Caractéristiques Libertinage

* → La noblesse est la classe qui doit combattre et défendre le pays : les nobles se battent. Au XVIIe, ils ne se battent plus. Or malgré tout, la noblesse est fière de sa fonction. Donc la métaphore militaire, qui est essentiellement une caractéristique de la noblesse, est détourné ici vers le fait de déshonorer les femmes (Antithèse de Sganarelle acte I scène 1 «  méchant homme »). L’art de la guerre est remplacé par l’art de la séduction. Il utilise sa force pas pour la bataille mais pour la

l'inconscient et va pousser les hommes à se dépasser et à créer « toute création est impossible si on est pas vraiment amoureux ». Caractéristiques: 1)les surréalistes mettent l'accent sur le désire (désirer l'autre pour lui même et non pour se sentir bien) de l'autre pour cette personne 2)un état d'attente et de réceptivité maximale 3)érotisme (influence du libertinage) 4) unicité de la femme aimé (Cf : mythe de l'androgyne primitif), la fidélité 5) optique Moyen-Age. La femme est considéré comme

traditionnelle, contrairement à beaucoup d'ouvrages de la même époque. C'est un des premiers romans psychologiques, on peut en effet trouver dans cette œuvre une profondeur et une tension qui ne sont parfois pas visibles à première vue. Une des caractéristiques de ce roman est son appartenance à la littérature précieuse. Préciosité tout d'abord extérieure, puisqu'elle concerne son auteur Mme de La Fayette, mais aussi dans l'œuvre, dont le thème principal est l'amour, la place et la forme qu'il prend

une pub mensongère sur la vie là-bas. • Le libertinage (faire un travail perso et cf photocopie) : au XVIème : sens restreint à indocile aux croyances religieuses (< mot = affranchi, libéré), ce sont des hérétiques, au XVIIème : dissident à l’orthodoxie chrétienne (mécréant, impie), à la morale sociale (refus de la hiérarchie et des normes, à l’esthétisme (baroque) A la fin de la Régence, les philosophes ne sont plus en accord avec le libertinage car ils veulent instituer des lois collectives

costume, parlant le vieux français nous emmène au 17è siècle, Médée de Racine nous transporte dans la mythologie grecque avec les habits correspondants… Chaque metteur en scène possède sa propre vision de l’œuvre, mais mettra toujours en avant les caractéristiques de l’époque sauf peut être certaines versions contemporaines dans lesquelles les metteurs en scène adaptent la pièce. Le changement de lieu constitue également un élément du divertissement, ainsi nous sommes transportés dans un autre univers

cette scène. D'après Bergson le comique est "du mécanique plaqué sur du vivant". Conclusion : Acte léger, amusant, les suivants vont devenir plus ombres à mesure que le héros va s'enfoncer dans l'erreur. (L'erreur symbolisé par la foret) Les caractéristiques de la farce. La farce place au geste, du jeu physique et mécanique comique. Le trios amoureux. Un mauvais tour que l'on joue à quelqu'un, souvent le trompeur trompé. Lecture analytique n°3 : Acte 3 : Errance dans la forêt, scène 1

joies du corps et de l’esprit. 3) Don Juan, un personnage libertin ? A. Libertinage de mœurs - 1ère scène : « épouseur à ttes mains », sort Elvire d’un couvent, l’épouse et fuit tout aussi tôt - Séduction de la fiancée de celui qui l’a sauvé de la noyade et d’une autre femme en même temps - Il raille commandeur, sa victime, en l’invitant à manger chez lui - Hypocrite avec tous les personnages même son père... B. Libertinage de pensée - DJ croit en 2 et 2 font 4 et 4 et 4 font 8 -> matérialiste,

considérable sur la Franc-Maçonnerie française du XVIIIème Siècle. Il fut publié à plusieurs reprises et fut soumis par son auteur au cardinal de Fleury, ministre de Louis XV, le 20 mars 1737. Sa valeur historique réside dans le fait qu'il est très caractéristique de la Franc-Maçonnerie du siècle des Lumières, et qu'il préfigure, par sa volonté de rattacher l'histoire de la Franc-Maçonnerie à celle des croisades, le mouvement qui verra l'apparition des "Hauts Grades". Les recherches historiques les plus

l’expression infiniment, ce qui démontre que son respect envers l’honneur est intense. Ensuite, la personnification « [l]orsque l’honneur est blessé mortellement, on ne doit point songer à garder aucunes mesures ; […] » (1035-1036) vient attribuer des caractéristiques propres à l’être humain à un concept, soit l’honneur, pour le rendre plus concret et mieux décrire son état. Ceci démontre que l’honneur est tellement crucial pour Don Alonse, que c’est comme s’il défendait un être humain et qu’il était prêt

vu qu’à elle ». - Mais les figures d’amplification la rendent exceptionnelle « dans un lieu où l’on était si accoutumé à voir de belles personnes » car « c’était une beauté parfaite ». Le registre est donc épidictique et la louange en est la caractéristique, avec, dès le début du texte, la métonymie associée à une tournure impersonnelle qui font de l’entrée à la Cour de la future princesse, une apparition mystérieuse digne d’un conte de fée de Perrault : « Il parut alors une beauté à la cour, qui