décor= atmosphère paisible → contraste avec l'arriver du loup. Les personnages : le loup est en quête poussé par la faim => ses intentions sont mauvaises. Il est traître (perfide) (des prétexte fallacieux). La parole : le loup attaque

 L’extrait d’ « Hernani » (III.1) est à la fois un éloge, et à la fois un blâme. Avant de montrer que les jeunes ne savent pas aimer et les vieux savent aimer, il montre que si on regarde les choses superficiellement, on pourrait croire que le contraire. En effet, on remarque que Don Ruy Gomez mène un discours mélioratif au sujet des vieux qui « savent », d’après lui, aimer. Il reproche aux jeunes gens de ne pas savoir le faire. Il explique à Dona Sol pourquoi certains savent aimer

Mariama Bâ utilizes beaucoup de l'idéalisme et la romantisme dans son riche nouvelle culturelle Une si longue lettre. Elle parle beaucoup de la libération des femmes et les problèmes qui les tenace. On voit une personnage idéaliste et romanesque qui ressorte du roman. La femme, Ramatouyle, est une femme qui souffre l'infidélité de son épouse quand il prend un co-épouse. Elle souffre puisqu'elle droit payer les dettes prés la mort de son mari. En plus de cela, elle doit s'occuper de ses 12 enfants

riche peut s’élever en mariant ses enfants à de familles illustres, nobles : 27 « Chrysippe ». Le créateur d’impôts : 28 « Ergaste ».Le monde comme un théâtre, comme une tragédie et les hommes comme personnages : 31 avec le plaisir pour le peuple de voir « périr sur le théâtre du monde les personnages les plus odieux ».L’acquisition de richesses, de fortune et la sottise, le hasard (donc l’absence de mérite) ne sont pas incompatibles : 38.La passion, l’ambition sont d’apparentes vertus : 50.Le riche

caricatures Calvino suit la tradition des comptes que ce soit celle de Voltaire ou de Rabelais. On propose des histoires drolatique et invraisemblable, on crée des stéréotypes. En effet, les noms propres indique clairement les fonctions de chacun. Les personnages dans les comptes présentes une qualité ou un défaut, ils n’ont pas de psychologie. Ainsi le Bon (l. 13-34) incarne la vertu, la générosité qui s’oppose à l’aspect diabolique. Le docteur Trelawney (l.10) signifie trois et loi. Il est celui qui respecte

est plus développé. Des personnages tellement parfais qu’on se demande si ils sont réels. Nous avons une description d’un autre genre dans Les égarements su cœur et de l’esprit. Crébillon Fils nous dévoile le portrait de Mme de Lursay avec une série d’adjectifs l’à décrivant comme « coquette » l.1, « galante » l.1, « prudente » l.4. Mme de Lursay semble être une femme aimant les hommes et les plaisirs « aventures d’éclats. » l.2 et comme une libertine. L’auteur ne blâme pas l’attitude de Mme Lursay

l-73 et « un bouclier » l-83. Ceci contribuent à l’efficacité de sa parole, Dom Juan essaye de convaincre Sganarelle, ainsi que le spectateur, de la justesse des ses idées et de son attitude. Nous trouvons également des métaphores filées « les personnages » l-67 ; « jouer » l-68 ; « la profession d’hypocrite » l-68 et « un art » l-69. Elles sont liées à un champs lexical du déguisement : « rhabillé » l-82 ; « manteau » l-83 ; « habit » l-83 et « mes affaires » l-90. Ceci à été conçu pour insister

entendre). Démontrez en analysant des citations clefs. 2 En quoi le personnage comique de Dandin est-il pathétique (suscite la pitié) en étant victime d’une forme de cruauté due à la bêtise et à la société ?