Capitoul

d’élection et de cooptation, lui-même basé sur la division des citoyens en quatre grandi, organisation qui se retrouve souvent. En plus de la diversité des système, il y a diversité des appellations. En France : échevins au Nord, consuls au Sud, capitouls à Toulouse, ménagers à Honfleur, jurats à Bordeaux, gouverneurs à Senlis, un magistrat à Strasbourg, … Et puis diversité des valeurs symboliques et sociales liées à ces fonctions. Entre le XVe et le XVIe siècle, la monarchie a récompensée 20 000

du Sud, villes de consulat, le serment n’est pas requis et donc la ville de consulat est beaucoup plus ouverte que les communes. Dans la ville de consulat, il n’y a pas de maire mais un Conseil de ville qui délibère et des consuls dit aussi des capitouls qui sont les agents d’exécution des décisions du Conseil de ville. Quelque soit le statut de la ville, de consulat ou la commune, ces villes établissent un droit nouveau qui en porte des conséquences juridiques. B. Conséquences juridiques

en réalité des prud’hommes à qui on demande conseil, qui ont pour fonction de veiller à la chose publique, et sont choisis à l’origine par le seigneur ou son représentant. Dans certaines villes comme Toulouse, ces conseillers prennent le nom de Capitouls, ils forment un chapitre, que le seigneur consulte, ils sont choisis parmi les notables de la ville, et sont censés représenter les habitants de la ville aux yeux du seigneur, le seigneur traitait avec les conseillers lorsqu’il voulait revoir les

jouissant de privilèges particuliers dans les villes. Ces avantages peuvent être de nature fiscale (ainsi en est-il des villes normandes depuis le XVe siècle) ou politique, accordés par la charte communale. On peut citer les élus de Toulouse, les capitouls, ou ceux de Bordeaux, les consuls. Les prérogatives attachées à ce statut leur accordent une réelle prépondérance dans l’administration des affaires de la cité : par exemple, ils autorisent le recours à la force publique, souvent constituée autour

midi les coutumes urbaines ont fait l’objet de rédactions officielles, menée par les seigneurs ou les municipalités. La coutume de Toulouse en 1286, qui avait était réclamé plusieurs fois depuis le 12eme siècle, elles furent présentées par les capitouls au roi Philippe III qui les promulgues en 1286. Rédactions officielles menées par les municipalités. En revanche dans le Nord ce sont les juges, les administrateurs des seigneurs qui vont composer à leurs propres initiatives des coutumes. Les

midi les coutumes urbaines ont fait l’objet de rédactions officielles, menée par les seigneurs ou les municipalités. La coutume de Toulouse en 1286, qui avait était réclamé plusieurs fois depuis le 12eme siècle, elles furent présentées par les capitouls au roi Philippe III qui les promulgues en 1286. Rédactions officielles menées par les municipalités. En revanche dans le Nord ce sont les juges, les administrateurs des seigneurs qui vont composer à leurs propres initiatives des coutumes. Les

fourneaux empourprés Flamboie ; on voit aller et venir affairés, Des taches à leurs mains, des taches à leurs chausses, Les Rianceys marmitons, les Nisards gâte-sauces ; Et, - derrière la table où sont assis Fortoul, Persil, Piétri, Carlier, Chapuys le capitoul, Ducos et Magne au meurtre ajoutant leur paraphe, Forey dont à Bondy l'on change l'orthographe, Rouher et Radetzky, Haynau près de Drouyn, Le porc Sénat fouillant l'ordure du grouin. Ces gueux ont commis plus de crimes qu'un évêque N'en bénirait

Nord : collège de 12 membres (le + svt) appelés échevins (Flandre) ou jurés (Normandie) dirigé par un maire ou bourgmestre qui préside les séances et fait figure de 1er magistrat de la ville ; - Ds le Midi : parfaite collégialité des consuls ou capitouls dt le nombre varie de 2 à 24 mais qui sont ts sur un pied de stricte égalité. Le caractère oligarchique ou au contraire démoc. d'un pouvoir urbain dépend donc de la composition et du rôle de l'assemblée plénière des citoyens, ainsi que des modes

nez plat et écrasé», «qui n’a plus de nez», ce qui fait que, le crâne d’un squelette n’ayant plus de nez, le mot «camarde» en est venu à désigner la mort, dont «la face» est «camarde». - «la canaille» (V, 1, 1) : «ensemble de gens méprisables». - «capitoul» (IV, 12, 3) : «citoyen élu par un quartier de Toulouse pour faire partie du conseil municipal de la ville». - «capricant» (I, 5, 8) : «qui fait des bonds analogues à ceux de la chèvre», «qui procède par bonds irréguliers, par saccades. Ici, fantasque

se noya dans la capitane de Malte qui coula à fond, SAINT-SIMON. Capitan-pacha : (ka-pi-tan-pa-cha), n. m. Amiral turc ; le vaisseau amiral turc. .. Quand brûlaient au sein des flots fumants Les capitans-pachas avec leurs armements, V. HUGO. Capitoul : (ka-pi-toul), n. m. Nom qu'on donnait aux magistrats municipaux de la ville de Toulouse. Capon : (ka-pon), n. m. 1° Celui qui cajole pour tromper et arriver à ses fins 2° Poltron, et aussi, au collége, celui qui, dans une punition collective