Caractère D Harpagon

représente l'honnête homme du XVIIième siècle. Georges Orwell a lui aussi contourner la censure en dénoncant à travers les animaux de la basse-cour dans “La ferme des animaux”. Les hommes y sont tenus comme responsables du malheur des animaux. Dans “Les Caractères” (1688), Jean de La Bruyère veut faire comprendre le ridicule de la guerre en faisant une métaphore en faisant une analogie de la horde de chats qui se bagarrent (L.15 à 20), l'auteur confronte la violence de l'homme avec celle des animaux. Dans

de gestes, de caractères ou de situations. L’exemple des « Précieuses ridicules » de Molière montre bien, par un langage précieux absurde, des expressions inappropriées ou de gestes maladroits, le ridicule, qui comprend celui de mots et de gestes. Le comique de caractère et de situation est lui aussi présent dans la pièce « L'illusion comique » de Pierre Corneille où Clindor, un valet insolent et fanfaron se voit accorder le pouvoir de décision de la mort de son maître. Le caractère vaniteux et l'inversement

approfondissant caractère et étude sociale, en vers[->35] comme Le Misanthrope[->36] (1665), Tartuffe[->37] (1664-1669), Les Femmes savantes[->38] (1672), ou en prose[->39] comme Dom Juan[->40] (1665). Peintre des mœurs de son temps, surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt...), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain[->41], Harpagon[->42],

excessifs dans leurs actions, ainsi que le comique de geste ou de caractère de ces personnages. Notamment dans L’école des Femmes, Molière nous peint le portrait d’Arnolphe comme étant un homme extrêmement jaloux et obsédé par l’infidélité que pourrait avoir sa femme envers lui, c’est pourquoi il préférerait avoir une femme « sotte et laide » ce qui bien sur n’est la volonté d’aucun homme sur terre et engendre le comique de caractère de ce personnage. Mais le comique de geste est aussi très drôle et

situation : Toute comédie raconte une histoire par une série de scènes qui ménagent d'amusantes surprises: rebondissements, coïncidences, retournements, tous les moyens sont bons pour mettre en difficulté le personnage dont on veut rire. Exemple : Harpagon (à son fils). — Comment! pendard, c'est toi qui t'abandonnes à ces coupables extrémités!
Cléante. — Comment! mon père c'est vous qui vous portez à ces honteuses actions! Molière, L'Avare, Acte II, scène 2, 1668. L'avare découvre que son fils est

une personne hypocrite. En outre, Dorine dit à Mariane : « Vous serez tartuffiée » (II,3), néologisme qui montre que Tartuffe est l’illustration presque allégorique de la manipulation et de l’imposture. Molière a souvent recours aux archétypes : Harpagon, dans l’Avare, est obsédé par l’argent au point de confondre sa cassette avec sa fille dans le célèbre quiproquo avec Valère ; Argan, dans le Malade imaginaire, est une hypocondriaque maladif tourné en ridicule par Toinette, sa servante. De même

de moeurs : La comédie mœurs consiste à souligner les tendances d’une époque, tourner en dérision les habitudes d’une société. (ex : L’école des femmes de Molière). - Comédie de caractère : La comédie de caractère est centrée sur un personnage dont elle veut dénoncer les défauts, caricature (ex : harpagon dans l’Avare de Molière). - Grande Comédie : La Grande comédie se veut un genre littéraire par son respects des règles, son souci du poème dramatique (en 5 actes, et en vers) dont

approfondissant caractère et étude sociale, en vers[->39] comme Le Misanthrope[->40] (1665), Tartuffe[->41] (1664-1669), Les Femmes savantes[->42] (1672), ou en prose[->43] comme Dom Juan[->44] (1665). Peintre des mœurs de son temps, surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt...), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain[->45], Harpagon[->46],

portant des dorures, des cheveux gris ou bruns, permettront d'identifier un riche, un pauvre, un vieillard ou même un avare. En effet, un costume peut souligner les traits de caractère des personnages, afin de les faire ressortir de façon visuelle, sinon plus difficiles à discerner. Dans l'Avare de Molière par exemple, Harpagon possède une fraise à l'antique et elle participe à l’exagération et au comique du personnage. Proche de la fonction du costume, le masque a beaucoup été utilisé dans le théâtre

chutes ... Le comique de caractère. Par exemple : Dans l'Avare, Molière caricature le bourgeois Harpagon en exagérant son amour de l'argent. Par exemple : le Misanthrope, Acte 2, scène 1 Alceste - Et c’est pour me péchés que je vous aime ainsi ? Il est fondé sur la psychologie des personnages, de leurs faiblesses, de leurs obsessions, de leurs contradictions qui prêtent à rire (les avares, les jaloux, les cocus...) et met en scène des personnages, peint leur caractère, leurs vices, leurs idées