Capital Retournement

ce que doit l’entreprise. Il se répartit comme suit : Les capitaux propres correspondent à la dette que possède la société vis-à-vis de ces actionnaires. Ils comprennent le capital (apport initial des actionnaires), les réserves (bénéfices non distribués en dividendes) et le résultat (la création de richesse ou l’appauvrissement de l’exercice). Ce passif est censé fiancer une partie de l’actif. Une entreprise qui créer avec un gros capital ne distribuant jamais de dividendes et qui dégage de gros

divergences qui existent dans les théories de ces derniers concernant les crises économiques. 1/ Les convergences des points de vue: A/ Qu'est-ce-qu'une crise, l'idée de l'état stationnaire: Aujourd'hui, les économistes qualifient de crise un retournement brutal de la conjoncture économique marquant la fin d'une période de croissance et par conséquent, une situation économique caractérisée par la faiblesse de la croissance du PIB, à laquelle est associé le plus souvent un développement du chômage

délocalisation, la concentration des acteurs dans les pôles constitue aussi un atout pour l’attraction de nouveaux partenaires ou pour les convaincre d’y rester. Tout d’abord, des économies d’échelle peuvent être effectuées grâce à la mise en commun du capital fixe des acteurs, mais aussi, leur proximité permettra de diminuer les coûts de transactions et de transports. De plus, les pôles permettent d’acquérir une masse suffisante pour développer une visibilité à l’international et promouvoir une image attrayante

économique des fluctuations cycliques 1. Le cycle économique peut revêtir des formes très diverses * Jusqu’à la 2nde GM : cycle = alternance de phase d’expansion et de dépression autour d’un trend horizontal. La crise correspond au court retournement de la conjoncture. Prix, emploi et production varient dans le même sens. * Après 1945 : il n’y a plus alternance mais fluctuation autour d’un trend croissant. Il n’y a plus dépression mais récession (ralentissement de la croissance) et la crise

demande A / Du côté de l’offre Du côté de l’offre, ce sont les facteurs de production déterminent le niveau de la croissance :pour obtenir de la croissance, les économistes considèrent en général qu'il faut trois ingrédients : du travail, du capital et du progrès technique. Le travail est un facteur de croissance aussi bien en quantité qu'en qualité. C'est en effet la disponibilité d'une abondante main-d’œuvre qui a permis le décollage économique des Etats-Unis et de l'Europe au XIXe siècle

transformation). Il est témoins de la première mondialisation et le développement d’une finance mondiale Le capitalisme financier [80’s-aujourd’hui] : se caractérise par les préceptes libéraux (déréglementation, libres circulation des capitaux et marchandises, privatisation) dominé par le marché avec l’objectif implicite de l’évacuation de l’intervention de l’Etat. On peut remarquer la main mise sur les économies de la finance internationale à travers les actionnaires. II Le

mondiaux de b&s en 2011, les X° rpz 30% du pib mondial cad que 3O% de la p° mondiale etait exportée. Depuis la WW2, le CI a aug + rapidement que la p°. une part de plus en plus importante de la p° est exportée. La crise de 2008 a entrainé un retournement en 2009 mais des 2010 la tendance de fond s'est poursuivie B) Les facteurs explicatifs de l'ouverture internationale la liberalisation des echanges deux etapes marquent cette liberalisation des echanges : Années 1944-1980 : periode

indiquée au graphique 1 a donc été concentrée dans les ménages pauvres et de la classe moyenne. En 1983, le ratio pour la tranche de 5 % des ménages les plus riches était de 80 %. Pour les autres 95 %, il était de 60 %. Vingt-cinq ans après, retournement spectaculaire : il était de 65 % pour les 5 % les plus riches et de 140 % pour les 95 % restants. Les pauvres et la classe moyenne semblent avoir résisté à l’érosion de leurs revenus relatifs en empruntant pour conserver un meilleur niveau

finance, croissance et cycles vendredi 18 février 2011 21:52     I. Finance et croissance   Dans les années 1980, la libération financière est sortie du monde anglo-saxon. On pensait qu’une plus grande efficacité des marchés de capitaux allait permettre d’assurer une meilleure liaison macroéconomique entre la finance et l’économie. L’épargne pouvait être encouragée par une plus grande gamme de choix de placements et par des protections contre les risques mieux adaptée. L’investissement

des nombreuses crises entres autres celle de 1929, 1974 et tout récemment celle de 2008. Au sens étymologique, le mot crise renvoie à un moment paroxystique dans l’évolution d’une maladie. Dans le langage économique, la crise désigne le moment de retournement de la conjoncture économique, le temps de passage d’une période d’expansion ou d’essor assez soutenue à celui d’une phase de dépression ou de contraction plus ou moins longue. Aujourd'hui, beaucoup de gens s'interrogent face a une crise du capitalisme