Brassaï

photographie humaniste, 1945-1968 Autour d’Izis, Boubat, Brassaï, Doisneau, Ronis… C’est entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et les années soixante que la photographie humaniste connaît son apogée. Elle est ainsi nommée parce qu’elle inscrit la personne humaine au centre de son propos, dans son cadre professionnel aussi bien qu’affectif. On y retrouve des noms célèbres comme Henri Cartier-Bresson, Robert Doisneau, Willy Ronis, Brassaï ou Boubat, mais aussi des photographes moins connus comme

à Londres, où elle photographie les conséquences de la dépression économique consécutive à la crise boursière de 1929 aux États-Unis. À son retour, et avec l'aide de son père, elle ouvre un autre atelier. Début 1930, elle installe photographe Brassaï avec qui elle partage la chambre noire de l'atelier. Dora Maar rencontre Louis-Victor Emmanuel Sougez, photographe travaillant un atelier de photographie à Paris. Elle fait la connaissance du pour la publicité, l'archéologie et directeur artistique

Parole (homonymie). Paroles Auteur Jacques Prévert Genre Poésie Pays d'origine France Éditeur Le Point du Jour Collection le Calligraphe Date de parution 1946 Couverture Brassaï (Photographe) Nombre de pages 254 ISBN 2-07-036762-2 Paroles est un recueil de poèmes de Jacques Prévert (1900-1977) publié pour la première fois en 1946. Sommaire [masquer] 1 Édition 2 Présentation 2.1 Aspect

hispano-américain...) naît le Bad painting. Volontairement sale et négligé, il est sur la lignée de la figuration libre, et libérée, dans une version expressionniste et revendicative (...) Sommaire: Introduction I) Le Graffiti art d'idée A. Brassaï : Un travail de mémoire par le graffiti B. Basquiat/Keith Haring : rependre l'art partout. Basquiat : « l'art doit être partout » II) Le Graffiti, Art contestataire A. Le graffiti urbain de nos jours : le Tag avec Miss-Tic B. La dégénérescence

laissé de côté pour accéder à notre inconscience et à comprendre ce que l’on voit dans la réalité. Brassaï, Magique-circonstancielle, 1931 Photographie publiée dans Minotaure, n°5, 1934 Épreuve gélatino-argentique, tirage d’époque, 21 x 26 cm Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris Micro-organisme ? Araignée ? Construction naturelle due au hasard ? Cette image de Brassaï se prête facilement au jeu des libres-associations. Mais s’il apprend la vérité, le rêveur pourrait bien

amène des photographes, qui ne font pas partie du groupe surréaliste, à contribuer à l'œuvre surréaliste. Un groupe dont la liste n'est pas exhaustive, puisque la plus part des photographes qui se sont inscrits dans le surréalisme n'y adhèrent pas : Brassaï, Bayer... Contrairement à Man Ray ou Jacques André Boiffard qui participent pleinement à l'activité du groupe. Des projets Le projet surréaliste intervient sur deux pôles différents : l'automatisme abstrait (la non maîtrise des images), l'académisme

paraphraser. Bien qu’il se sente peu à l’aise hors de son univers, notamment du fait de la barrière de la langue, il fera des reportages aux Etats-Unis (1960), Canada (1966), URSS(1967). Il est exposé au Moma (musée d’art moderne) de New-York avec Brassaï, Ronis et Izis en 1952 et reçoit le Prix Niépce en 1956. En 1984 il participe à la mission photographique de la Datar, remettant encore une fois en question, à 72 ans, sa façon de photographier. Il meurt le 1er Avril 1994, laissant derrière lui environ

jrgfdhigjrehngiuhrhgruhtfuoi'z"hto'ezhUGEZUIfgezyfghzbfuezgRIEZuiérg"queEZ'JHNRETUROEIOHZ'OIURTOHOI"'HRTIO"'YOT'!HEUORHEZ"'ROA"'Henri Cartier-Bresson (22 août 1908 à Chanteloup-en-Brie - 3 août 2004 à Montjustin dans les Alpes-de-Haute-Provence) est un photographe Français. Avec Walker Evans, Brassaï, Kertész et quelques autres, Henri Cartier-Bresson est considéré comme un pionnier du photojournalisme allié à la photographie d'art. Il est souvent fait référence à lui sous les trois lettres HCB. Avec Robert Capa, David Seymour, William Vandivert

Introduction Ce document est une photographie d'une manifestation ouvrière prise à la sortie des usines Renault sur l'île Seguin à Boulogne-Billancourt, en juin 1936. Elle a fait la une de la revue Vu à laquelle collaborent de grands photographes comme Brassaï ou Robert Capa. Bien que ce document puisse apparaître comme objectif, il faut avoir à l'esprit qu'une photographie est toujours subjective puisque le sujet, le lieu, le cadre, la prise de vue sont choisis dans le but de véhiculer un message : ici

s'autorise à les photographier tels qu'il les voit, « sans se préoccuper de l'amour-propre des modèles ». Les visages mal rasés, l'arme contre la joue et le mégot au bec ont une poésie brute qui va devenir la marque du photographe, qui, influencé par Brassaï, va s'ouvrir désormais sur tout ce qui l'entoure. Revenu à Paris après la guerre, il se lie d'amitié avec des artistes ou hommes de lettres comme Aragon ou Jacques Prévert qui l'a décrit comme un « colporteur d'images » et pour qui « « La caméra