Carences Affectives

mineures, dont 70 % se soldent par une interruption volontaire de grossesse. Mise en danger du corps ? Problème d'accès à la contraception ? Quelles sont les raisons qui amènent ces jeunes filles à faire un enfant ? Violences physiques, carences affectives, négligences éducatives… contrairement aux représentations que l'on peut avoir des grossesses adolescentes, peu sont désirées et la plupart résultent d'un contexte familial et psychologique fragile. Grossesses adolescentes : une tendance alarmante

stoïciens. Pour cela, il est indispensable que le résilient possède une estime de soi modérée et réaliste, ainsi qu’une confiance en soi et ses capacité. A cela, nous noterons également une qualité de distanciation : - émotionnelle et affective face à l’échec, dans l’objectivation des situations et stratégies à rebondir - sociale : contre les paires (stratégies contre les brimades) et contre l’effet-classe (influence du niveau scolaire moyen) A l’inverse

peuvent être les causes de la peur de l’abandon ? L’abandonnite vient d’une situation d’abandon mal vécue durant une période de dépendance affective et physique : la période fœtale, la naissance ou l’enfance. L’abandon c’est « l’action de délaisser un être, de ne plus s’en occuper, de s’en détourner1 ». Il peut être d’ordre physique ou psychique : une carence dans les liens affectifs, une mère débordée, un parent absent, la nouvelle fratrie, un séjour en pension ou bien un décès sont autant de situations

mal à ma mère ». De nombreux écrits ont été réalisés sur « le jeune carencé, son langage symptomatique, sur l’adulte abandonnique,… Dans ce dernier ouvrage, Michel Lemay traite du devenir possible de l’enfant carencé sur le plan psychopathologique et sur le plan de l’adaptation sociale. Il s’agit d’une approche thérapeutique à l’intention des professeurs, familles d’accueils, éducateurs qui accompagnent des jeunes en carence affective. Ce titre a été emprunté à Maryse Choisy qui résume bien la notion

“l’expression de la relation cognitive-affective évolutive d’un sujet...”. -Donc les enfants qui ont des troubles caractériels : -des troubles relationnels - des comportements agressifs composés de violences, de colères, d’oppositions (active et passive), de troubles du caractère, d’intolérances à la frustration... - des mensonges (utilitaire ou compensatoire, appelés aussi névrotiques) - des vols - l’inhibition, le mutisme, ou l’instabilité motrice et/ou affective - des troubles sphinctériens (énurésie

prévalente Troubles « fonctionnels » • Troubles oro-alimentaires • Troubles sphinctériens • Troubles du sommeil Prise en charge • Tenir compte du niveau de maturation de l’enfant – Maturation physique (neurologique…) – Maturation psychique, affective • Évaluer les dynamiques relationnelles • Affirmer le trouble • Éliminer une cause organique • Évaluation de l’enfant : – Niveau de développement – Modalités relationnelles CAT • Évaluation de la situation familiale – Histoire de l’enfant

est privé des biens dont il jouissait autrefois, c’est un riche devenu pauvre. L’idiot a toujours été dans l’infortune et la misère ». L’idiotie commence avec la vie ou à cet âge qui précède l’entier développement des facultés intellectuelles et affectives, tout décèle en eux une organisation imparfaite ou arrêtée dans son développement. Ici on ne conçoit pas la possibilité de changer cet état «  rien ne saurait donné aux malheureux idiots, même pour quelques instants, plus de raison et plus d’intelligence »

individuelles, familiales ou sociales aussi variées que profondes. Les individus qui deviennent délinquants n’ont que très exceptionnellement été respectés et pris en considération par leur environnement . Ils ont particulièrement souffert de carences affectives, éducatives et scolaires et, partant, ils ont été confrontés très tôt à des conflits de tous ordres et degrés. Abandonnés à la rue, à la ville, ils sont immergés dans des espaces de non-droit et de non-accès au droit à l’intérieur desquels « au-delà

travailler en institution avec des enfants et adolescents « en difficultés » et carencés mais certains n’ont pas eu la chance de sortir de leurs problèmes. Il raconte l’histoire d’un adolescent « Titi » qui à rejoint la structure. Il avait une mère alcoolique est absente. Plus tard suite de nombreux placements en institution il va réussir à construire une vie de famille mais sa femme va le quitter avec son enfant. Les enfants carencés sont à la recherche d’un « objet » inaccessible. Henri à était admis malgré

ertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuio M. Lekeu Jimmy ME1 DF1 « Si le lecteur utilise ce livre pour construire a priori une démarche institutionnelle, psychothérapique, éducative ou pédagogique devant être appliquée stade par stade sur tout enfant et adolescent carencé, je lui demande instamment d'oublier mes points de vue et de se laisser aller à son intuition. Cela sera finalement moins néfaste. » Michel Lemay. Sommaire Introduction I. Replacer l’œuvre dans son contexte II. Résumé III. Analyse personnelle