Blâme Paresse

présenté. Nous pouvons observer qu'un champ lexical du caractère complétant le portait moral est présent tout au long de cet extrait : « est résigné » (l37) «  n'est pas ambitieux » (l34) « paresse triste » (l7-8) ou encore « il sait attendre » (26). Cette description n'est ni caractéristique de l'éloge ni du blâme. Cela donne une certaine neutralité au personnage. Il est comme absent. De plus les traits de caractères propres à la résignation renforce ce sentiment de médiocrité que peut éprouver

Fénelon. Perspective et type de texte (ou forme de discours) : « déçu » implique une prise de position sur le mode de vie décrit et votre désaccord texte argumentatif : vous devez faire sentir votre jugement ; il s'agit donc en partie d'un blâme, d'une contestation, mais dans les formes. Situation d'énonciation : Qui ? « vous » vous utiliserez le « je » ; vous devenez un personnage fictif. À qui ? « aux habitants de la Bétique » ils seront vraisemblablement désignés par « vous ».

inouie. C'est une gamine delicat et gracieuse, svelte et indeniablement jolie. Mais Marie-Antoinette ne songe guere aux etudes, aux livres et l'instruction. Sa gentillesse naturelle, son entrain primesautier et son espieglerie font oublier sa grande paresse. Elle a une figure charmante, et reunit toutes les graces du maintien. Elle aura tous les agrements que l'on peut desirer d'une princesse si elle grandit. Son caracteres et son coeur sont excellents. Mais inattentive,petulante et vive, Marie-Antoinette

de cela, de ce qu'il pleut... ». Ceux-ci accélèrent le rythme du vers, et donnent l'impression d'une plainte infinie. L'homme est ici perçu comme un individu blâmant Dieu continuellement et en toute circonstance. Il paraît donc paradoxal, puisqu'il blâme un Dieu qu'il craint cependant : il fait la charité afin de s'assurer une place au Paradis. Encore une fois, l'orgueil de l'Homme est dénoncé puisque ce-dernier cherche son confort présent et futur plutôt qu'un épanouissement religieux. De plus

conséquence. Nous avons donc le devoir de ne pas nous voiler la face pour quelque raison immature que ce soit : paresse, refus de l’effort… En effet, ces comportements font parfois préférer la spontanéité à la réflexion, ce qui peut avoir des conséquences néfastes. Quand le temps le permet, rien n’est capable d’excuser ou de justifier l’absence de réflexion. Si l’insouciance ou la paresse peuvent nous faire agir spontanément et sans réfléchir, elle peut aussi nous faire préférer l’obéissance à

capitaux qu'incarne Gnathon = Envie, Gourmandise, Paresse. b) Un sacrilège à peine voilé -Métonimie et 3 idées sur le même plan = l. 15 « Au sermon,ou au théâtre que dans sa chambre »  Renforce l'idée de sacrilège c) Satire des gens de cour (dont la plupart sont des rustres) Gnathon = italique = Allégorie Absence de rafinement , personnage ridicule ( burlesque) Conclusion Un portrait sans concéssions Regard du moraliste Blâme des courtisans

autour de ce mélange que s'inscrit notre séquence : éloge et blâme, qui appartiennent plus précisément à l'épidictique, rejoignent naturellement les registres mis en œuvre dans le plaidoyer ou le réquisitoire, qui ressortissent au judiciaire. Dans toutes ces productions, en tout cas, la littérature reconnaît l'une de ses vibrations fondamentales, chargée toujours des accents de l'amour ou de la haine.   EXERCICE 1 : l'éloge et le blâme.    Apologie ou satire, louanges ou railleries, les genres

torture, c'est-à-dire qui consent à mentir pour s'épargner des souffrances ? Et cet autre qui, épris de boisson, s'engage dans une querelle qu'il aurait évitée s'il avait été sobre ? La réponse d'Aristote est simple : on ne peut être récompensé ou blâmé que des actes dont on peut être tenu pour responsable. Reprocher à un homme d'avouer n'importe quoi sous la torture, c'est lui reprocher de souffrir. Or, quoi qu'en disent les stoïciens, la souffrance ne dépend pas de nous : celui qui souffre n'est

plus dans Les caractères , avec Giton et Phèdre de La Bruyère , celui-ci se moque des riches et pauvres(il montre l'influence de l'argent sur le peuple). En effet il utilise des hyperboles comme: "il dort le jour, il dort la nuit" pour exagérer la paresse de Giton et "il n'occupe point de lien" pour exagérer l'inexistence et la timidité de Phèdre. Il amuse le lecteur en caricaturant les hommes. Il critique les mauvaises moeurs et vices des hommes dans le but de les rendre meilleurs. Dans le Recueil

opposition face aux critiques a) La défense de Sandoz : même après sa mort, Claude reste incompris du monde : Tout le le long de cet œuvre Claude est sens cesse critiqué, d'une part par la bourgeoisie mais aussi, ses confrère → « accusé de paresse » l.23 ; « refusé d'apprendre son métier » l.25 Mais ce court passage de la ligne 22 à 34, il n'est certes pas valorisé mais reconnu pour son talent révolutionnaire par Sandoz et Bongrand. Sandoz → « Lui que j'ai vue s'évanouir de fatigue, après