Cardinal Cibo

Louis-Philippe succède à Charles X. Tous deux empêchent l’établissement d’une république. L’anticléricalisme qui transpire de la pièce (le cardinal pousse sa pénitente à l’adultère) rappelle celui qui se manifestait aux premiers temps de la monarchie de juillet. Les désirs politiques confus et contradictoires de chaque personnage font écho à la situation de 1830. Le cardinal Cibo ne cherche que son intérêt. La marquise, sa belle-sœur, derrière une façade républicaine ne souhaite qu’un retour à une monarchie

une personne de plus à sa cour, et nie en bloc auprès de ses proches l’influence que celui-ci détient sur son esprit. Il le voit comme un lâche, le surnomme Lorenzetta, et l’imagine davantage comme habile à manier les mots que l’épée. Devant le cardinal Cibo et sire Maurice, il redouble d’adjectifs dépréciatifs à l’encontre de son cousin, le qualifiant de « fieffé poltron », de «femmelette » et autres épithètes peu engageants. La confiance qu’il lui accorde n’est qu’un sentiment de supériorité, qui

temps dans la pièce Lorenzaccio Dans Lorenzaccio de MUSSET, peu d'indications comportant sur la temporalité de la pièce sont présentes. En effet, nous avons pu en remarquer quelques unes avec par exemple : la durée de l'absence du marquis Cibo avec « ce sera l'affaire d'une semaine » (acte I sc. 5) la nuit de six Six avec « Il avait six blessures, à six heures de la nuit, le six du mois, à l'âge de ving-six ans, l'an 1536. » (acte 5 sc. 5) Nous pouvons observer que la pièce se déroule

par la vengeance », Acte III, scène 3. La Marquise de Cibo : Objet : céder aux avances du Duc (maîtresse d'Alexandre) Opposants : le Duc / le Marquis Destinataire : Républicains / elle Adjuvants : le Cardinal Cibo. « Si mes yeux ne me trompent pas, c'est donc cette maison qu'est le marteau dont je me servirai. », Acte II, scène III. « Qui est-ce donc que j'aime ? Est-ce toi ? Est-ce lui ? », Acte II, scène III. Le Cardinal : Adjuvants : les Médicis / Paul III (le pape) / Charles

(1834), Musset nous décrit le cardinal Cibo - un vil, machiavélique qui manigance dans l’ombre « selon ses règles mystérieuses ». Il utilise les secrets du confessionnal de sa belle-sœur pour le pouvoir et la pousse dans les bras du duc Alexandre. Selon lui, « Rien n’est un péché quand on obéit à un prêtre de l’Église romaine. »(Acte I, Sc. 3). Nous remarquons que le Mal rode autour du Bien mais à la fin, la Foi en la vérité et le Bien l’emporte car la Marquise Cibo sera pardonnée et acceptée par

Alfred de Musset, étant lui même un romantique ravageur de son temps. La place de la femme est une notion qui causera débat dans son entourage, et semble jouer un role intéressant dans la pièce. Elles se réduisent au nombre simple de 5: La marquise de Cibo, Louise strozzi, Marie, Cathrine, et Gabrielle étant les principales protagonistes. Elles semblent occuper une place restrainte, en arrièrre plan par rapport aux hommes de la pièce. Même dans la liste des personnages elles se situent à la fin, après

Lorenzaccio annonce un meurtre ors certaines des caractéristiques du mélodrame sont mes actions mouvementées, les péripéties violentes et sanglantes et les "coups de théâtre". Mais aussi les effets grossis d'un spectacle pathétiques où l'on s'indigne (Cardinal Cibo), s'émeut et s'apitoie (Lorenzo, Marie Sordini) que le drame romantique reprend dans un but différents ors, Lorenzaccio est un drame romantique. Donc Musset, en s'en inspirant est sûr de faire un succès. En effet, le mélodrame et le drame romantique

Lorenzaccio, Alfred de Musset. Acte II, scène 4. Cette scène est une scène de famille / Intérieur protecteur, un univers féminin. C'est une scène étonnante après les multiples portraits que nous avons reçus de Lorenzo ( dont un fait par le cardinal Cibo. ) Cette scène renvoie à la scène 6 de l'Acte I, scène de déploration au cours de laquelle Marie ( la mère de Lorenzo ) se lamentait sur son fils dont elle avait appris la lâcheté. Elle nous avait ainsi livré l'enfance de Lorenzo, les projets

à bien l'action qu'il veut entreprendre, qui est de tuer le Duc Alexandre de Médicis pour libérer Florence, contrairement à certains personnages comme Philippe Strozzi ou la Marquise de Cibo qui diffèrent leurs actions en raison d'un obstacle constitués par d'autres personnages comme Louise Strozzi et le cardinal alors que Lorenzaccio n'agit que pour lui même et par lui-même. Donc nous pouvons dire que Lorenaccio est le personnage principal de l'oeuvre du à sa forte présente sur scène et au fait

C’est la scène 2 du deuxième acte à partir de la ligne 170 jusqu’à la ligne 211. Ce passage se situe à Florence, devant le portail d’une église, entre le Cardinal Valori, Lorenzo de Medicis et le peintre Tebaldeo Freccia. Jusqu’à maintenant, nous avions rencontré un Lorenzo décrit comme lâche et faible par son frère, méfié par le Cardinal Cibo, désolé par sa mère qui a honte de lui et enfin méprisé par le peuple florentin. Dans la 1ère partie de la scène, les 3 personnages parlent de la conception