Cadre Spatio Temporel Fin De Partie

ans de galere.Texte provient du debut de l’œuvre ! Prob : Comment le reallisme de ce recit qui presente le heros du roman permet aussi de dénoncer les injustice sociales. I : Realisme dans le passage 1) 1 cadre spatio temporelle précis * Hiver rude -> situation precaire des gens ! Jean valjean a 7 enfant et ne peut pas tous les assumé. * Act° se deroule 1 dimanche soir : 7eme jour emblematique o nivo biblique , ceci agrave l’acte de JV car jour du seigneur

traumatisme, la chute de l’humanisme à la sortie de la Seconde Guerre mondiale. 3 principaux dramaturges : Samuel Beckett , Eugène Ionesco , Jean Genet , Arthur Adamov Caractéristiques : -Refus de la notion de personnage et de l’intrigue. -Cadre spatio temporel flou. -Satire de la société et de la bourgeoisie. -Double sens : Faire rire par l’absurdité et pousse à reflechir sur l’incohérence du cycle de la vie. -Rapprochement avec le théâtre antique : utilisation de mime, de clown, d’un maximum

Présentation de l’œuvre :Arria Marcella est une nouvelle de Théophile Gautier appartenant au genre fantastique. Cet auteur est né en 1811 et est mort en 1872. C'est un écrivain et poète romantique français qui fut aussi critique d'art. A partir de 1830, il publie de nombreuses nouvelles fantastiques comme La cafetière en 1831 dont nous avons étudié un extrait. Arria Marcella publiée en mai 1852 dans La Revue de Paris

société dans laquelle il évolue mais est-ce la seule ? Il est vrai que la principale fonction d'un personnage de roman est de refléter le monde qui est autour de lui. En effet, dès le début d'un roman l'auteur nous plonge dans un cadre spacio-temporel précis qui renvoie à une certaine société comme dans les œuvres de Zola, Germinal ou L'Assommoir, dans lesquels les personnages sont respectivement des mineurs et des ouvriers (le personnage principal, Gervaise, est une blanchisseuse). Dans

politique  : la monarchie, la dictature, la république, la démocratie, le consulat, l’empire, l’anarchie (=ordre sans le pouvoir)… Le totalitarisme : c’est un régime politique extrêmement autoritaire, dans lequel il n’existe qu’un parti unique, aucune opposition possible, aucun contre-pouvoir. Le pouvoir est dans les mains d’un dirigeant autoproclamé, qui contrôle arbitrairement la vie des gens, dans les sphères publique et privée. Dans le totalitarisme, les règles changent arbitrairement

les romanciers ; on étudiera ainsi la façon dont Diderot s'amuse à démonter les mécanismes du récit, tout en en créant un, plus original ; - d'autre part, on décèlera l'idée philosophique du fatalisme, grave au contraire, qui se profile derrière le cadre du récit. Thème 1 ludique : Les premières lignes, sous forme de questions adressées au narrateur concernant ses personnages, questions auxquelles il répond par des platitudes du type "Par hasard, comme tout le monde", "Du lieu le plus prochain" ou

protagonistes, des liens qui les unissent, des raisons qui les opposent), nœud (événements qui vont précipiter l’action), péripéties (déroulement de cette action qui en général s`accélère jusqu’à un paroxysme) et dénouement (nouvel équilibre qui résulte d’une fin heureuse ou malheureuse). La plus difficile mais souvent la meilleure consiste à s’affranchir de la structure du récit, pour caractériser son contenu, en classant les éléments qui le constituent par ordre d’importance sans nécessairement respecter

entretiennent un rapport particulier avec la réalité. Comme tout récit fictionnelles, c’est trois genre ne contiennent pas d’histoire réelle, mais des événements sorti tout droit de l’imagination prolifique de leurs auteurs. Ces événements sont en outre en partie impossible : ils ne pourraient pas se produire dans le monde qui est le nôtres. Des éléments qui nous paraissent surnaturels ou inconcevables y sont exposées. Il y’a cependant une grande différence dans la nature de ces éléments impossibles, selon

(1e chap de la 1e partie) de La Peste, Camus 1) Composition (structure) Il y a 8 paragraphes dans ce chapitre. Chacun d’eux comporte des idées distinctes. Il y en a trois : - l’évocation de la ville d’Oran. Le parti pris est réaliste (registre réaliste). - la vie des habitants et leurs activités - les interrogations du chroniqueur, qui est le narrateur. Il s’interromps lui-même à la fin du chapitre pour laisser place au récit lui-même. C’est un prologue où il établit le cadre du récit. Ce n’est

-"Pangloss", construit à partir de deux mots grecs ( symbôles et clichés du savoir ), Pan=tout, gloss=langue : il parle toutes les langues, il maîtrise le langage. b) Réduction des personnages à un détails. -"Cunégonde", comparée à de la nourriture -"la baronne" réduite à son poids ( non négligeable ) -les femmes partagent la même caractéristiques, elles sont grasses. Les personnages sont des marionnettes sans grande profondeur. 2) Un cadre spatio-temporel merveilleux. a) Usage des