Brume

couleur et de présence humaine donne l'impression d'un tableau en noir et blanc ou gris. Seule l'expression " un lambeau de ciel flotte entre elles " introduit un mouvement et peut-être une teinte plus vive. Pourtant de cette grisaille perdue "dans la brume " se dégage une beauté fondée sur les formes légères et uniformes. L'avant-dernière phrase du texte résume de façon abrupte cette composition : " Un ciel sauvage au-dessus de grands rails parallèles : voilà ce qu'est New York, avant tout ". Les

dialogue avec lui-même pour rendre le texte plus vivant. Harengs, vélo, pavé gras, brume de néon, pas lourds, enseignes, toits en escaliers, canaux/mer, marchand, monde des peintres. Évocation traditionnelle de la Hollande avec un certain nombre d'élément de cartes postal c'est à dire des choses typiques de la Hollande comme les marchands. La présence de mots comme bicyclette, le genièvre, l'évocation de Rembrandt, la brume, les canaux, harengs, Lohengrin peut nous faire penser à des légendes du nord

religieux. Il s’agit d’une évocation aux combats de la première guerre mondiale où notre peintre à participer comme simple soldat. Chaque tableau évoque un moment précis de la bataille. A gauche on peut apercevoir des soldats allemands qui sortent de la brume équipé de leurs fusils et de leur paquetage il se dirige vers le front, au milieu le champ de bataille l’auteur met en scène un spectacle hallucinant dans un paysage dévasté des cadavres déchiquetés disloquer percée de balles, le sang et les entrailles

expérience dans les tranchées. II- La description 1- Description générale: Le thème de l'oeuvre: l'oeuvre a pour thème la guerre et ses horreurs. Inventaire et identification: Panneau de gauche: on peut voir des soldats marchant dans la brume avec leur équipement sur le dos ( armes, sac), et leur uniforme. On ne voit pas leur visage, et peu deviner qu'ils se dirigent vers le front aux nuages qui s'élèvent. Panneau centrale: On voit les ruines d'une ville, des cadavres sur le sol, lamort

rattrapa aussi vite qu’elle partis. Je peux voir deux ombres venir au galop. La robe dorée de Danaé rayonne à lueur de l’aube. Leurs sabots sont cachés par la brume du matin. Arriver à ma auteur, je leurs caresses le bout du museau en guise de salutation. Je change direction pour revenir sur mes pas pour ensuite regarder dans la brume qui s’épaissit de minute en minute pour rechercher une petite cabane. Je fais deux ou trois avant de trouver ma maison. J’ouvre la porte avec une clé que j’avais

pouvoir commun les rôles de l’enfant et de l’aube -> souligné dans la dernière strophe (l. 10/11).-enfant a rattrapé aube -> l’entoure « avec ses voiles amassés » =L’image est filée. - brume levée et la lumière a éclairé le monde.- L’enfant imagine poétiquement qu’il rhabille alors l’aube avec ces voiles de brume qui la caractérisait il y a quelques instants à peine.- ’image devient + sensuelle quand il affirme avoir « senti un peu son immense corps »-> comprendre de différentes manières cette

visibilité en surface. Sa composition est donc identique à celle d'un nuage dont la base toucherait le sol. Par convention, les météorologistes parlent de brume lorsque la visibilité horizontale est plus de un kilomètre et de brouillard si la visibilité est inférieure à un kilomètre. Les marins utilisent souvent le terme de brume quelle que soit la visibilité horizontale et le nomment également fumée de mer quand il s'agit de brouillard d'évaporation. le brouillard peut être givrant : si la

des groupes de soldats surpris sur le vif, donnent une impression d'inégalité, vision qui s'accordait avec l'admiration du commanditaire, Napoléon III, pour ce camp militaire. Ici l'armée représentée se réduit à des silhouettes enveloppées d'une brume vaporeuse sur un terrain vide et silencieux, celle ci ne nous laisse pas percevoir le réel horizon. Ce brouillard rend les silhouettes de gauche plus floues et plus légère, comme si elles allaient disparaître. Les hommes à droite sont par contre

Fourmillante cité, cité pleine de rêves, Où le spectre en plein jour raccroche le passant! Les mystères partout coulent comme des sèves Dans les canaux étroits du colosse puissant. Un matin, cependant que dans la triste rue Les maisons, dont la brume allongeait la hauteur, Simulaient les deux quais d'une rivière accrue, Et que, décor semblable à l'âme de l'acteur, Un brouillard sale et jaune inondait tout l'espace, Je suivais, roidissant mes nerfs comme un héros Et discutant avec mon âme

symptômes d'asthme par année. Qu’est-ce que le smog ? C'est un drôle de mot qui désigne un mélange de polluants atmosphériques. Ce mot provient de la combinaison de deux mots anglais : smoke (fumée) et fog (brouillard). As-tu déjà remarqué une brume jaune brunâtre ou grise blanchâtre au-dessus de Montréal par une chaude journée d'été ? C'est le smog. On le retrouve principalement au-dessus des grandes villes, mais en raison des vents, il peut se déplacer dans des endroits moins peuplés. Activité