Bérénice Scéne D Exposition

Caractéristiques: une action qui met en scène des acteurs/personnages de rang social élevé (rois, duc, empereur, dieu, déesse) pour émouvoir et instruire le spectateur, provoquer sa terreur et sa pitié par le spectacle des passions humaines en lutte entre elles ou contre le destin. Les règles à respecter: 3 unités, bienséance, doit se composer en 5 actes, progression dramatique (exposition, nœud, dénouement) La structure: l'exposition (début de la scène, premières scènes): selon Corneille «

La Tragédie Histoire : Antiquité : * La tragédie est naît à Athènes. * Les dialogues des acteurs alternent avec le chant du cœur. * Les malheurs de grands personnages sont mis en scène. * Aristote dans la poétique détermine les 6 parties qui composent la tragédie : « la fable, les caractères, l’élocution, la pensée, le spectacle et le chant » dans le chapitre VI * Le but de la tragédie est de susciter la terreur et la pitié. * Au Vème siècle av JC la tragédie antique

des événements ne devant pas excéder vingt-quatre heures, la pièce tragique commence au lever du jour et s'achève à la nuit tombée. Unité d'action: sur scène ne se déroule qu'une action, ce qui se passe à l'extérieur étant rapporté dans les récits. Si Racine excelle à respecter cette unité d'action (lire sa réflexion dans la préface de Bérénice), Corneille, en revanche, se sent à l'étroit dans le cadre des trois unités et on lui en fera le reproche lors de la querelle du Cid. Les thèmes de

préalable de ces sujets de la part du public. - L'intrigue et l'action sont minimisées au maximum dans certaines tragédies raciniennes (Bérénice, 1670). - "Ce n'est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie; il suffit que…tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie" (Préface de Bérénice) - Le thème tragique par excellence : la violence du sentiment amoureux saisit le héros et l'empêche de se servir de la raison. - Le héros

croisés: Le théâtre, texte et représentation/ étude d’un mouvement littéraire et culturel A. Une pièce baroque: étude d’une œuvre intégrale: L’Illusion Comique  de Corneille 12. Acte I, scène 1 du début au vers 58 : l’ exposition 13. Acte II scène 2 vers 273 à 346: le personnage de Matamore 14. Acte V, scène 6 vers 1781 à 1806: la tirade d’Alcandre 15. Sonnet de Jean de Sponde p 507 du manuel Exposés: Le Baroque/ Corneille Études complémentaires:Autour du personnage de Matamore: La tirade

Tragédie (La tragédie apparaît à Athènes au vie siècle av. J.-C. c’est un genre théâtral .On l’oppose à la comédie au contraire de laquelle elle met en scène des personnages de rangs élevés et se dénoue souvent par la mort d’un ou de plusieurs personnages. Aristote lui assigne pour but d’inspirer « crainte et pitié » Elle sert aussi a émouvoir et instruire le spectateur, provoquer sa terreur et sa pitié par le spectacle des passions humaines en lutte entre elles ou contre le destin.Le plus souvent

de la rupture avec le classicisme, dans toutes ses composantes. - études des registres et du mélange des tonalités. - une mise en scène moderne. (DVD de Dom Juan – Daniel MESGUISH) Passages étudiés : 1 - Acte I scène 1 : exposition et poétique de la rupture baroque 2 - Acte III scène 2 : la tentation du pauvre – une scène de séduction ? 3 - Acte III scène 1 : itinérance baroque et considérations sur le monde – Sganarelle : un médecin malgré lui ? 4 - Acte V scènes 5 et 6 : le dénouement

représentation » met en valeur les spécificités de ce genre que vous avez étudié en Seconde dans la perspective des registres (comédie, tragédie). ‡ Il vous est donc nécessaire d’envisager Bérénice dans le contexte de l’histoire littéraire pour le texte mais aussi de garder à l’esprit le problème de la mise en scène de cette pièce. En effet, le théâtre - surtout à l’âge Classique - s’appuie sur un art de l’illusion, illusion consentie par le spectateur : c’est donc ce que l’on peut appeler un simulacre

siècle se réfèrent au modèle définit par l e philosophe. Toutefois, cela ne représente que des directives, qu'ils n'hésitent pas à enfreindre pour les besoins de la scène. "La principale règle est de plaire et de toucher: toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première" rappelle Racine dans la pièce Bérénice. La plupart des préfaces de Racine sont animées d'un même but polémique: affirmer la conformité de ses pièces vis- à-vis des règles. Molière, quant à lui, tourne en

à ses fins Le héros peut être soit présent tout le temps, c’est le cas presque toujours de Phèdre et d’Hyppolite qui se partage à égalité la possession de la scène ; quand ils disparaissent un long moment, cette absence est ressentie comme grosse de menace et signe du dénouement, c’est le cas en particulier à l’acte V dans la dernière scène. Donc soit être présent tout le temps, soit être présent au moment cruciaux, le reste du temps, on parle de lui. On doit s’efforcer selon d’Aubignac de montrer