Bocklin

société, à l’exception de cette élite. Les écrivains se tournent volontiers vers d’autres types d’art, picturales surtout. Ils se détournent tous d’une peinture académique et officielle – Zola se bat pour Manet, Huysmans pour Moreau, Laforgue pour Böcklin. Tous défendent un art nouveau qui se développe en marge des institutions. C’est à ce moment qu’apparaît au niveau de l’art l’opposition entre un pôle de grande diffusion (culture populaire) et un pôle de diffusion restreinte opposé au succès commercial

grande partie scandinaves. Munch expose à Unter den Linden en décembre 1893. Il y présente six tableau en particularité puisque sous le titre de : l’étude de l’amour qui deviendra pas le cycle La Frise de la Vie. Influencé par le peintre Arnold Böcklin, il imprègne ses peintures d’ambiances fortes et obscures comme La tempête, Clair de lune et Nuit étoilé. Rose et Amélie et Vampire révèle le coté clair de l’amour. La mort est aussi exprimée dans ces œuvres, singulièrement dans La mort dans la chambre

style et de leur tempérament : ainsi Mengs, David, Ingres, Corot. L'autoportrait moderne cherche presque toujours dans la pose, dans l'expression, dans le choix des accessoires à définir l'artiste, à en imposer une certaine image : ainsi Whistler, Böcklin, Meissonier, et, avec un rare bonheur, Pissarro, Monet. Avec Courbet, qui se représente volontiers, domine la revendication et la glorification sociales ; avec Van Gogh et jusqu'à Corinth et Beckmann, le tourment psychologique. On retrouve ainsi la

Double-Monarchie s'illustrent à travers les talents à Prague, de Preisler, de Kupka (qui passera à l'abstraction), de Mucha (qui devient l'un des célèbres affichistes et décorateurs de l'art nouveau), et à Budapest de Rippl-Ronai. Le peintre suisse Arnold Böcklin, qui travaille en Allemagne et en Italie, joue un rôle important dans le courant symboliste ; son tableau l'île des Morts (1880, Bâle, Kunstmuseum) fait figure d'œuvre emblématique. Ce n'est que relativement tardivement que l'Italie, influencée par

signification par son caractère symbolique. Ce courant a une orientation spiritualiste, en réaction contre le réalisme et le matérialisme lié au développement des sciences et techniques. Principaux peintres : Puvis de Chavannes, Moreau, Redon, Bussière, Böcklin, Holder.    Le synthétisme (≈1888-1900) Variante du symbolisme dont le représentant principal est Gauguin. L’art est une synthèse entre la perception du réel par l’artiste et son expérience personnelle. Le peintre extrait un thème de la nature puis

« la tentation de St Antoine » 1878 « Adèle Block Bauer »1907 « le baiser » 1906 Gustave Moreau « L’apparition » Léon Spilliaert « La poursuite » Pierre Puvis « Le rêve » de Chavanne 1883 « L’espérance » 1871 « L’île des morts » Arnold Böcklin III. « Hercule et l’hydre de Lerne »1876 Sculpture Auguste Rodin « La porte de l’enfer » « Le penseur » « le pauvre pêcheur » 9. L’impressionnisme (1860-1910) I. Intro Epoque d’innovation techniques qui permettent des changements dans la

nombreux peintres ont voulu a leur tour présenter à leur façon l’œuvre qu’est l’Odyssée, et cette fois sur toile. Je vais donc vous présenter des représentations des chants au programme, c’est-à-dire V à XIII. Ulysse et Calypso : Ce tableau d’Arnold Böcklin intitulé « Ulysse et Calypso » est une huile sur bois de 1883 (se trouve actuellement en Allemagne) et représente Calypso à l’entrée de sa grotte et en arrière plan Ulysse sur « le promontoire où il passait ses jours, le cœur brisé de larmes de soupirs

laquelle tout ce qui existe est identifié à Dieu) Dans son poème la vie profonde , Anna de Noailles nous exprime un amour pour la nature et la folie de ses sentiments et émotions quelle peut ressentir en étant ainsi proche d'elle. . Arnold Böcklin ,Children Carving May Flutes (1865) « Être dans la nature ainsi qu'un arbre humain »

la peinture académique et traditionnel, ce qui empêchera par ailleurs Corinth d’apprécier la récente révolution de l’impressionnisme français ainsi que la peinture moderne incarnée alors par Manet. A Munich, il est particulièrement influencé par Böcklin et Klinger et cherche à réinterpréter leur technique et leurs thèmes iconographiques à sa manière. Ce qui l’amène à se tourner petit à petit vers un art résolument moderne à l’encontre de son enseignement traditionnel. Il installe finalement son atelier

sont les germes de ce qui va devenir La Frise de la vie ­ un poème sur la vie, l'amour, la mort. Nous retrouvons ici de pures ambiances comme La tempête, Clair de lune et Nuit étoilée, où l'on devine l'influence de l'artiste suisse-allemand Arnold Böcklin. D'autres motifs, comme ceux de Rose et Amélie ou de Vampire, dépeignent les facettes peu reluisantes de l'amour. Plusieurs toiles ont pour thème la mort, la plus frappante étant La Mort dans la chambre de la malade. C'est dans cette composition que