Brutalité

(…) (v.9) --> Ellipse --> répercutions intérieur du regard -> rapidité de la rencontre, brutalité du retour au réel et pour souligner la violence des sentiments -> séparation entre le début de la méditation et la fin. Vers 9-12 --> Déception totale, perte, regrets lié à la perte définitive --> « Jamais» (v.12) Vers 10 --> « Soudainement » --> placé juste après la césure («il est long» ) ->la rapidité, brutalité. Vers 13 --> Chiasme ( ça montre que les deux personnages se croisent juste, et qu’aucun

noir et blanc et reste aussi un des premiers films avec paroles de l’époque (Début des films avec paroles dans les années 30). « Le Dictateur » répond aux besoins de loisirs de l’époque de la population (le cinéma) ,en montrant par celui-ci la brutalité du régime nazi, sa logique déjà idiote est encore plus montrée comme telle, et aussi plus précisément le caractère et les gestes d’Hitler sont bien sûr caricaturés : ce qui accentue encore plus son « exubérance ».(Lien avec scène du « discours »

résume cela dans une formule marquante : « A mon tour tour de poser une équation : colonisation =chosification »Il refuse des arguments proclamés par les colonisateurs : « Sécurité ? Culture ? Juridisme ? Pour lui, la Sécurité fait référence à « la brutalité, la cruauté, la sadisme, le heurt », la Culture est une « parodie de la formation culturelle », et le juridisme fait écho à «  la fabrication hâtive de quelques milliers de fonctionnaires subalternes, de boys, d’artisans, d’employés de commerce et

l’amour de soi, donc de l’instinct de survie de chacun. L’homme ne commet donc pas de gestes négatif ou positif pour les autres car il ne cherche qu’à se conserver. Selon ce philosophe francophone, l’homme peut donc faire preuve d’égoïsme et de brutalité, mais ça ne fait pas de lui un être méchant, car toutes ses actions commises sont uniquement pour remplir ses besoins comme tous les animaux. Pour conclure, comme Rousseau le cite  « L’homme est naturellement bon et c’est la société qui

A.2 : extrait de La Femme gelée, Annie Ernaux – Plan possible Problématique: Comment la narratrice rend-elle compte des difficultés d'accés à l'égalité homme\femme? Une écriture qui rend compte du réel Le choix de l’oralité : voca, syntaxe… La brutalité envahissante de la vie quotidienne La force de la sincérité L’idéal à l’épreuve de la réalité Différents modèles en rivalité La différence entre les paroles et les actes La défaite de la femme La souffrance d’une femme gelée Du désarroi au renoncement

d’engager la responsabilité civile du joueur gardien ». En effet, « les éléments versés au débat ne permettent pas de retenir que le gardien a voulu bloquer le joueur a tout prix parce qu’il s’approchait dangereusement du but et que la violence, la brutalité ou la déloyauté de son geste, sa force disproportionnée ou superflue, ne peuvent être déduites de la seule gravité de ses blessures ». La Cour de cassation confirme ainsi l’arrêt rendu en Cour d’appel et estime qu’il ne suffit pas d’établir l’existence

différents, est figé. Le rôle de la composition : Fragmenter l’espace et de donner une impression de désordre (désordre organisé). 4- Jeux de regards : Attirer le regard vers la lampe (espoir, revanche) Quant au taureau, il symbolise la brutalité, la violence et représente les nationalistes, la lampe du plafond (les éclats, les bombes), les flammes, représentent la domination de l’ennemi. Les regards convergent vers ces éléments sauf le taureau qui nous regarde : manière d’introduire le

Simplicité, pas de langage très soutenu (brutal, provocateur, vers ¾ « vieux cheval » devient direct : manière de s'adresser à soi, presque insolent, manque de respect, choc pas un excès). Un certain nombre de périphrases, pas d'euphémisme : brutalité donc. La brutalité reste une dominante du texte, volonté de maintenir la parole avec soi. b) Evolution de la situation de communication : Vers 1-7, s'adresse à lui-même, dans le cadre d'une évolution historique passé (vers 2 présent : constat ; vers

devenue un produit. Pourtant, l’activité physique est souvent bénéfique. Elle permet en effet de se dépenser, de se défouler et de rejeter tout sentiment violent. Le sport fait donc baisser la violence car les sportifs se débarrassent de leur brutalité en ayant la possibilité de penser à autre chose qu’à leurs problèmes, qu’à leurs ennuis. Quand l’activité sportive est finie, ces sportifs se sentent fatigué, certes, mais en paix avec eux-même. « Un esprit sain dans un corps sain », c’est ce que

accentuer la confusion –un bruit symbolique pour Octave Mouret : « l’or sonnait dans les caisses ». Pour ce propriétaire, en effet, seul compte le profit, et sa cupidité, qui ne s’embarrasse d’aucun scrupule moral (« il régnait sur toutes avec la brutalité d’un despote, dont le caprice ruinait des ménages »), semble ne pas connaître de bornes. Au-delà de l’évocation d’une foule en délire, c’est en fait le caractère d’un individu que nous révèle Zola. En la personne d’Octave Mouret, il nous trace