Bogie

chaîne de transformation d’énergie : locomotive diesel-électrique énergie chimique énergie mécanique de rotation moteur diesel génératrice énergie électrique énergie mécanique de rotation énergie mécanique de translation bogie moteur de traction La puissance La puissance caractérise le débit d’énergie fournie à chaque instant (instantanément) du passage de l’état initial à l’état final, elle décrit le chemin parcouru entre les deux états La puissance exprime la

de marche en avant ou en arrière, est obtenu en orientant le sens du courant électrique dans le bobinage inducteur par rapport à l’induit. • Les sectionneurs d’isolement : Ils permettent d’isoler les deux moteurs d’un même bogie en cas d’avarie à l’un d’eux, et d’assurer le fonctionnement de la locomotive avec les deux moteurs restants. b. Circuit de traction : C’est un circuit à haute tension dont les appareils ont pour rôle de

matériel remorqué à voyageurs, partie (Climatisation, éclairage, sonorisation et fourgons générateurs); Unité de Production : Maintenance du Matériel Moteurs Unité de Production : Maintenance du Matériel remorqué à voyageurs partie confort, Mécanique bogie et travaux de reprofilage; Service fonctionnel : Service technique : Assure la gestion des commandes de la matière, Pièces De Rechange et en vérifie la conformité des réceptions; Etablir le planning de production et ensuite la réalisation; 2-

maintenue par les sabots qui sont relies au châssis du bogie par des petites billes. d Le sabot: Il est constitué par la semelle et la porte semelle. Les semelles peuvent être en fonte ou en matière composite généralement de beaucoup moins dur que la matière des roues. Elle subit l'usure lors du frottement sur les roues qui se caractérise par une durée de vie courte. Le nombre des sabots par roue est variable selon la nature du bogie. CONCLUSION

référant au rythme très caractéristique des trains (tadam...tadam....tadam...). Ce bruit vient des roues du train qui passent avec un petit acoup d'un rail à un autre (les jointures étant très sommaires). Or les essieux sont groupés par deux au sein d'un bogie (boogie en anglais), supportant le wagon, d'où la double percussion répétitive. Ensuite, comme souvent dans le langage quotidien, les américains ont accolé un terme artificiel créé par assonnances, allitérations et onomatopées tout comme hip-hop vient

Horizontales : interviennent à 2 moments En courbe : le mentonnet des roues pousse sur le rail Solutions : 1. Faire des courbes + large 2. Réduire la vitesse 3. Incliner les rails extérieurs 4. Equiper les trains de bogie (sur chaque essieu) Un bogie est un chariot à 2 essieux qui peut légèrement pivoter sous le châssis du wagon En ligne droite : Effet de LACET (moment d lacet des véhicules provoquent un battement latéral alternatif des mentonnets sur le rail) C’est au point

les avions gros porteurs comme le B747 ou l'A380. Les principaux éléments structuraux d'un atterrisseur Un amortisseur composé : d'un fût ou d'un caisson d'un piston des éléments internes pour le fonctionnement et l'étanchéité Un bogie composé : d'une poutre de fusées Des contrefiches Des compas Le caisson constitue le corps de l'atterrisseur. Il contient l'amortisseur et assure la transmission des efforts principaux entre le sol et la structure de l'avion. L'amortisseur

« manSuvrabilité » : il construisit en 1832 « l’Experiment », dotée de deux roues motrices et d’un bogie avant orientable, lequel lui conféra une plus grande souplesse dans les virages et augmenta sensiblement sa rapidité. ❖ Les innovations techniques aux Etats-Unis Elles se succédèrent rapidement. En 1836, Henry Campbell, de la Philadelphia Railroad, mit au point une machine à huit roues (en comptant le bogie et les deux essieux moteurs), qui devint bientôt l’archétype de la locomotive américaine

significative. Les bogies : On appelle bogies les grandes pièces métalliques qui servent de roues. Sur un train “classique” (du type TER), il y a deux bogies pour chacune des voitures. En revanche, pour les TGV, c’est le contraire : un bogie suffit pour deux voitures et permet de relier les deux wagons. Sachant que leur poids est de 7 tonnes chacun, cette originalité a permis de réduire le poids du TGV. Pour les plus longs trains (450 mètres), cela représente une réduction de plus de 100

tension continue de 72V permettant la charge des batteries. Il distribue également la haute tension aux deux blocs moteurs. Dernière étape avant l’alimentation, et sûrement la plus importante, les blocs moteurs (BM). Il y en a deux par motrice (1 par bogie). Le bloc moteur permet de faire varier la fréquence de rotation des moteurs par le biais d’un hacheur. Il gère également le freinage électrique par fermeture de contacteur de freinage, ainsi que l’inversion du sens de marche. Enfin, on trouve les