Bruits colorés

contemplant les phares qui dessinent la côte de France Rêve à Paris qu’elle ne connaît qu’à peine et qu’elle regrette déjà Ces feux tournants fixes doubles colorés à éclipses lui rappellent ceux qu’elle voyait de sa fenêtre d’hôtel sur les Boulevards et lui promettent un prompt retour Elle rêve de revenir bientôt en France et d’habiter Paris Le bruit de ma machine à écrire l’empêche de mener son rêve jusqu’au bout. Ma belle machine à écrire qui sonne au bout de chaque ligne et qui est aussi rapide

Le contraste entre le désert & la ville. Les grandes étendues, la solitude, le silence, la paix et le recueil face à cette jungle de béton où le bruit, l’agitation et la rancœur règne. Document support n°2 Un homme nommé Jan Vormann qui travaille avec le collectif 20 Eventi. Cet artiste répare les vieux murs à l’aide de l’égos colorés. Idée originale, voir même surprenante lorsqu’on la trouve en face de nous ! Document support n°3 Cette image 3D donne une réelle impression de profondeur

Toujours en silence Lucas posa son sac, en sorti quelques bombes de peintures, et commença ce pourquoi il était venu. Le bruit des bombes résonnait dans le tunnel comme des murmures. Lucas ne pensait à rien sinon qu’au plaisir que lui procurait sa passion, mélangeant les couleurs entre elles, les jets de peinture donnait l’impression d’être des voiles obscures colorés, qui venaient se déposer sur la surface lisse et ternes du tunnel, afin de lui donner vie et émotions. Une fois son œuvre

sortit une chemise blanche et un pantalon en jeans. Il déposa ce qu'il a pris dans son  armoire sur son lit et se sortit de sa chambre pour aller vers celle de sa fille.     La porte était rose et au­dessus en grand était marquer "LINA". Il ouvra la porte et entrain  dans la chambre qui était coloré en rose bonbon. La même couleur que leurs cheveux.    Il s'avança vers le lit de sa fille. Elle était encore endormi. Il mit une main sur les cheveux  rose de sa fille.     En sentant une main sur ses cheveux. Lina bougea dans son sommeil mais ne se réveilla 

l’absence de bruit en général. Il se sent, au début comme privé du pouvoir de communiquer, parce que privé de parole et que l'accès à la parole est, dans notre monde humain, le mode le plus partagé de la communication. Il y a bien de la différence entre le silence et l’absence de bruit. Ce n'est pas la même chose qu'exiger le silence et ne rien entendre et c’est encore différent de ne pas vouloir entendre. Ce n'est pas du tout la même souffrance. Ici le silence n’est pas absence de bruit mais absence

les élèves sont logiquement agités. Les fenêtres de la salle sont ouvertes pour aérer l’odeur, ainsi que profiter de l’air printanier. Un brouhaha sonore est entendu en fond de bruit, qui s’intensifie plus ou moins au fil de l’heure. La salle est composée de 17 tables, tous dégradés, abimés… L’ambiance est désagréable, le bruit est omniprésent et ultra dominant, à un point que l’on n’entend presque pas le professeur, dégouté. Certains élèves quittent la salle comme ils le sentent, et rentrent dans la

des loups fuir la toute jeune brebis, | Sic illae timuere viros sine more ruentes | de même les jeunes filles montrèrent leur crainte devant ces hommes qui se précipitaient contre toutes les lois. | Constitit in nulla qui fuit ante color. | Aucune ne garda ses couleurs. | II. Commentaire Introduction L'auteur : Ovide – poète latin/avocat – auteur des Métamorphoses – doit s'exiler à cause de l'oeuvre ci-dessous. L'oeuvre : L'Art d'aimer, un recueil de poésie érotique

la salle dans laquelle les invités sont en train de fêter le mariage . Zoom sur le visage de griffo nous montrant l'atrocité de son visage. Ses lèvres sont rabattues , il a une très petite tête et des grands yeux marrons . Il porte des habits très colorés , un pull jaune sur lequel est imprimé une fleur fanée et un pantalon violet avec des rayures blanches . | Tout le monde discute, les artistes sont presque tous sou , ils ricanent pour des raisons futiles . | Gros plan sur monsieur Hercule

de retrouver (en soulignant par exemple) ce qui est vu, entendu, senti, touché, ressenti. Le Jobard. Michel Piquemal. (Milan Zanzibar) La mobylette s'est engagée dans le petit chemin de terre, bordé de sacs plastique et de détritus. Mis à part le bruit du moteur, tout était silencieux. Chacun était à son poste, bien caché derrière des tas de sciure ou de vieux bidons métalliques. ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

pas pour autant négliger la police ferroviaire qui pouvait surgir d'un moment à l'autre avec ses maîtres chien. Aérosol dans les mains, protection respiratoire mise en place sur le visage, ils ajoutèrent à leur tour, leurs touches de personnalités colorés. Pour ne pas se perdre sur le réseau de la RATP, ils utilisèrent une carte qui leur était précieuse afin de se repérer et de la sorte s'orienter vers les directions voulues. Au bout de 2h ils atteignirent un dépôt, dans lequel ils ne purent s'empêcher