Bossuet Et Le Rire

Le bonheur au travail∗ (Michel Grisé, psychologue M.Ps.) Le bonheur est fait de tant de pièces qu’il en manque toujours quelques-unes. (Bossuet, 1627-1704) La place que le travail prend dans notre vie On dit souvent que le travail prend le tiers de notre vie. Sur 24 heures j’en consacre beaucoup plus que 8 heures si je compte tous les à côté : Vêtements (achat, lavage, repassage, nettoyage); Transport (temps, entretien, achat, essence); Nourriture (achat, préparation des lunchs, etc.); Compensation

total trente-trois œuvres. Elles se caractérisent toutes par leurs diversités comme par exemple les farces, les comédies d'intrigues, les comédies-ballets, les grandes comédies ou encore les pièces à machines. Elles trouvent toutes leur unité dans le rire. Le comique moliéresque a traversé les siècles, mais surtout, il était impitoyable pour le pédantisme des faux savants, le mensonge des médecins ignorants, la prétention des bourgeois enrichis. Quelques exemples de ses écrits : le bourgeois gentilhomme

(circulations des lettres, arrachées, perdues, volées, substilisées, etc...) - comique de mots : les sobriquets utilisés par le Comte Almaviva pour désigner le docteur Bartholo, les onomatopées (et tchi et tcha) B. un imbroglio [mot utilisé par Bossuet XVII°, repris à l'italien « imbrogliare » au XIV° siècle, pour exprimer la confusion, l'embrouillement, mais aussi pour caractériser une pièce difficile à suivre – contradiction avec l'adjectif « facile » utilisé par Beaumarchais – il est vrai que

Aussi la dramaturgie Moliéresque est-elle caractérisée par une plongée bouffonne dans le rire gras, souvent scatologique. Molière est reconnu comme un grand auteur du classicisme, qui prône le retour à la raison, l’harmonie, l’imitation des anciens. Il écrit Dom Juan en 1665, pièce dans laquelle il s’attaque à la médecine, la tyrannie des pères, la religion, sous des traits comiques qui engendrent le rire, par l’intermédiaire d’un personnage qui trouve dans les défis et les obstacles une raison

carnavalesque et rurale en l'honneur de Dionysos) désignait dans l'Antiquité toute pièce de théâtre. A partir du XVII° siècle, il qualifie les œuvres essentiellement théâtrales (les comédies) qui s'opposent à la tragédie dans leur finalité, qui est le rire, et leur dénouement heureux. Le registre comique s'applique à des sujets ordinaires, traités dans un style familier, où souvent domine l'intention satirique et morale : la comédie "châtie les mœurs en riant", tournant en ridicule des caractères ou

étrangers par quelque élément caractéristique de leur pays, et les Dieux par les symboles qui leur étaient attribués (ex : le casque pour Athéna, le trident pour Poséidon…). Masque tragique de jeune homme. Masque comique ayant l’expression du rire grimaçant. Masque tragique. c) La tragédie. Les sujets tirés des mythes et des légendes parle notamment de la guerre de Troie, des Dieux et des personnages appartenant à des classes élevés (empereurs, rois, princes et leurs descendants).

une farce, une tromperie. Le burlesque provoque le rire mais un rire né du décalage, de la moquerie, de l’inversion. On distingue 3 nuances dans le burlesque : * La parodie * La satire * Le grotesque.   CLASSICISME   Qu’est-ce que le classicisme ?   Dans l’histoire littéraire Française, l’époque classique se limite à la période du règne de Louis XIV. Cette période est illustrée par Molière, La Fontaine, Boileau, Racine, Bossuet et La Bruyère. Ces écrivains, tout en gardant leur

refrains. Fable : Petit réçit souvent en vers, accompagné d'une moralité. Les genres théâtraux : Comédie : Pièce de théâtre qui met en scène des personnages de condition moyenne et des évènements communs qui se termine bien, et dont le but est de faire rire . Farce : Petite pièce de théâtre d'un comique volontairement primaire et grossier. Tragédie : Pièce de théâtre  dans laquelle les héros sont de rang élevé, les évènements exeptionnels et la fin malheureuse. Les sentiments qu'elle vise à inspirer sont

complicité dans le cas du registre comique qui sort le lecteur de lui-même en le divertissant. La tonalité comique consiste à provoquer le rire à l’aide de divers procédés : jeux de mots, quiproquos, répétitions, associations burlesques, etc., avec des tonalités particulières comme l’humour. La tonalité comique déforme la réalité à travers des situations qui provoquent le rire et l’ordre habituel des choses, la logique du langage, des gestes et des comportements sont mis en cause par une rupture inattendue

populaires, rire (Furetière, Le roman bourgeois, Scarron) Romans héroïques : héritage des épopées. Sujets historiques, sans souci historique. Narrateur homodiégétique (1ère personne) et intradiégétique. Histoires imbriquées, idéalisation des personnages, qui sont nobles. Psychologie raffinée (Carte du Tendre) Perception du roman : très méprisé, mais très répandu. Fonction de divertissement. Mme de Sévigné : « Je songe quelque fois d’où vient la folie que j’ai pour ces sottises-là ». Bossuet : « froides