Cardinalité

DISPOSITIONS : Soient deux éléments a et b :  Si (a , b)  (b , a) alors on parle de disposition ordonnée.  Si (a , b)  (b , a) alors on parle de disposition non ordonnée. C'est quoi le cardinal d'un ensemble ? En mathématiques, la cardinalité est une notion de taille pour les ensembles. Lorsqu'un ensemble est fini, c'est-à-dire si ses éléments peuvent être listés par une suite finie, son cardinal est la longueur de cette suite, autrement dit il s'agit du nombre d'éléments de l'ensemble

modifier, importer une structure de bases de données. L’éditeur d’analyses manipule une analyse. L’analyse regroupe : • les descriptions des tables • les descriptions des colonnes des différentes tables • le graphe de l’analyse • les relations et cardinalités • les contraintes d’intégrité • le dictionnaire des données • les définitions des clés • les informations d’IHM et de code pour la génération RAD • la liste des intervenants • les statistiques sur les tables 2.2.1 Menus spécifiques de l’éditeur

Afin de la simplifier, nous avons choisi de fusionner plusieurs tables pour éviter les jointures, et ainsi gagner en nombre de tables. Premièrement, on doit remarquer que beaucoup de jointures dans la gestion des matchs sont formées en réalité de cardinalités (2,2) : ainsi, on peut éviter une table de jointure en ajoutent tout simplement deux clefs étrangères ; c’est le cas de l’EQUIPEDOUBLE composée de deux joueurs, d’un MATCH composé de deux joueurs ou de deux équipes. On exécutera la même opération

caractéristiques (ou modèles de " Features " ou encore " Features trees ") [Kang et al., 1990]. Dans cette étude, nous avons choisi le formalisme proposé par la méthode FODA (Feature-Oriented Domain Analysis) [Kang et al., 2003] ainsi que l’extension avec les cardinalités proposée dans [Riebisch et al., 2002] pour représenter un modèle de domaine. Un modèle de domaine est un arbre dans lequel les noeuds sont appelés " caractéristiques " (dans la méthode FODA il s’agit des " features ") et les arcs permettent d’affiner

lors facilement implémentables en langage SQL. 2. Le modèle conceptuel des données La base de données est constituée des quatre entités à partir duquel on va construire le MCD en respectant les règles de dépendance fonctionnelles et les cardinalités comme spécifié ci-dessous : Entité personnels : regroupe les champs caractérisant les différents informations du personnel (id_pers,nom_pers, prenpm_pers, mail_pers,etc...). Entité bâtiment : définit les noms des bâtiments (agences) de la RADEM

cas d’utilisation. La retranscription s’est faites aisément, il ne s’agit que d’une simple transposition de texte. • Identification des cardinalités Il s’agit de l’établissement du nombre possible d'interactions entre les entités. Il s'agit d'un couple d'entiers de type ( a ; b). Où ‘a’ est la cardinalité minimum, et est égal à 0 ou 1 et ‘b’ est la cardinalité maximum, égal à 1 ou n, n étant plus grand que 1. • Validation du modèle Avant de transformer le modèle conceptuel en modèle physique

Critères de résistance Il existe trois approches pour mesurer la sécurité d’un procédé de chiffrement. En 1949 Claude Shannon, père fondateur de la cryptographie mathématisée, posa les 3. |X| représente le nombre d’éléments ou (nombre) cardinal ou cardinalité d’un ensemble fini X. Cryptographie et procédés de chiffrement 95 bases théoriques de la cryptographie moderne dans son article [SHA 49]. Il introdui- sit alors les deux premiers critères de sécurité : la confidentialité parfaite (ou sûreté

retenues (persistances, nombre maximum d'instances, etc.). identifiez les associations entre classes / interactions entre objets (instances) : recherchez les connexions sémantiques et les relations d'utilisation, documentez les relations (nom, cardinalités, contraintes, rôles des classes...), en spécification, filtrez les relations instables ou d'implémentation, définissez la dynamique des relations entre objets (les interactions entre instances de classes et les activités associées). _______

nécessairement XML existent pour exprimer le langage RDF, par exemple la Notation 3. 24. La syntaxe des documents RDF/XML du W3C obéit d’ailleurs elle-même à un schéma XML. 25. Par exemple, OWL permet d’exprimer des contraintes d’équivalence de classes, de cardinalité, de restriction de valeurs, etc. 13  Harry Osborn Peter Parker Aunt May F IGURE 11 – Exemple de description FOAF : Peter Parker knows both Aunt May and Harry Osborn (emprunté à http://www.xml.com/pub/a/2004/02/04/foaf.html)

. , où ∋ est la suite vide. La longueur l(x) est le nombre de chiffres binaires dans la suite binaire x (par exemple, l(∋) = 0) ; cela définit aussi la « longueur » de l’entier naturel correspondant. Si A est un ensemble, alors |A| désigne la cardinalité de A. Soit ·,· : N×N → N une fonction bijective « d’appariement » calculable standard. Dans tout cet article, nous supposerons que x,y = 1l(x) 0xy . On définit x,y ,z par x, y ,z . Il nous faut quelques notions de la théorie des algorithmes (cf.