Bonté

l’interjection « Hélas ». 2. Portrait de Léopoldine : chanter la grâce, la bonté, l’intelligence Les différentes évocations de la jeune fille permettent au poète d’évoquer le souvenir d’une fille qu’il aimait pour sa vitalité, sa grâce, ses qualités morales de bonté et de modestie. En effet, elle apparait dans un premier temps comparée à un « rayon qu’on espère » (vers 3) et à un « oiseau » (vers 7), ce qui souligne sa bonté et sa grâce. Du vers 4 au vers 6, on note une saturation des verbes (« entrait »

belle » Par sa propre initiative, Dieu communique et répand sa beauté sur les êtres intelligents. En tant que cause de tout être, il inscrit dans tous les êtres intelligents, le désir de retourner vers lui. De plus, Dieu, comme bien en soi communique sa bonté sur tous les êtres. Nous avons expliqué que Dieu s’est toujours manifesté sous le voile de symboles créés : « cette pierre ou ce morceau de bois » : il a fait acte d’amour en donnant à toute chose leur essence propre. Il a fait preuve de sollicitude

cherchent à vous nuire ; soit vous allez miser votre capital énergétique sur votre foi, votre confession de foi, sur la prière et sur l'espérance que vous avez en Dieu. À vous de choisir ! Mettez toute votre énergie dans votre foi ; proclamez la bonté du Seigneur dès le matin ! Je pense souvent, en relisant ce texte, à une personne entrant au casino pour jouer une forte somme d'argent ; elle a un capital, mais que va-t-elle en faire ? Soit elle mise tout sur le bon chiffre, soit elle mise tout

les uns avec les autres » (l.4). Puis, la bonté de ces peuples est exposée à travers les extraits, notamment dans le texte de Cartier, « signes de joie et de vouloir notre amitié » (l.5-6), dans celui de Colomb « mais tout ce qu’ils ont ils le donnent pour n’importe quelle bagatelle » (l.39), dans l’extrait de Montaigne « bonté », mais aussi dans le passage de Cartier, « nous donnèrent tout ce qu’ils avaient » (l.33). Ce dernier pense que cette bonté mènera ces peuples à leur perte. En opposition

(Renaud Camus) 1. Définissez les deux bontés dont parle l’auteur  La première bonté: Procure une sensation de plaisir même si ce plaisir est de mauvaise qualité, conforme à un désire sommaire ce sont des objets falsifiés 2. Comment appliquez-vous cette théorie à la culture  La première bonté renvoi à la culture de masse, des œuvres qui procurent un plaisir facile, immédiat, sommaire  La deuxième bonté renvoi à la Culture avec un grand C, des œuvres de qualité qui sont intrinsèquement

instinct quatre-vingt-treize ; mais philosophe par tempérament, et libéral par éducation, il exécrait la tyrannie d'une haine inoffensive et déclamatoire. Sa grande force et sa grande faiblesse, c'était la bonté, une bonté qui n'avait pas assez de bras pour caresser, pour donner, pour étreindre, une bonté de créateur, éparse, sans résistance, comme l'engourdissement d'un nerf de la volonté, une lacune dans l'énergie, presque un vice. Homme de théorie, il méditait tout un plan d'éducation pour sa fille

l’homme. Mais alors, qu’est-ce que l’idée d’humanité ? L’humanité est le caractère d’une personne en qui se réalise pleinement la nature humaine. Je suis donc empreint d’humanité si je peux incarner les valeurs de la nature humaine telles que la bonté, la charité, la compassion, la bienveillance ou encore l’indulgence. « L’idée » doit s’entendre ici au sens platonicien du terme. Platon fait la distinction entre le monde intelligible (le monde des idées dans lequel l’homme n’est pas aveugle à la

e Mendès France Amable Faucon Virlogeux Pôle Multimodal SNCF Marinette Menut Jours de circulation Collège Mendès France Amable Faucon Virlogeux Collège de l’Hospital Pôle Multimodal SNCF Collège de l’Hospital Marinette Menut Lycée Bonté Amable Faucon Rond Point de l’Europe Le Joug Les Gardelles Place Bachaud Saint-Genès-L’Enfant Moulins Blancs Saint-Genès-L’Enfant Les Gardelles (descentes) Les Gardelles (montées) Malauzat Salle Polyvalente 32 07:10 07:10 07:20 07:21 07:24 07:26

n’être point coupable, Que je puis l’ajuster avecque la pudeur, Et c’est ce qui m’y fait abandonner mon cœur. Ce m’est, je le confesse, une audace bien grande Que d’oser de ce cœur vous adresser l’offrande ; Mais j’attends en mes vœux tout de votre bonté, Et rien des vains efforts de mon infirmité ; En vous est mon espoir, mon bien, ma quiétude, De vous dépend ma peine ou ma béatitude, Et je vais être enfin, par votre seul arrêt, Heureux, si vous voulez, malheureux, s’il vous plaît. 940 20 945

bien qu’elle je porte Un poison prompt et puissant. Enfin, voilà ma requête : C’est à vous de commander Qu’on me laisse précéder A mon tour ma sœur la Tête. Je la conduirai si bien, Qu’on ne se plaindra de rien.» Le Ciel eut pour vœux une bonté cruelle. Souvent sa complaisance a de méchants effets. Il devroit être sourd aux aveugles souhaits. Il ne le fut pas lors; et la guide nouvelle, Qui ne voyoit, au grand jour, Pas plus clair que dans un four, Donnoit tantôt contre un marbre,