Caracteristiques De Creon

bien solitaire qui subit des affrontements successifs avec les autres personnages, et qui est seul face au combat que représente sa destinée. Elle n'est entourée que par de divers formes d'incompréhension qui vont de la pitié d'Ismène à la haine de Créon, lequel n'admet pas qu'une femme puisse lui tenir tête. Et son destin tragique est scellé : elle doit mourir. Antigone est une pièce des années noires, lorsque la France connaît la défaite face aux armées nazies et elle tombe sous l'Occupation.

Elle consistait à purifier l'âme des spectateurs, ceux-ci, en regardant une pièce tragique, doivent prendre comme exemple le mythe joué et ne jamais commettre les erreurs montrées sur scène. Depuis l'Antiquité jusque maintenant, les principales caractéristiques de la tragédie n'a pas changé: mise en scène de personnages hors du commun, une fin comprenant une ou plusieurs morts. Cependant, l'on ne s'est toujours pas mis d'accords sur la définition intégrale de ce genre. Certains courants disent que la

Présentation de la pièce : Il faut garder en mémoire que dans la pièce de Sophocle le personnage tragique n'est pas Antigone, mais Créon. Comme Œdipe, son neveu, dont il prend la suite, Créon s'est cru un roi heureux. En cela, il fait preuve de "démesure", pour cela il doit être puni. Antigone est l'instrument des dieux, Hémon le moyen, Créon la victime. Lui seul est puni en fin de compte. La mort d'Antigone n'est en rien une punition, puisqu'elle n'a commis aucune faute, au regard de

deux, sauf que Créon, oncle d'Antigone et nouveau roi de Thèbes, refuse les honneurs funéraires à Polynice et empêche ainsi son âme d'être en paix. Il édite une loi interdisant à qui que ce soit d'enterrer son corps, sous peine de mort. Mais sa petite sœur Antigone ne compte pas obéir à son oncle en laissant pourrir son corps. Ici Antigone se retrouve devant un dilemme : obéir et donc manquer à son devoir religieux et moral, ou mourir. On retrouve ici une des grandes caractéristique du registre tragique

sur la scène française de l’époque classique. L’épisode de la légende le plus communément retenu est emprunté à Euripide et à Sénèque : c’est celui de la vengeance de Médée, après que le couple en fuite eut trouvé refuge à Corinthe, à la cour du roi Créon, et que Jason eut renié Médée1. Cet épisode particulièrement sanglant associe, depuis Euripide, régicide et infanticide, effets de la vengeance de la magicienne. Il marque le basculement d’une figure que le Grand Siècle a voulu humaine vers le crime

histoire : Pendant la guerre des Sept Chefs, Étéocle (le roi de Thèbes) et on frère Polynice s’entretuèrent. Ainsi, Créon, l’oncle de Polynice et d’Etéocle, devint le roi de Thèbes. Tout de suite, il fit une très belle sépulture à Étéocle et laissa Polynice exactement au même endroit où il était tombé mort ; Polynice était considéré comme un traître. Antigone n’accepte pas l’acte de Créon : Polynice était le frère d’Étéocle, le fils d’Œdipe. Alors, elle commence à couvrir le corps de Polynice, mais

sur la scène française de l’époque classique. L’épisode de la légende le plus communément retenu est emprunté à Euripide et à Sénèque : c’est celui de la vengeance de Médée, après que le couple en fuite eut trouvé refuge à Corinthe, à la cour du roi Créon, et que Jason eut renié Médée[1]. Cet épisode particulièrement sanglant associe, depuis Euripide, régicide et infanticide, effets de la vengeance de la magicienne. Il marque le basculement d’une figure que le Grand Siècle a voulu humaine vers le crime

une scène de la mythologie. Médée qui est une princesse et aussi une sorcière est mariée à Jason, mais Jason ambitieux et lassé de sa princesse à prévu d’épouser à la fille de Créon, roi de Corinthe. L'abandon et l'ingratitude de son époux déclenchent une colère sauvage de Médée, qui déclare ouvertement ses sentiments. Créon, craignant qu'elle ne se venge sur lui et sur sa fille, décrète aussitôt l'exil de Médée et de ses deux enfants. Médée l'amadoue pour obtenir un jour de répit et, au moyen d'une

Présentation de la pièce : Il faut garder en mémoire que dans la pièce de Sophocle le personnage tragique n'est pas Antigone, mais Créon. Comme Œdipe, son neveu, dont il prend la suite, Créon s'est cru un roi heureux. En cela, il fait preuve de "démesure" (ubris, en grec), pour cela il doit être puni. Antigone est l'instrument des dieux, Hémon le moyen, Créon la victime. Lui seul est puni en fin de compte. La mort d'Antigone n'est en rien une punition, puisqu'elle n'a commis aucune faute, au

têxte et représentation » Question de synthèse : En comparant ces quatres textes, vous degagerez les éléments caractéristiques d'une scène d'exposition. Les quatres textes que nous allons étudier sont des extrait théâtrale, qui correspondent au début de chaque pièces. Ce sont donc des scènes d'exposition, de quoi ces scènes sont-elles faites ? Et quelles sont ses caractéristiques ? Tout d'abord, nous pouvons voir dans tous les textes une présentation des personnages. Molière dans Monsieur