Bras-mort

exemple le pelage du cheval, fait de petits traits serrés, réguliers et alignés rappelle les caractères typographiques. Picasso utilise une peinture aux formes dramatiques, aux contrastes violents (noir et blanc). Cette absence de couleur évoque la mort, à la fois celle des victimes et de la civilisation. Elle est présentée aujourd'hui au Musée de la Reine Sofia à Madrid depuis 1981 seulement.En effet, elle se trouvait aux Etats-Unis depuis 1937, Picasso ayant refusé que l'oeuvre rejoigne l'Espagne

Guernica. PABLO RUIZ PICASSO Pablo Picasso, né le 25 octobre 1881 en Espagne et mort le 8 avril 1973 en France, était un célèbre peintre, dessinateur et sculpteur espagnol. En 1907, Picasso peint Les Demoiselles d’Avignon et inventa, en compagnie de Georges Braque, le mouvement pictural majeur du XXe siècle: le CUBISME qui consiste à présenter mise en perspective de paysages, portraits ou natures mortes en les représentant par des formes simples (cylindres, cônes). CONTEXTE HISTORIQUE

le célèbre peintre espagnol Pablo Ruiz Picasso. C’est une œuvre aux dimensions gigantesque 3,51x7, 52m. Elle représente le village basque de Guernica, bombardé par les forces nazies le 26 avril 1937. Biographie : Né en 1881 à Malaga (Espagne) et mort en 1973 en France Un immense artiste : il était peintre, sculpteur, dessinateur (symbole majeur du XX siècle Fondateur du cubisme avec son ami George Braque Il touche à tous les courants artistiques du XX siècle : surréalisme, expressionisme ou

| |Parmi tout ce qu’il a pu représenter, une œuvre marque les esprits : celle des femmes et des enfants menacés par la mort toute proche, Inaptes au travail, | |réalisé dans les années 50 pour témoigner à la fois des souffrances vécues et les exorciser. Ce n’est pas un petit tableau, il mesure 1m30 (largeur) sur 1m62 | |(hauteur)

toile fait partie des mouvements du cubisme et de l'expressionnisme. C'est une peinture à l'huile en noir et blanc. C'est un tableau monumental (349,3 x 776,6 cm) 2) L'artiste : Pablo Picasso est né à Malaga en Espagne, le 25 octobre 1881 et est mort le 8 avril 1973 (à 91 ans) à Mougins en France. C'est un peintre, dessinateur et sculpteur espagnol. Il est également considéré comme le fondateur du cubisme avec Georges Braque.  Malgré le fait que Picasso ait vécu la plus grande partie de sa vie

d’Electre et d’Orphée ont-ils inspiré Cocteau, Sartre ou Giraudoux. La mort du héros tragique ou des personnages importants, si elle ne constitue pas un élément obligatoire dans le dénouement d’une tragédie ou d’une pièce recourant au registre tragique apparaît néanmoins comme récurrente. Dans cet extrait d’Electre (1937) de Giraudoux, Oreste, pour venger la mort de son père, tue le couple Clytemnestre-Egisthe. Le récit de cette double mort, assumé par le personnage du Mendiant, est destiné aux autres personnages

Chatterton, de Vigny, met en scène un jeune poète désespéré de ne pas trouver sa place dans la société industrielle de l’Angleterre au XVIIIe siècle. Accusé de plagiat et se sentant déshonoré, il se suicide. La scène de dénouement se déroule juste après sa mort, découverte par deux personnages, sa logeuse, Kitty Bell, dont il était amoureux, et un vieux quaker qui incarne la sagesse et la raison. LE QUAKER, accourant. - Vous êtes perdue… Que faites-vous ici? KITTY BELL, renversée sur les marches de

LA MORT D’OLIVIER BÉCAILLE I C’est un samedi, à six heures du matin, que je suis mort, après trois jours de maladie. Ma pauvre femme fouillait depuis un instant dans la malle, où elle cherchait du linge. Lorsqu’elle s’est relevée et qu’elle m’a vu rigide, les yeux ouverts, sans un souffle, elle est accourue, croyant à un évanouissement, me touchant les mains, se penchant sur mon visage. Puis, la terreur l’a prise ; et, affolée, elle a bégayé, en éclatant en larmes : — Mon Dieu

Victor Hugo, Ruy Blas Acte V, scène 4  Le champ lexical de la mort est omniprésent dans les didascalies : « chancelant, immobile et glacée, tombe, grave et basse, joignant les mains, levant les yeux au ciel, défaillant, tombe, se jetant sur son corps, qui allait mourir. . Ce champ lexical montre qu’il s’agit de la fin de la pièce. Il insiste sur le côté tragique de la scène. La répétition de « je n’ai pas l’âme vile » montre que Ruy Blas ne voulait pas que cela se termine ainsi. Il y a

le : Polonais, le Russe, le Yiddish, le Français, l’Anglais et l’Allemand. Il est dés lors témoin et acteur de la disparition des corps qu’il transportera et brûlera, ainsi que la cruauté inégalable des nazis. En 1945 il survit à la « Marche de la Mort ». Plus tard il sera libéré par l’armée américaine. Dés lors, après sa libération et après son périple à Auschwitz, il laisse un témoignage exceptionnel. Son témoignage est essentiellement constitué de dessins et de toiles, représentant des scènes