Bonté

: l'angoisse, la haine, les fièvres et les rides. L'auteur écrit à chaque début de strophe « si l'ange plein de gaîté connaît l'angoisse », « si l'ange plein de bonté connaît la haine », « si l'ange plein de santé connaît les fièvres », et « si l'ange plein de beauté connaît les rides ». Baudelaire oppose la gaité avec l'angoisse, la bonté avec la haine... Ce sont les raisons pour lesquelles nous avons prit ce poème. Enfin nous terminerons avec Paul Verlaine. Auteur du XIXème siècle, il publie

l’affirmation de Plaute, reprise notamment par Hobbes, selon laquelle l’homme est un loup pour l’homme. Il s’ensuit ainsi une remise en cause de la violence dite « naturelle » de l’homme. L’homme est-il naturellement bon ? Est-il naturellement mauvais ? Sa bonté et sa violence ne naissent-elles pas de sa vie en société ? PLAN : I / L’HOMME EST UN LOUP POUR L’HOMME : LE BESOIN DE SATISFAIRE SES INSTINCTS. -L’adage plautéen homo homini lupus a été repris par Hobbes qui voit dans l’agressivité humaine

a) Trouvez, dans le texte, des mots appartenant aux champs lexicaux suivants : · La captivité : Exemples : « corde », « attachée », « aquarium exigu », « solitude » · La bonté : · La violence : b) Observez le sens propre du verbe pronominal « s’abandonner » et dégagez l’effet de ce choix de verbe. Passage  :

nous le montrer aux prises avec des orphelins violents et agressifs, des adultes sans pitié ; cupides et inhumains et un chef de réseau de jeunes voleurs à la tire. Ils tentent tous de faire de lui un délinquant à leur service… de ce fait comment la bonté angélique de ce pauvre petit orphelin maltraité n'a pas pu être entamée par la cruauté des adultes ? Comment ne pas être outré devant l'abomination de Bumble ou de Fagin?... On est très vite emporté par cette histoire et, en fermant le livre, on comprend

Rougon-Maquart d’Emile Zola, sans doute, parce qu’il a une fin plus heureuse que les autres. Pourtant, il est indéniable qu’il a son lot de douleurs, de larmes, d’injustices. On se trouve d’abord dans l’esprit de Denise, jeune fille naïve, innocente, pleine de bonté, lâchée au milieu de cet univers impitoyable, peuplée de gens ambitieux et sans pitié. C’est par elle qu’on apprend à connaître ce monde terrible où elle est contrainte de s’intégrer, bon gré, mal gré, afin de pouvoir subsister. Dans un premier temps

sous un coup de fouet, il reprit son chemin. Alors, lâchant la pierre échappée à sa main, Un des enfants — celui qui conte cette histoire, — Sous la voûte infinie à la fois bleue et noire, Entendit une voix qui lui disait : Sois bon ! Bonté de l’idiot ! diamant du charbon ! Sainte énigme ! lumière auguste des ténèbres ! Les célestes n’ont rien de plus que les funèbres Si les funèbres, groupe aveugle et châtié, Songent, et, n’ayant pas la joie, ont la pitié. Ô spectacle sacré ! l’ombre

qualité supérieure - pour créer le mal : nous chercherons alors à comprendre les raisons de cette dénomination. L’homme possède la bonté en lui même, mais il est susceptible de perdre une partie de cette bonté. D’après St Augustin, toutes les natures sont bonnes, c’est une caractéristique de l’être. En effet, tout homme qui existe possède en lui quelque bonté, en tant même qu’existant. De surcroît, il précise qu’aucun mal ne saurait jamais exister là où n’existe aucun bien, de même qu’aucun mal

prouvent : la bonté a des effets positifs sur la production par notre cerveau de sérotonine, un neurotransmetteur qui équilibre les émotions et dont la carence entraîne anxiété, angoisse, dépression. Le rôle de la plupart des anti-dépresseurs est d'ailleurs de stimuler chimiquement la production de sérotonine afin d'apaiser les symptômes du spleen. Or, comme le souligne Wayne W. Dyer2, docteur en psychologie et auteur de l'ouvrage "Le pouvoir de l'intention", un simple geste de bonté stimule la production

mais nous venons de voir qu’elle possède de nombreuses qualités , il y a là un décalage entre l’être et le paraître et cette opposition parcourt le texte. Ainsi, on remarque que 2 champs lexicaux s’opposent : -le champ lexical de la bonté qui s’applique à la bête : « bonté » (l.3), « cœur » (l.4), « cœur bon » et « bonne » (l.21) -champ lexical de la laideur qui peut se décomposer en 2 : La laideur physique ( « laid » l.4, « monstre » l.5, ) et la laideur morale (monstres l.6 et « cœur faux, corrompu

Mlle de Chartres ne passaient pas ceux de l'estime et de la reconnaissance »). Les sentiments de la jeune fille sont toujours évoqués par M. de Clèves. En effet, il parle d'une « sorte de bonté » qui est connoté très péjorativement puisque c'est seulement « une sorte de » donc ce n'est même pas réellement de la bonté. De plus, il fait l'analyse de ses non-sentiments. En effet, on peut constater le champ lexical de l'amour, de la passion (« cœur » à deux reprises, « plaisir », « trouble ») qui sert en