Bois de Vincennes

Mémoire d'Haussmann « deux réseaux de conduite circulant sous la ville entière (…) l'eau jaillissant au besoin, sur tous les toits ». Il créa ou aménagea moult espaces verts au quatre coins cardinaux de Paris avec le bois de Boulogne à l'ouest, le parc de Vincennes de Vincennes à l'est, les Buttes-Chaumont au nord et le parc Montsouri au sud. Je ne m’étale pas sur ces différents points, Vincent et Seb vous développeront cela plus tard. En somme, Haussmann restructura profondément Paris à la

modèle de l’architecture classique française de la fin du XVIIe siècle. Deux autres de ses réalisations majeures en sont l’illustration : le musée permanent des Colonies (qui deviendra le musée des Arts africains et océaniens), construit au bois de Vincennes pour l’Exposition coloniale de 1931, et l’ambassade de France à Ankara (1934-1939).

Misères des courtisanes, publiée entre 1838 et 1847, décrit le coup de foudre du baron de Nucingen pour Esther. En effet, l'auteur nous décrit le déroulement de leur rencontre inattendue présentée sous le signe du hasard, se déroulant dans le bois de Vincennes. Balzac souligne la rencontre par le jeu des regards comme le fait Mme de La Fayette avec ses deux personnages principaux.

(environ 30%) et les kanaks (environ 68%) et 2 % pour les autres communautés de la population. L'exposition coloniale de 1931 a paris L’Exposition coloniale internationale de 1931 est organisée à la Porte Dorée à Paris, sur le site du bois de Vincennes. Sa direction est confiée au maréchal Hubert Lyautey. Elle a lieu du 6 mai au 15 novembre 1931. De plus, elle accueille 8 millions de visiteurs, venus accomplir « le tour du monde en un jour » selon le slogan de l'époque. La « plus grande France »

des places et de faire le lien entre la gare de l'est et l'observatoire. Les champs Elysées comme nous les connaissons aujourd'hui ont été construit par Haussmann. Beaucoup d'espaces verts sont créés pour une meilleure qualité de l'air (Bois de Boulogne et Vincennes). Haussmann fait en sorte que tous les immeubles se ressemblent : c'est l'esthétique du rationnel. Au final, il décompose Paris en 20 arrondissements. Afin de mettre les monuments en valeur

« l’accès à tout pour tous ». Cela nécessite de prendre en compte la spécificité de leurs handicaps et de mettre en place des aides humaines et techniques adaptées à leur vie quotidienne. En choisissant l'établissement les Papillons Blancs de Vincennes qui accueille des personnes en situation de handicap mental et des travailleurs handicapés, je désirais m'impliquer dans ce domaine social, et travailler avec un public avec lequel je n'avais pas encore collaboré. C'est ainsi, que j'ai pu découvrir

http://associacao-amizade-portuguesa.e-monsite.com/       Association Franco Portugaise 11 rue Constant Gallon 77310 St Fargeau Ponthierry Tel. 01.64.09.84.14     ACTP (Associação Cultural dos Trabalhadores Portugueses) "Les Margotins", 4, Rue du Bois Prieur 77330 Ozoir la Ferrière Tel. 01.64.40.27.23     APCS - Association Portugaise Culturelle et Sociale 62 rue Lucien Brunet 77340 Pontault Combault Shttp://apcs77.free.fr/ apcs@noos.fr Tel. 01.70.10.41.26 Fax. 01.70.10.41.27     Association

suis le veilleur du Point du Jour. La Seine se love dans l'ombre, derrière le viaduc d'Auteuil, Sous vingt-trois ponts à travers Paris. Vers l'ouest j'entends des explosions. Je suis le veilleur de la Porte Dorée. Autour du donjon le bois de Vincennes épaissit ses ténèbres. J'ai entendu des cris dans la direction de Créteil Et des trains roulent vers l'est avec un sillage de chants de révolte. Je suis le veilleur de la Poterne des Peupliers. Le vent du sud m'apporte une fumée âcre,

partie : « palais neufs, échafaudages, blocs, Vieux fbrgs » -> présente Paris pdt l’aménagement. « Les cocotiers absents » -> encore une fois, montre cmt Paris se refuse d’être cosmopolite, mais impose 1 modèle. Reste 1 lieu d’échappatoire : les bois de Vincennes/Boulogne, hauts lieux de promenade. Les sept vieillards : Présentation du vieux Paris que Baud connaît : « fourmillante cité », avec des « maisons dont la brume allonge(ait) la hauteur », et « Un brouillard sale et jaune » qui inonde tout l’espace

(boulevard des maréchaux). Il complète ce travail par des équipements nouveaux (aqueducs, réseau d’égouts vers de la Seine). Il installe des nombreux marchés, mais aussi des espaces verts, notion importée de Londres par Napoléon Ier (création de bois de Vincennes, et de Boulogne). Un senatus consulte du 25 décembre 1852 : expropriation de parcelles entières par simple décret. Elles ne sont pas toutes utilisées, donc on les revend plus chères. A partir de 1860, le financement de ces travaux devient plus