Burdeau Institutions Politiques

[pic] 1) L’état : Fiche de lecture portant sur "L'État" de Georges Burdeau. Cet ouvrage nous montre ce qui caractérise l'État, avec ses trois définitions, à savoir l'État en tant que pouvoir public, pouvoir central et société politique organisée. Il nous décrit comment cette idée a dû, petit à petit, s'affranchir de la domination de l'Église qui imposait diverses barrières morales, limitant par là, son action. ➢ Résumé: Historiquement, les États en Europe ont

Vaillant ou Jean Allemane. Enfin, la presse féministe se fait aussi une certaine place dans cet univers à forte présence masculine. En effet, l’on pense à La Fronde, sous la direction de Marguerite Durand (voir annexes), aux multiples relations politiques et financières et qui a su réunir autour d’elle des féministes talentueuses. La Fronde, quotidien né en 1897, est ainsi entièrement « dirigé, administré, rédigé, composé par des femmes ». La presse militante foisonne donc au temps de la Belle

d'une entite politique etatique la perspective dynamique l’analyse des modes d'organisation de l'Etat se rapportant a l'epoque contemporaine.Le pouvoir legislatif commc etant un pouvoir souverain exprimant la volonte generale des citoyens par l'adoption des lois. pendant l'epoque contemporaine, les systemes politiques ont connu des changements profonds dus aux bouleversements qui ont caracterise la periode post Deuxieme Guerre mondiale et plus particulierement les tensions politiques, ideologiques

Etat toutes les fois qu’il existe dans une société donnée une différenciation politique » dira Léon Duguit dans son Traité de droit constitutionnel. La société a évolué au fil du temps, l’Etat en fera de même. L’origine latine «status » indique tout d’abord le statut de la personne, au Moyen-Age, il désignera sa condition juridique. Puis au XVIème siècle notamment avec Machiavel le mot désignera l’organisation politique d’un pays ou le pays lui-même. Sa première apparition va voir le jour sous forme

réservés © Faculté de droit de l’Université Laval, 1979 Ce document est protégé par la loi sur le droit d’auteur. L’utilisation des services d’Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d’utilisation que vous pouvez consulter en ligne. https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/ Cet article est diffusé et préservé par Érudit. Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l’Université de Montréal, l’Université Laval et l’Université du

une analyse critique. Une observation du constitutionnaliste suisse Jean-François Aubert servira de point de départ au raisonnement. Après avoir écarté la définition de la constitution comme ayant “ pour objet de régler l’organisation d’un corps politique ” au motif que celle-ci ne correspond plus aux temps modernes, cet éminent auteur poursuit : “ Nous dirons donc que la constitution a pour objet primordial de régler l’organisation d’un Etat. Si la constitution se rapporte nécessairement à l’Etat

la fin de la guerre et ce pour des raisons évidentes (fin des dictatures en Italie et en Allemagne, où Hitler fut nommé Chancelier avant de mettre en place son régime) . Certains auteurs diront alors que la Constitution n’est qu’un texte à valeur politique, voire même uniquement philosophique. Aujourd’hui cependant la plupart des Etats ont des systèmes de contrôle de la Constitution, surtout en ce qui concerne la loi (domaine législatif). Il est important de noter que la Constitution peut aussi

droit Le courant positiviste & jusnaturalistes A) L'école jusnaturalistes → vision dualiste du droit séparation droit naturel et droit positif, relation hiérarchique. 1) Ancien Classique : a) Aristote :Le droit est dans la nature, dans les institutions sociales, qui tendent au juste, à la justice → ordre naturel cosmique. L'Homme n'est qu'un élément d'un vaste ensemble. b) Thomisme : St Thomas d'Aquin → ordre naturel divin. 2) Moderne : a) HOBBES LOCKE ROUSSEAU Droits subjectifs naturels

LES LIMITES A LA REVISION DE LA CONSTITUTION EN DROIT COMPARE NOM : KADSONDO PRENOMS : GAËL CLEMENT WENDPAYANGDE Bibliographie * BURDEAU Georges, HAMON Francis et TROPER Michel, 1999, Droit constitutionnel, Paris, LGDJ, 26èm Ed, 781 Pages ; aux pages 41, 243,362 et456. * PACTET Pierre, 1969, Institution politique Droit constitutionnel, Paris, Dalloz, 22èm Ed, 2003, collection « Armand Colin »,667 pages ; aux pages 73 à 76 et 576 à 588. * PIERRE-CAPS

traduit le thème même de ce colloque sur la place et le rôle de l’Afrique dans ce processus de dissémination du constitutionnalisme. Mais alors, ce décor est-il en adéquation avec le milieu où se déroulent dans les faits les péripéties de la vie politique des Etats africains ou n’est-il qu’un paravent destiné à voiler, sous l’ordonnance d’une apparente rationalité, les ressorts irrationnels qui l’animent ? Cette pièce, pour laquelle le décor est planté, répond-elle à la réalité dont elle se veut l’expression