Bolloré

CHAdeMO pour ses bornes à recharge rapide. Afin d’introduire le véhicule électrique dans notre vie de tous les jours, de faciliter la circulation parisienne et de limiter les rejets de gaz à effet de serre, le programme autolib’ remporté par Vincent Bolloré devrait voir le jour d’ici fin 2011. Il s’agit comme vélib’ aujourd’hui, de laisser en libre service des véhicules électriques déposables dans des bornes autolib’ situées sur la voie publique (45 communes se sont portées volontaires). Ces véhicules

un enthousiasme qui ne plaisait pas toujours aux milieux économiques français installés de longue date sur la Grande Ile (5). Ainsi, les sujets de crispation franco-malgaches se multiplièrent tout au long de la présidence Ravalomanana. Le groupe Bolloré fut, dit-on, fort marri de se voir souffler la concession du port de Toamasina, privatisé en 2005, par un concurrent philippin. Quant à Total, il fallut une très forte pression de l’Elysée pour que le gouvernement malgache signe, en septembre 2008

modèles bientôt commercialisés : la Nissan Leaf et la Renault Fluence notamment. Une nouvelle ère commence. Si la batterie Lithium-ion semble s’imposer chez la plupart des constructeurs, des alternatives existent. Ainsi le fabricant de batteries français Bolloré mise sur le Lithium-Polymère avec sa BlueCar.   Avantage de ce type de batterie : elles sont plus stables (donc plus sûres) et disposent d’une meilleure capacité massique (une autonomie accrue d’environ 250 km). Seul problème, elles ne supportent

Tanger-Med II, aéroport Blaise-Diagne au Sénégal) infrastructures énergétiques (gazoduc Medgaz en Algérie, barrage hydroélectrique en Ethiopie et au Kenya). Les entreprises maîtres d'oeuvre sont souvent européennes (Bouygues pour le port de Tanger, Bolloré pour l'agrandissement du port de Pointe Noire au Congo), chinoises (centrale électrique de Farcha au Tchad), ou américaines (Bechtel pour le stade de foot gabonais). Ces grands chantiers ont pour triple but d'améliorer l'ouverture du continent sur

milliards d’euros dans son projet de VE, s’apprête à lancer quatre modèles Renault sur le marché : la berline Fluence Z.E., l’utilitaire Kangoo Z.E. et le quadricycle urbain Twizy en 2011, la citadine ZOE en 2012. De son côté, l’industriel breton Bolloré, qui a remporté l’appel d’offre parisien Autolib’, mise quant à lui sur la technologie des batteries au Lithium-Polymère avec sa BlueCar dessinée par Pininfarina. Jamais l’offre et la concurrence n’ont été aussi importantes et les enjeux si lourds

français et de bon nombre de nos industriels du textile. Ils ne sont plus qu’une quinzaine aujourd’hui. Et si Armor Lux fait partie des rares survivants, c’est grâce à l’entêtement tout breton de son PDG, Jean Guy Le Floch. Cet ex-dirigeant du groupe Bolloré a su remarquablement reconvertir la bonneterie de Quimper, célèbre pour ses pulls marins et ses sous-vêtements increvables. Sa méthode repose sur un savant cocktail : une dose de régionalisme (Armor Lux est une marque bretonne fabriquée en Bretagne)

de la RCA en particulier une bouffée d’oxygène qui pourrait s’emparer de toute la sous-région parsemée de zone de crises. La France a des intérêts en Centrafrique. Aujourd’hui, elle contrôle l’économie centrafricaine ou ce qui en tient lieu. Bolloré y a la main mise sur la logistique et le transport fluvial. CFAO y contrôle le commerce des voitures. AREVA le géant nucléaire est présent, Total y renforce son hégémonie dans le stockage et la commercialisation du pétrole. Les acquis de

éclatement du restant entre une multitude d’actionnaires plus petits. On utilise la notion de groupe pour des sociétés où la maison-mère n’a pas vraiment le contrôle sur ses filiales, ce sont des sociétés financières ou Holding financier. Ex le groupe Bolloré : investi dans le capital d’un grand nombre d’entreprise, l’objectif est de rester quelques années (5-7 ans) dans leur capital pour ensuite revendre les participations on espérant une plus-value. Logique d’un fond d’investissement. Quand la maison-mère

café et du cacao mais nous n’avons pas d’usines de torréfaction, encore moins de chocolateries. - Du pétrole mais aucune raffinerie. - Des étudiants et pas d’universités. - Tout à construire mais aucune entreprise de BTP (Bolloré, Bouygues et Colas peuvent continuer à se congratuler). - Un marché mais pas de planche à billets. - Et pour couronner le tout, nous avons toutes les guerres et nous n’avons aucune industrie d’armement. Voilà planté le véritable

l’une des principales puissances donatrices au monde, notamment par le biais du FED (Fonds Européen de Développement). La puissance économique de ses firmes lui permet également de valoriser une influence géopolitique : Ainsi, le groupe français Bolloré contrôle les plus grands ports d’Afrique de l’Ouest dont Abidjan en Côte d’Ivoire et prévoit de s’implanter à l’Est avec le port de Berbera en Somalie. L’Union européenne se veut également porteur d’un rôle normatif, si l’on reprend l’expression