Bérénice Aspect Poétique

drame, c’est-à-dire une action, une imitation (mimésis) de la vie des hommes sur une scène de théâtre. Il y avait les acteurs d’une part et un chœur d’autre part, lequel commentait, par des chants, l’action qui se déroulait sur la scène. Dans sa Poétique, Aristote (384-322 av. J.-C.) définit ainsi la tragédie :« La tragédie est donc l’imitation d’une action noble, conduite jusqu’à sa fin et ayant une certaine étendue, en un langage relevé d’assaisonnements dont chaque espèce est utilisée séparément

qu’il délivre le sens l’œuvre. Nous finirons par expliquer que ce sens peut-être également lié à d’autres éléments. Le dénouement est le résultat de l’intrigue dans une pièce, l’intérêt de ce dénouement est évoqué par Boileau dans L’art poétique : « Que le trouble toujours croissant de scène en scène A son comble arrivé se débrouille sans peine L’esprit ne se sent point si vivement frappé Que lorsqu’en un sujet d’intrigue enveloppé, D’un secret tout à coup la vérité connue Change tout

Voilà, on va juste faire quelques remarques pendant qu'on y est. Sur ce, tout le monde a l'image devant les yeux. C'est bon, on est. Oui, vous l'avez dans d'accord, je sens ça. Je reviens sur ce que j'ai montré. J'ai regardé. On va prendre un aspect physique. On est donc Iᵉʳ siècle après Jésus Christ premier et IIᵉ siècle. Vous remarquez déjà. Voyez la coiffure cheveux courts. C'était les empereurs romains avec tous ses cheveux courts, mais pas seulement les emprunts, mais les Romains. Vous

extrait d’une pièce de Racine, Bérénice Antiochus (qui aime Bérénice en secret et doit se résigner à l’éloignement) ...Je pars, plus amoureux que je ne fus jamais. Bérénice Seigneur, je n'ai pas cru que dans une journée Qui doit avec César unir ma destinée, Il fut quelque mortel qui pût impunément Se venir à mes yeux déclarer mon amant. Mais de mon amitié mon silence est mon gage : J'oublie en sa faveur un discours qui m'outrage. Le «ne pas croire » de Bérénice n’équivaut pas ici à une litote

Séquence 4 Tragédie et comédie au XVIIe siècle : le classicisme Sommaire Objectifs & parcours d’étude Présentation 1. Aspects de la comédie au XVIIe siècle Fiche méthode : Analyser le texte théâtral Corrigés des exercices 2. Visages de la comédie : de Molière à nos jours Corrigés des exercices 3. La tragédie au XVIIe siècle Corrigés des exercices 4. Autour de la tragédie classique Corrigés des exercices Lexique de la séquence Séquence 4 – FR20 1 © Cned – Académie en ligne

Séquence 4 Tragédie et comédie au XVIIe siècle : le classicisme Sommaire Objectifs & parcours d’étude Présentation 1. Aspects de la comédie au XVIIe siècle Fiche méthode : Analyser le texte théâtral Corrigés des exercices 2. Visages de la comédie : de Molière à nos jours Corrigés des exercices 3. La tragédie au XVIIe siècle Corrigés des exercices 4. Autour de la tragédie classique Corrigés des exercices Lexique de la séquence Séquence 4 – FR20 1 © Cned – Académie en ligne O bjectifs

Misanthrope acte 4, scène 3, la tirade de Célimène. b) Style de l’auteur (du dramaturge), style raffiné et attirant. Ex : Vers en alexandrins, Aspect poétique dans Bérénice de Racine. c) Avec des relectures on peut voir les différentes dénonciations faites par l’auteur. Ex : Misanthrope dénonciation de l’hypocrisie de la société du 17e faite par Alceste mais également dénonciation

18-20 ci-après pour les conseils sur la rédaction d'une dissertation). Alors qu'en Français II, vous deviez évaluer un aspect particulier ou un passage spécifique, nous vous demanderons cette année d'élargir votre champ d'étude. Il s'agira, toujours en vous servant de vos capacités d'analyse et d'interprétation, d’étendre votre perspective, en traitant par exemple plusieurs aspects d’une œuvre, ou même en comparant plusieurs œuvres entre elles. À un niveau plus profond encore, vous serez appelé(e)

la tragédie Andromaque (1667), placée sous la protection de Madame Henriette d'Angleterre assure sa réputation. Après une unique comédie, les Plaideurs, en 1668, il revient définitivement à la tragédie et donne successivement Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677). Principales œuvres : |Œuvres |Création |Œuvres |Création | |La Thébaïde

| |LES CHAMPS FANTASTIQUES DU REVE : | |une exploration poétique | |du romantisme au surréalisme. | Problématique : Comment le rêve nourrit-il l’expression poétique du 19è au 20ès. ? • Groupement de textes 1 : « La faculté de rêverie est une faculté divine et mystérieuse ; car c’est