Byzance

Christi ; elle répond aussi à l'appel à l’aide d'Alexis Comnène face aux Turcs. Le résultat le plus important des premières croisades, c'est la création des Etats latins d'Orient, qui entraîne un changement de l'attitude pontificale par rapport à Byzance et la rupture de l'unité de la chrétienté. La réaction du monde musulman est longue à venir et pas univoque : les collaborations sont nombreuses. Mais une hostilité nouvelle contre les chrétiens s'affirme : les chrétiens orientaux deviennent un corps

population augmente fortement. A la recherche de terres à cultiver, des habitants des cités entreprennent la fondation d'autres cités hors de la péninsule : ces colonies, souvent des ports, naissent sur les côtes d'Asie Mineure de la mer Noire (ex. : Byzance), puis de la Méditerranée (ex. : Marseille).Ces colonies deviennent indépendantes de leur métropole, (ex. : Milet), mais continuent de commercer avec elles. La langue est le premier élément d'unité culturelle du monde grec. Elle véhicule à travers

Gagne la bataille de Damas en 637 face à l'Empire Byzance → Les Perses en 642 et absorbé dès 650, → Dès 700, prise de Tripoli, Egypte, Arménie.. → Bataille sur l'Indus en 713 → Bataille de Talas en 750 ; premier contact avec la Chine qui les bloque Les arabes assimilent les connaissances élevées de ces peuples et imposent l'Islam → Le centre de gravité se déplace : part de Médine puis à Damas où né une civilisation différente influencée par Byzance ( du côté Est ), 670 : Tunisie 683 : Prise de

Au nord, la situation est plus complexe. Cyril et Méthode, « les apôtres slaves » vont convertir les Bulgares au christianisme puis la Russie en 989 avec le baptème de Vladimir de Kiev. Le règne de Basile II marque aussi une apogée militaire de Byzance : le Danube redevient une frontière nord grâce à la conversion des slaves. L’empire redevient un grand un empire au rayonnement sans précédent. La dynastie macédonienne cherche à effacer les traces de la crise iconoclate, on va alors renouer avec

idéal. Ses qualités de coloriste et sa rigueur dans la composition font la force de ses tableaux religieux comme de ses portraits. b. l’originalité de venise. Marquée par une longue tradition de contacts avec Byzance, la République de Venise voit se développer, dès le XVe siècle, une brillante école de peinture marquée par le goût du décor et de la couleur. Carpaccio (vers 1455-1525) s’illustre par le pittoresque des architectures et par la précision des détails

Le Satiricon de Pétrone témoigne à la fois de la désagrégation de l’ordre impérial romain et de l’apparition d’une classe de nouveaux riches soucieux de constituer à leur tour une noblesse et de se créer une légende en entretenant des poètes. À Byzance, au VIIIe siècle, le roman Barlaam et Josaphat adapte la vie de Bouddha à l’usage des chrétiens d’Orient, mais en l’enrichissant d’anecdotes tirées des légendes orientales (A. Mirambel). Dans le domaine arabe, un type de récit comparable au roman

l'approvisionnement des cités grecques. Démosthène, qui depuis longtemps déjà se méfiait de la puissance que réprésentait Philippe II, convaint les athéniens de la nécessité d'entrer en guerre contre Philippe II et constitua une ligue pan-héllénique à laquelle Byzance décida de se joindre. Philippe décida alors d'assiéger la ville et l'affrontement direct entre Philippe et Athènes devient inévitable. III. L'hégémonie et la toute puissance macédoniennes. En -339, le Conseil Amphictyonique décide une quatrième

monnaie disparaît, purement et simplement, on revient au troc. Les seules pièces qui circulent en Occident sont des monnaies d'or excessivement rares qui sont aux mains d'une aristocratie qui s'en sert pour les échanges avec l'Orient civilisé et Byzance. Et encore, le commerce international est-il réduit à rien après les conquêtes de l'Islam.   C'est au XIIème siècle que le renouveau se produit. Avec les Croisades, le commerce reprend. Les marchands Italients inventent de nouveaux moyens d'échanges

comme les portraits funéraires de pharaon en Egypte, les portraits des tombes étrusques ou les portraits des ancêtres à Rome. Au Moyen Age, avec le christianisme on se préoccupe surtout de religion. Sous l’influence du pape et de l’empereur de Byzance, le portrait devient solennel. Le portrait individuel qui ne suit pas l’inspiration religieuse, n’apparaît qu’au XIVème . Les techniques de representation : L’angle de vue : Le plus simple dans la capture de la ressemblance est celui

OUSPENSKY L., La Théologie de l’icône , Paris, Cerf, 2003. · COLLECTIF, Chrétiens d’Orient 2000 ans d’histoire , Paris, Gallimard, 2017. · KAPLAN M., Byzance, Paris, Les Belles Lettres, 2010. · MEDVEDKOYA O., Les icônes en Russie , Paris, Gallimard,2010. · POPOVA O., Les Icônes. L’histoire, les styles, les thèmes