Bonheur Et Oubli Nietzsche

les problèmes de l’enfance, qui paraissent par conséquent minimes, voire dérisoires, sont mis de côté, oubliés, afin de sublimer les merveilles de la jeunesse. En contrepartie, nous gardons souvent des souvenirs immaculés de cette période de notre vie. Le poème épique « Paradis Perdu » de Milton illustre parfaitement cette perte consciente de notre passé : le regret d’Adam de ne pouvoir ni oublier ce qui lui à été retiré, ni regagner les terres qui lui ont étés interdites est une allégorie de la rancœur

il lui a également légué l’angoisse de la vie. Force est de constater qu’il est considéré comme l’un des premiers philosophes contemporains et du soupçon, notamment par sa philosophie de l’inconscience, de l’existentialisme (celle donc de Marx, Nietzsche, Freud). L’épistémologie de Schopenhauer :À la base de son système, Schopenhauer reprend en grande ligne la distinction kantienne de phénomène et noumène, il désigne le concept de « phénomène » sous le terme en allemand de « Vorstellung »

humaine. BACON : Le progrès que l’humain développe depuis plusieurs année à travers l’avancement des sciences et des techniques permet d’atteindre l’idéal que les hommes se fixent, ils pourront donc arriver à combler tous les désirs (=atteindre le bonheur). Leur conduites pourraient donc être moralement bonnes. ex. Les pays développés ont plusieurs machines qui leurs permettent d’accéder à un mode de vie supérieure. LEVI-STRAUSS : Dés qu’une civilisation n’est pas très développée sur le domaine

catho romaine assimilé a l'« ART JESUITE » L’Adoration de Pierre Paul Rubens  ROCOCO NEO CLACISSISME Xxeme : EXPRESSIONISME intéréressé par Nietzsche dualisme apollinien/ dionysiaque : plastique (règle, ordre, calme repos)/rêve, lyrisme (ivresse, oubli) => dissolution formes, couleurs vives, 2D et dans perspective, emotions Der Blaue Reiter Die Brücke Edvard Munch (The Scream) Franz Marc Chaim Soutine Van gogh Impressionnisme : Moreau

comme l’ensemble des fonctions par lesquelles l’homme conserve ses souvenirs. Certains ont voulu décrire la mémoire comme le dressage d’un animal ou comme une opération que l’on apprend, mais dans ces deux cas de figure un élément fondamental est oublié : le souvenir lui-même, c’est-à-dire cette forme de la conscience ayant le passé pour objet… Lalande dans son célèbre dictionnaire philosophique décrit la mémoire comme une « fonction psychique qui reproduit un état de conscience passé et reconnu

faut-il pas tuer ?", "sur quoi est fondé ce précepte en l'homme ?". Et, plus généralement, elle pourra se demander : comment définir une action bonne, qu'est-ce qui fait qu'une action est morale, … ainsi que, pourquoi pas : d'où vient la morale (cf. Nietzsche) ? La morale ne se prononce pas sur ces questions. On peut dire que, alors que l'éthique est philosophique (= philosophie morale), la morale ne l'est pas. 2) Qu'est-ce que le bien ? -Une question éthique fondamentale Ici, nous allons donc

à son épanouissement personnel et à la réussite de son existence. Le bonheur privé devient le but absolu de l’existence, l’individu devient son propre dieu - et c’est toute la société, en son idéologie fondamentale, qui devient individualiste : quatrième sens. De l’autonomie à l’égoïsme en passant par la dignité, du respect des différences à l’indifférence généralisée, y a-t-il fatalité ou d’autres possibilités ? Nietzsche développait une philosophie « individualiste » en rupture avec ces quatre

Qu’est ce qu’une vie réussie ? - Dans la logique Chrétienne, il n’y a pas de bonheur sur terre, cettela vie n’est qu’une épreuve pour obtenir le salut. Donc, tous bon chrétiens doit sacrifier certains plaisirs de raté sa vie terrestre pour aller au paradis. - Les philosophes de l’Aantiquité se basent sur le principe d’unité. Il n’y a pas de model de vie réussie car tu peutdois faire des choix et changer d’orientation comme Socrate qui a renoncer a la politique et l’argent pour l’éducation

ne connaissent qu’un côté de la question : le leur. L’autre partie, pour faire la comparaison, connaît les deux côtés ». John Stuart Mill. C’est l’ensemble de ce qu’un individu s’impose ou s’interdit à lui-même, non d’abord pour augmenter son bonheur ou son bien-être, ce qui ne serait qu’égoïsme, mais pour tenir compte des intérêts ou des droits de l’autre. Mais c’est aussi rester fidèle à une certaine idée de l’humanité et de soi. La première question évidente qui nous vient à l’esprit est :

La Culture : Introduction : Mais qu’est-ce que la culture ? Edouard Herriot, homme politique français de la IVème République, nous dit que « la culture c’est ce qui nous reste quand on a tout oublié. » « J’aime mieux une tête bien faite qu’une tête bien pleine » disait déjà Montaigne dans ses Essais, en 1592 ⇒ Il affirmait ainsi que la fin de l’instruction est de former un homme capable de penser et d'agir par lui-même. Il lui faudra pour cela disposer des références que fournit la culture