Bon Samaritain

marginaux du judaïsme : les Samaritains* d’une part (8, 5-25), et d’autre part (8, 26-40), un pèlerin éthiopien, un représentant de ces peuples du bout du monde dans l’imaginaire de ce temps, qui plus est, un eunuque, avec tout le mépris qui pouvait affecter sa personne dans la mentalité courante. Avec eux déjà, l’Evangile franchit des seuils. Nous conseillons à tous de prendre le plaisir de lire le premier épisode (8, 5-25), qu’on pourrait intituler : Philippe chez les Samaritains, ou : Philippe l’évangéliste

Du tord-boyau et quelques phrases réconfortantes et dégradante pour les femmes plus tard, Daniel appris à connaitre cet ancien fonctionnaire. Parions que le reste de l’histoire nous apprendra plus sur la nouvelle relation que Daniel as avec son bon samaritain.

rivaliser à moindre prix avec les bourgeoises parisiennes. Le succès du Bon Marché crée en 1852 par Aristide Boucicaut, fait des émules en Europe et en Amérique et en France bien sur où très vite d’autres grands magasins vont ouvrir leurs portes : 1855 : Les Magasins du Louvre (rue de Rivoli) 1856 : Le Bazar de l’Hôtel de Ville (près de l’Hôtel de Ville) 1865 : Le Printemps (quartier de l’Opéra) 1869 : La Samaritaine (au Pont Neuf) 1894 : Les Galeries Lafayette (quartier de l’Opéra) Désormais

masse I/ Les grands magasins. A/ La naissance du concept. Début 1853 : Le Bon Marché. = concept d’A. Boucicaut repose sur plusieurs idées : -Tout sous le même toit. C’est la 1ere fois que l’on va trouver rayon alimentaire et non alimentaire. -il instaure ce que l’on appelle la « notion de libre entrée » -Il applique une politique de marge réduite, c’est-à-dire que les prix sont bas et que les produits sont bon marché. La marge qu’il pratique est de 20 % alors que les petits commerces pratiquent

vient de l’ouverture du Bon Marché en 1852 par Aristide Boucicaut qui est un précurseur et qui adapta au premier grand magasin les stratégies commerciales de la grande distribution : vente sur catalogue, livraison à domicile, prix clairement inscrits, soldes d’hiver et d’été, recherche de nouveautés, etc. Il crée une communauté pour ses employés : cantine, service médical gratuit, repos le dimanche... Suivront La Belle Jardinière en 1856, le Printemps en 1865 et la Samaritaine en 1869 par exemple.

boutiques de prestige. À partir de 1975, les Galeries Lafayette Haussmann, avec leurs 47 800 m2 de surface de vente, occupent la première place française en réalisant un chiffre d'affaires supérieur à celui du Printemps, du BHV Rivoli, de la Samaritaine et du Bon Marché. En 1980, le magasin affirme encore davantage sa vocation pour la mode en créant le Festival de la Mode qui rencontre un franc succès. En 1996, les Galeries Lafayette fêtent leur centième anniversaire. Pour l'occasion, quelques grandes

Larrive des grands magasins La construction des Champs-Elyses et des grands boulevards transforme Paris. Ce suit larrive des grands magasins. Surface trs grande plusieurs tages avec une offre consquente (La Samaritaine, Printemps, le Bon March). Pour son roman Zola sest inspir du grand magasin Au Bon march situ rue du Bac quil visite en 1882 pour dcrire avec prcision larrive de ces nouveaux commerces. Jusquau milieu du XIXme sicle, on ne trouvait Paris que des petits commerces. Peu de concurrence.

juridiquement, mais des partenariats commerciaux les relis) 1) le commerce intégré a) les grands magasins C’est l’ancêtre du commerce moderne ou toute les techniques aujourd’hui présente sont mise en place. En 1852, un homme Aristide Boucicaut, fonde le Bon Marché, avec des idées commerciales révolutionnaires, celles-ci seront rapidement développées en France par ses propres collaborateurs jusqu’à la fin du 19eme siècle puis elles retomberont dans l’oublie, jusqu’en 1970. Il a surtout délégué à des centres

de vente, surtout après l’exposition universelle de 1900. On utilise pour cela les devantures de magasins : Mollard (rue S-Lazare) et surtout Chez Maxim’s (3 rue Royale, 1899) (photo) dont on a repris l’appellation pour le style. La façade de la Samaritaine (rue de Rivoli) et ses agrandissements (rue de la Monnaie 1905-1907) par Frantz Jourdain, décor surabondant et inutile qui depuis a été simplifié et dépouillé (photo page 70). Guimard va être victime du succès des imitateurs qui en quelques années

Cetelem–Groupe BNP Paribas. 2. Historique et Chiffres Clés • Historique ▪ 1893 : Théophile et Alphonse Kahn, deux cousins, achètent un magasin à l’angle de la rue Lafayette et de la rue de la Chaussée d’Antin, plus de 40 ans après le Bon Marché. ▪ 1895 : Théophile Bader et Alphonse Kahn ouvrent une mercerie « Aux Galeries Lafayette ». Ils y créent leurs premiers ateliers de confection de mode et commercialisent les produits fabriqués. ▪ 1896 : la société achète la totalité de