Bolloré

rapport à ceux d'autres entreprises ayant une activité similaire. L'analyse des comparables explique notamment les décotes de holding que subissent les groupes diversifiés tels que Bouygues (téléphone, BTP et télévision), Wendel Investissement ou Bolloré (opérateur logistique en Afrique, industrie, médias) (exception notable : General Electric). Il n'existe pas de bons comparables pour les évaluer (en plus du problème de la remontée des dividendes). L'analyse extra comptable (ou "économique")[modifier]

sur les évolutions majeures des états primaires pour faciliter la compréhension des chiffres ✓ Présenter dans les notes annexes des explications sur les évolutions majeures et les éléments significatifs des exercices présentés Exemples : Essilor, Bolloré S’interroger chaque année sur la pertinence des informations fournies afin de :  détailler les éléments nouveaux qui le nécessitent ;  éliminer les données non pertinentes et non significatives pour les périodes présentées. En 2012 : pour les

les + risquées peuvent rapporter gros mais peuvent aussi échouer. Si l’on prend un risque c’est qu’on en attend un bénéfice moyen supérieur mais il s’agit d’une moyenne. La prise de risque peut dépendre aussi de la nature de l’actionnariat. Ex : Bolloré donc l‘actionnariat est familial et donc qui peut attendre une rentabilité à plus long terme ; certaines E publiques (=Etat est majoritaire) ont pris des risques très importants, ex : qd France Telecom a racheté orange à un prix exorbitant. De manière

Journiac, Mathieu Kérékou, Bob Denard, Denis Sassou Nguesso, Jean-Bedel Bokassa, David Dacko, François Mitterrand, Guy Penne, Pascal Lissouba, Eduardo Dos Santos, Edouard Balladur, Philippe Jaffré, Roland Dumas, Bernard Kouchner, Laurent Gbagbo, Vincent Bolloré, Francis Bouygues, Félix Houphouët-Boigny, Nicolas Sarkozy, Dominique de Villepin, Jean-Marie Bockel, Alain Joyandet , Mamadou Tandja et Ali Bongo.

l'indépendance de la presse. Elle accroît les risques de conflit d'intérêts entre journalistes et annonceurs que connait déjà la presse payante. On peut citer le cas de Direct Soir qu' a dénoncé le Canard Enchaîné. Ce gratuit appartenant à Vincent Bolloré a connu 8 millions d'euros de pertes en 2007. La raison: un manque d'annonceurs. Desormais, chaque numéro fait maintenant sur deux pages l'éloge d'un produit dans sa rubrique « Economie », sans aucune objectivité. Cette publicité gratuite n'est donc

CMA-CGM à très court terme ou CSAV à plus longue échéance. A l’opposé, des compagnies ne réussissent à se développer et sont rachetées (cas de TMM par CP Ships) ou se sont engagées dans des stratégies de spécialisation à l’instar de Delmas du groupe Bolloré, pour lequel la stratégie demeure « rien que l’Afrique, mais toute l’Afrique ». Au moment même où les armements se globalisent, les armements spécialisés Nord – Sud et plus encore sur un segment Est – Ouest, auront tendance à se démarquer en conservant

norvégien et français Ouest France - Métro (décliné dan une vingtaine de pays) articles international groupe Norvégien et TF1 qui veut se diversifier - Direct Matin actionnaire majoritaire Français groupe Bolloré travaille en partenariat avec Le Monde -Direct soir appartient entièrement groupe Bolloré écrit par les journalistes de Direct8 Un pays où la presse gratuite n'a pas réussit à s'implanter c'est Allemagne.donc il est possible de s'y opposer. On a beaucoup insister sur la qualité de l'information

susceptible de garantir une plus-value confortable. Vincent Bolloré profite de cette situation pour investir dans l'entreprise jusqu'à détenir environ 10% du capital. Cet achat oblige Martin BOUYGUES à signer un pacte d'actionnaires avec ce dernier pour continuer à contrôler l'entreprise sans risques de perte de la direction. Il se retrouvera quelques mois plus tard avec François Pinault et Bernard Arnault, en remplacement de Vincent Bolloré. L'héritier de Francis propose alors un nouveau pacte d'actionnaires

politiques. Avant le second tour des élections présidentielles de 2007, les instituts officiels donnent tous Nicolas Sarkozy largement gagnant. Alors qu'un petit institut, sur la même méthode des quotas, prévoit une égalité avec Ségolène Royal. Vincent Bolloré, proche du président, détient tout le capital de CSA-TMO, la présidente du MEDEF, Laurence Parisot, était présidente de l'IFOP... Et de plus en plus les instituts se concentrent, détenus par des grands groupes financiers. Quelle est la place ici

celui de Charles Pasqua, celui de François Mitterrand, et ceux de moindre importance de Michel Rocard, Alain Madelin etc. Ces réseaux rencontrent souvent des stratégies de multinationales monopolistiques françaises (TotalFinaElf, Bouygues, Suez, Bolloré, Pinault...)[24]. D'un point de vue militaire, « les bases permanentes ferment les unes après les autres ; les accords de défense conclus dans les années 1960 sont renégociés. » Désormais, la France n'interviendra plus systématiquement ; ne le fera