Cardinalité

Nomenclature Hiérarchique Spirituel Réel 2eme père 1er père Matrice 3.8. Cardinalité. La cardinalité d’une occurrence d’entité dans une relation donnée est le nombre d’occurrence(s) de relation que possède cette occurrence d’entité via la relation. dans le cas de relation binaire (reliant deux individus), ce nombre est le même que

soit une personne, soit une société, qu'une contrainte existe entre les 3 individus voiture, personne, société et leurs relations. Les contraintes sont les suivantes, notées de a à g. 51 Parlez-vous Merise ? a. Les cardinalités minimales et maximales La cardinalité d'une occurrence d'individu dans une relation donnée est le nombre d'occurrence(s) de relation que possède cette occurrence d'individu via la relation. Dans le cas de relation binaire (reliant deux individus), ce nombre est le

triplets). Cette propriété est toujours soulignée dans l’entité. Cardinalités : c’est le nombre de fois au minimum et au maximum où une occurrence de l’activité A participe à l’association. Il existe 4 cardinalités : -(1 ; 1) -(1 ; n) -(0 ; n) -(0 ; 1) (Minimum à gauche et maximum à droite) Exemple 1 : Ceci est une CIF Règle de gestion (justification des cardinalités) : -un client passe au minimum 1 et max plusieurs commandes -une

modèle afin d’assurer la cohérence de la base d’information.  Exemple d’incohérence :   une commande n’est passée par aucun client;  la date de fin de location est antérieure à la date de début de location. 56 GEA2 III.1. Cardinalité  Définition : les cardinalités d’une entité dans une association mesurent, lorsque l’on parcourt l’ensemble des occurrences de cette entité, le minimum et le maximum de leur participation à l’association. On note (min, max). 57 GEA2  Exemple Avoir pour

Introduction………………………………………………………..………………………………3 Dictionnaire des données………………………………………………..………………..….4 Matrice des DF de couverture minimale…………………………………..…………….6 Modèle E/A ou schéma conceptuel des données………………………..…..………7 Tableau justificatifs des cardinalités……………………………………………..…………8 Modèle relationnel…………………………………………………………………...………….8 Schéma relationnel avec application de l’intégralité référentielle…….…………10 Les tables………………………………………………………………………………….……..…11 Les requêtes …………………….……………………………………………………………

plus : parfois ternaire, voire de dimension supérieure. Une association peut également être porteuse d'une ou plusieurs propriétés (ex : 'date d'implantation' d'une usine dans un pays) Cette description sémantique est enrichie par la notion de cardinalité, celle-ci indique le nombre minimum (0 ou 1) et maximum (1 ou n) de fois où une occurrence quelconque d'une entité peut participer à une association (ex : une usine est implantée dans un (card. min=1) et un seul (card. max=1) pays; et réciproquement

rechercher et définir avec précision les propriétés qui interviennent pour traduire le système d’information puis les regrouper en utilisant un modèle : Modèle Entités Associations (MEA). Les concepts de base du MEA sont l’entité, l’association, les cardinalités, la contrainte d’intégrité fonctionnelle. 3.1 - L’entité Une entité est un objet du réel perçu qui a une existence propre. Elle peut donc être décrite indépendamment des autres objets. Une entité peut être : - un individu comme par

fonctionnelle (ou dépendance fonctionnelle) III.5.4. DF inter-entités via une association binaire  Il existe des DF inter-entités si l'une des cardinalité maximum de l'association est égale à 1. Dans ce cas, il est possible d'orienter le lien entre les entités et de remplacer l'association par une DF.  On parle de DF forte (resp. DF faible) lorsque la cardinalité minimum de l'entité source de la DF est égale à 1 (resp. 0).  Exemple : enfant (moins de 16 ans) et classe EN F A N T N° SS N om Préno m

reférence article 0,n désignation prix unitaire de vente quantité CONCERNER(#numéro_commande, #référence_article, quantité) Cette règle est valable pour toutes les associations ternaires (ou quaternaires) qui sont forcément non hiérarchiques (cardinalités maximales toutes égales à n). D. Exception à la règle 1 Les entités n'ayant que leur identifiant comme attribut ne deviennent pas des relations, mais des attributs dans les autres relations liées. OUVRIER code ouvrier nom ouvrier prénom ouvrier

démarche classique B. Une phase cruciale : le démarrage du projet III. Les méthodes d’analyse A. Pourquoi une méthode d’analyse ? B. La méthode d’analyse MERISE PARTIE 4 : LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES (MCD) I. II. III. IV. V. Entités Associations Cardinalités Données, connaissances et choix Types d’associations A. Les associations hiérarchiques B. Association porteuse de propriétés VI. Modèle complexe 1 A. Duplication d’informations B. Contrainte d’intégrité fonctionnelle C. Vision instantanée